Croix-Rouge : l’indignation tardive vis à vis des otages israéliens qui trahit une inaction coupable

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Croix-Rouge : l’indignation tardive vis à vis des otages israéliens qui trahit une inaction coupable

L’hypocrisie meurtrière de la Croix-Rouge : absente durant la captivité, inquiète après la libération

Un silence complice face aux otages israéliens

Depuis le 7 octobre, des centaines d’Israéliens ont été arrachés à leurs familles et retenus en otages par le Hamas dans la bande de Gaza, soumis à des conditions inhumaines, à la torture et à la privation.

Pendant plus de 480 jours, jusqu'à ce jour, la Croix-Rouge n’a jamais pu – ou voulu – obtenir l’accès aux otages israéliens. Pas une seule visite, pas un seul rapport sur leurs conditions de détention, que nous savons aujourd'hui inhumaines, atroces. pas même une pression médiatique pour dénoncer cette violation flagrante du droit international. Aujourd’hui, alors que certains sont enfin libérés, elle ose soudainement se préoccuper de leur état de santé. Quelle indécence !

Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) n’a jamais été en mesure – ou n’a jamais eu la volonté – de leur rendre visite, de s’assurer de leur état de santé ou même simplement de leur apporter un quelconque soulagement humanitaire.

Pas un seul accès. Pas un seul rapport. Pas une seule preuve que ces otages étaient en vie, alors que les Conventions de Genève exigent l’accès aux prisonniers de guerre et aux civils capturés dans des conflits.

Pourtant, dans le cas des terroristes palestiniens incarcérés en Israël, le CICR s’est toujours montré soucieux, veillant à leurs conditions de détention et n’hésitant pas à dénoncer la moindre entrave à leurs « droits ».

Un réveil soudain et indécent

Aujourd’hui, alors que les premiers otages sont enfin libérés grâce aux efforts diplomatiques et non à l’intervention du CICR, voici que cette organisation se découvre une soudaine préoccupation pour leur état de santé. Dans un communiqué relayé par France Info, le CICR ose affirmer :

« Il est urgent d’avoir accès aux otages israéliens avant leur libération pour s’assurer de leur bien-être. »

Quelle ironie cruelle ! Où était cette urgence lorsqu’ils étaient livrés à la terreur et à la souffrance dans les tunnels du Hamas ?
Où était leur indignation humanitaire lorsque des enfants étaient arrachés à leurs familles, lorsque des femmes étaient brutalisées, lorsque des vieillards étaient détenus dans des conditions effroyables ?

Une inertie volontaire ou une crainte du Hamas ?

Ce silence complice de la Croix-Rouge pose une question fondamentale : cette organisation est-elle réellement neutre ou agit-elle sous la menace et l’intimidation du Hamas ? Son absence sur le terrain démontre soit une incompétence flagrante, soit une soumission aux exigences terroristes. Dans les deux cas, son rôle en tant que gardien des droits humanitaires est définitivement discrédité.

Le CICR prétend être un acteur de paix et de protection des victimes de guerre.
Pourtant, il n’a rien fait pour soulager la souffrance des otages israéliens, refusant même de dénoncer publiquement les crimes du Hamas. Il n’a pas non plus osé exiger leur libération immédiate ou exiger des preuves de vie.

Un rôle limité aux transferts

Lors des récentes libérations, le CICR s’est contenté de faciliter le transfert des otages libérés par le Hamas vers Israël, sans avoir pu intervenir durant leur détention pour s’assurer de leurs conditions de vie ou de leur état de santé. C
ette assistance logistique, bien que nécessaire, ne compense pas l’absence d’action proactive pour protéger les droits des otages pendant leur captivité.

Un contraste saisissant avec d’autres situations

Il est également notable que, dans d’autres contextes, le CICR a su faire preuve de davantage de diligence. Par exemple, l’organisation a facilité la libération de détenus dans des conflits tels que celui au Yémen, démontrant sa capacité à intervenir efficacement lorsque les circonstances le permettent. 

L’humanitarisme à géométrie variable

Lorsqu’il s’agit des prisonniers palestiniens détenus en Israël, la Croix-Rouge est prompte à dénoncer toute restriction et à exiger des droits. Lorsqu’il s’agit des otages israéliens, elle se mure dans un silence glaçant. Cette hypocrisie meurtrière doit être dénoncée avec force.

Les familles des otages n’oublieront pas. Israël n’oubliera pas. Et nous devons exiger des comptes auprès de ces organisations qui prétendent défendre l’humanitaire mais qui, par leur inaction, ont contribué à la souffrance de leurs victimes.

Cette posture soulève des questions légitimes sur l’engagement réel de l’organisation à défendre les droits de toutes les victimes de conflits, sans distinction.

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