La barbarie du Hamas : un système de terreur implacable , des atrocités insurmontables

Actualités, Alyah Story, Antisémitisme/Racisme, International, Israël - le - par .
Transférer à un amiImprimerCommenterAgrandir le texteRéduire le texte
FacebookTwitterGoogle+LinkedInPinterest
La barbarie du Hamas : un système de terreur implacable , des atrocités insurmontables

La barbarie du Hamas : un système de terreur implacable

L’histoire d’Alon Ohel, comme celle de tant d’autres otages israéliens, s’inscrit dans une stratégie de terreur et de cruauté orchestrée par le Hamas.
Derrière chaque captif, il y a des sévices physiques et psychologiques, une volonté délibérée d’infliger la souffrance.

Des conditions inhumaines imposées aux otages

Les témoignages des otages récemment libérés révèlent un enfer quotidien :

Privation extrême de nourriture : des portions infimes, parfois une poignée de riz ou de pain rassis pour plusieurs jours.

Soins médicaux inexistants : des blessés laissés sans traitement, des infections se propageant dans l’humidité des tunnels.

Violence physique et psychologique : passages à tabac, humiliations, menaces d’exécutions, tortures psychologiques destinées à briser toute résistance.

Isolement absolu : des otages séparés les uns des autres, maintenus dans le noir pendant des mois, privés de tout repère temporel.

Le cas d’Alon, blessé et laissé sans soin, n’est qu’un exemple parmi des dizaines d’autres.

Les exécutions et atrocités du 7 octobre

L’attaque du 7 octobre 2023 a marqué un point culminant dans l’horreur :

1 200 civils assassinés, souvent dans d’atroces souffrances. Des familles entières ont été brûlées vives, d’autres exécutées froidement chez elles.

Des enfants massacrés, certains décapités, d’autres enlevés sous les yeux de leurs parents.

Des femmes violées, mutilées, avant d’être assassinées ou emmenées de force à Gaza.

Des bébés retrouvés dans des fours, des vieillards torturés, des jeunes abattus en pleine fête.

Les otages utilisés comme boucliers humains

Le Hamas se sert des otages comme monnaie d’échange mais aussi comme boucliers humains :

• Ils sont retenus sous des bases militaires, sous des hôpitaux et dans des écoles, pour empêcher toute opération militaire israélienne.

•Ils sont déplacés régulièrement, parfois attachés à des terroristes, afin de décourager les frappes israéliennes.

•Certains otages libérés ont rapporté que des commandants du Hamas se vantaient de les utiliser comme armes contre Israël.

Un régime fondé sur la terreur et le fanatisme

Le Hamas ne se contente pas de s’attaquer aux Israéliens. Il terrorise aussi sa propre population. À Gaza, le régime impose :

Des exécutions sommaires de “traîtres”, sans procès.

L’enrôlement forcé des civils comme boucliers humains, y compris des enfants.

Un contrôle absolu des médias et de l’opinion publique, réprimant toute opposition.

Depuis son ascension au pouvoir en 2007, le Hamas a détourné des milliards d’aides humanitaires pour creuser des tunnels et se doter d’un arsenal militaire, au lieu de bâtir des infrastructures pour sa population.

L’horreur ne doit plus durer

L’histoire d’Alon Ohel, comme celle des 136 otages encore détenus, est un appel à la conscience du monde.

Le Hamas n’est pas une résistance, c’est une organisation terroriste qui détruit tout sur son passage, y compris ceux qu’il prétend défendre.

Le silence et l’inaction ne sont pas une option.

Chaque jour qui passe en captivité pour Alon est une condamnation à mort lente.

Le monde doit exiger la libération immédiate de tous les otages et la fin du règne de terreur du Hamas.

 

Vos réactions

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

A voir aussi