Les otages israéliens libérés : la propagande du Hamas s’effondre face à la vérité

Des images qui brisent le mensonge

Les visages émaciés d’Eli Sharabi, Ohad Ben Ami et Or Levi, libérés après 491 jours d’enfer aux mains du Hamas, hantent désormais l’opinion publique.

Ces clichés, diffusés massivement sur les réseaux sociaux, témoignent de la torture silencieuse subie par ces otages. Maigres, affaiblis, méconnaissables, ils rappellent tragiquement les images des survivants des camps de concentration nazis à leur libération en 1945.

Comparées aux photos des trois hommes avant le 7 octobre 2023, ces images révèlent une perte de poids spectaculaire, confirmant ce que de nombreux experts soupçonnaient : la famine imposée aux otages israéliens était intentionnelle.
Une accusation que la militante pro-israélienne Ella Keinan n’a pas hésité à formuler en diffusant ces clichés accompagnés de vidéos montrant l’abondance de nourriture dans la bande de Gaza.

Le cri d’alarme des dirigeants israéliens

Face à ces révélations insoutenables, les dirigeants israéliens ont réagi avec force.
Le Premier ministre Netanyahou a dénoncé des « scènes choquantes » tandis que le président Isaac Herzog a déclaré sans équivoque : « Voilà à quoi ressemble un crime contre l’humanité ! »

Le quartier général des familles d’otages a renchéri :

« Ces photos témoignent de la réalité atroce des 76 otages encore retenus dans les cachots du Hamas. Ils y vivent un nouvel holocauste, menacés de mort à chaque instant. C’est un crime contre l’humanité ! »

Sur les réseaux sociaux, ces clichés ont déclenché une onde de choc. La vérité éclate enfin, réduisant en miettes le narratif mensonger du Hamas et de ses soutiens.

Le mensonge du Hamas dévoilé : « Les seuls à souffrir de la faim à Gaza »

Depuis des mois, la propagande palestinienne tente de dépeindre la bande de Gaza comme une terre de famine absolue.
Pourtant, les images des banquets abondants, des marchés pleins de vivres et des restaurants toujours en activité circulent sur Internet, venant contredire ces affirmations.
« La famine des otages était préméditée », affirme avec fermeté Ella Keinan.

Elle poursuit :

« Depuis le début de la guerre, plus d’aide humanitaire est entrée à Gaza qu’avant le 7 octobre. Nous trouvons chaque semaine des vidéos montrant des étals remplis de nourriture, des dîners fastueux, et pourtant, les otages étaient affamés. Pourquoi ? Parce que le Hamas a sciemment décidé de les torturer ainsi. »

Ella Keinan n’hésite pas à dénoncer ce qu’elle appelle « la machine à poison de Pallywood », ce système bien rodé de désinformation palestinienne destiné à influencer l’opinion internationale.

Une comparaison avec l’Holocauste qui glace le sang

Les réseaux sociaux ont rapidement établi un terrible parallèle entre les photos des otages libérés et celles des rescapés des camps de concentration nazis en 1945.
Ces clichés déchirants, témoins d’une privation inhumaine, révèlent à quel point le Hamas a appliqué des méthodes de torture systématiques, réduisant ses prisonniers à l’état de spectres.

Ella Keinan est allée plus loin dans sa dénonciation en associant le mot « Hamas » à un symbole nazi sur une image montrant Ohad Ben Ami aux mains de ses ravisseurs, peu avant sa « libération ». Un message fort, qui rappelle que le Hamas n’est qu’une version contemporaine de l’idéologie totalitaire et génocidaire du siècle dernier.

Une onde de choc mondiale

L’impact de ces images dépasse les frontières d’Israël.
Les réactions internationales se multiplient, secouant même certains cercles jusqu’ici complaisants avec le narratif pro-palestinien.
« Sur les réseaux sociaux, le basculement est net », observe Keinan.

« Mais au-delà de l’émotion immédiate, une stratégie de communication est essentielle pour Israël. Le peuple juif et l’État d’Israël souffrent d’un marketing médiocre. Nous avons une histoire puissante à raconter et un combat juste à mener. J’invite chacun à nous suivre et à diffuser nos messages. Chaque jour, nous atteignons des centaines de millions de vues, et nous devons continuer ce travail pour rétablir la vérité. »

Le Hamas démasqué, la vérité éclate

Ces images marquent un tournant. Le Hamas, qui tente depuis des mois de se positionner en victime, voit aujourd’hui son mensonge s’effondrer sous le poids de la réalité.

Les otages israéliens ont été torturés, affamés volontairement, tandis que leurs geôliers festoyaient.

Les clichés insoutenables d’Eli Sharabi, Ohad Ben Ami et Or Levi resteront une preuve accablante de la barbarie du Hamas, une vérité irréfutable que même ses plus ardents défenseurs auront du mal à nier.