Albert SOUED s'est intéressé très tôt aux relations entre le "secret et le sacré", ce qui l'a amené à chercher à comprendre les messages reçus et transmis par les premiers hommes "spirituels". L'auteur est spécialisé dans la symbolique biblique.
Les articles de Albert Soued
Gaza : la promesse à la dystopie du Hamas d'Albert Soued
Les infamies du Hamas par Albert Soued
Bassam Eid, militant palestinien des droits de l’homme, a déclaré à Newsweek : « Parfois, dans les jours plus heureux, j’aime commenter les similitudes remarquables entre Singapour et la bande de Gaza.
Toutes deux sont des cités-États autonomes situées à des carrefours clés du commerce mondial, aux extrémités opposées du continent asiatique.
Toutes deux combinent une densité de population avec une agglomération urbaine importante et des avantages naturels spectaculaires, notamment un port de grande qualité.
Et pourtant, en raison de différences de culture civile et de gouvernance, Singapour est devenue la plaque tournante du commerce de l’Asie de l’Est.
Comme les événements du 7 octobre l’ont montré au monde, Gaza a choisi une autre voie : devenir une dystopie terroriste comme les terres obscures autrefois sous le contrôle de l’État islamique. »
Les Gazaouis souffrent « à cause de ce que le Hamas leur a fait », déclare Linda Thomas-Greenfield, ambassadrice des États-Unis auprès des Nations Unies.
« Le Hamas est responsable des destructions dans la bande de Gaza, mais Washington a dû – et doit encore – faire pression sur l’Etat juif pour qu’il autorise l’aide à parvenir aux Palestiniens. Nous ne pouvons pas oublier que le Hamas est une organisation terroriste et que ses actions en Israël étaient des actes terroristes.
Le peuple palestinien souffre à cause de ce que le Hamas lui a fait. Il n’y avait pas un tel niveau de conflit à Gaza avant l’attaque du Hamas. Cela dit, Israël a la responsabilité d’assurer la sécurité et d’éviter de mettre en danger les civils » témoigne t-elle.
Bassam Tawil, arabe basé au Moyen-Orient, membre du www.gatestoneinstitute.org/ raconte : « La tentative du Hamas de justifier ses crimes contre les Israéliens doit être considérée comme une tentative de tromper et d’induire en erreur la communauté internationale. »
Le massacre du 7 octobre a été orchestré par le Hamas dans le seul but de massacrer autant de Juifs que possible dans le cadre de son djihad visant à détruire Israël.
France : représentation parlementaire en crise d'Albert Soued
Une démocratie déséquilibrée au Parlement par Albert Soued
Laurent Marcangeli, président du groupe Horizons (proche de l’ex-Premier ministre Édouard Philippe), a ainsi déclaré : « Le principal parti, qui représente environ un tiers de l’électorat, soit près de 11 millions de suffrages exprimés, n’est pas représenté dans les organes qui animent le Parlement. C’est problématique. »
L’administration Biden et le soutien involontaire à l’Iran
L’Impact de l'État profond sur la politique étrangère des États-Unis par Albert Soued
Amir Taheri, journaliste, chroniqueur à Alsharq Al-Awsat, président de Gatestone Europe a déclaré : « Le gouvernement fédéral américain emploie près de trois millions de personnes. Parmi elles, entre 5 000 et 7 000 changent de poste lorsque la Maison Blanche change d’occupant. »
Les emplois permanents, parfois à vie, contribuent à perpétuer un Mandarinat qui considère que sa tâche est de maintenir le navire de l’État sur la voie qu’il s’est fixée.
Ce mandarinat est particulièrement bien implanté au Département d’État, au Pentagone, au Trésor et, plus important encore, dans le système judiciaire.
Il entretient également des relations bien établies, parfois incestueuses, avec les lobbyistes, les groupes d’activistes à vocation unique, les universités et leurs professeurs titulaires, et les groupes de réflexion qui ont des portes tournantes vers les ministères et les médias.
Le Mandarinat entretient des liens étroits avec les membres inamovibles du Sénat et de la Chambre des représentants.
Les théoriciens du complot qualifient ce Mandarinat d’État profond (Deep State).
Dr Majid Rafizadeh est un stratège et conseiller d’entreprise, diplômé de Harvard, politologue, a déclaré : « La politique de l’administration Biden a consisté à débloquer des milliards de dollars en faveur du régime iranien et à s’abstenir d’appliquer des sanctions strictes contre l’Iran. Cet afflux de fonds a sans aucun doute permis au régime iranien d’allouer des ressources financières substantielles au soutien et à l’armement des Houthis ainsi qu’au Hamas, au Jihad islamique palestinien et au Hezbollah libanais.
Ce flux de capitaux a non seulement soutenu l’influence régionale de l’Iran, mais il prolonge également le conflit dans la région. La réponse aux Houthis a été laissée à Israël. Son armée de l’air a pris pour cible la ville portuaire de Hodeida, au Yémen, pour tenter d’empêcher la livraison d’armes à la milice houthie par l’Iran. »
Pourtant, pas un seul haut responsable américain – ni le président américain Joe Biden, ni la vice-présidente Kamala Harris, ni le secrétaire d’État Antony Blinken – n’a pris la peine d’accueillir le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, « le Churchill du Moyen-Orient », à l’aéroport lorsqu’il a atterri à Washington, DC.
Dans un affront supplémentaire, Harris a boycotté son discours au Congrès.
L’administration doit requalifier les Houthis en « organisation terroriste étrangère » à part entière.
Mais, après des pressions, les Houthis ont finalement été qualifiés de « terroristes internationaux spécialement désignés », un niveau inférieur à celui d’«organisation terroriste étrangère», ce qui leur permet de continuer à recevoir des fonds et d'entrer aux États-Unis.
Compte tenu de la menace croissante posée par ces développements, et en particulier par le programme d’armement nucléaire de l’Iran, il est impératif que les États-Unis prennent des mesures décisives pour traiter efficacement le problème avant que la situation ne se détériore davantage et ne débouche sur une crise internationale encore plus grave.
La présence juive à Rafiah remonte à l'époque Hasmonèenne
La redécouverte historique de la ville de Rafiah, à la frontière égyptienne au milieu de la guerre de Gaza.
La présence juive à Rafiah remonte à l'époque hasmonéenne (167-63 avant notre ère), lorsque le roi Yannai Alexandre de Judée a conquis la ville.
Elle resta sous contrôle juif jusqu'à ce que le général romain Pompée le Grand la capture en - 63.
Rafiah a été mentionnée dans des ouvrages importants tels que la « Geographica » de Strabon et les « Papyri Oxyrhynchus » pendant la période romaine.
À l'époque byzantine, Rafiah devint un siège épiscopal et fut représentée au concile d'Éphèse en 43.
La période géonique (environ 600 à 1050) a vu une communauté juive florissante à Rafiah, particulièrement importante aux 9/10ème siècles. Malgré un déclin vers 1080, lorsque de nombreux Juifs ont émigré à Ashkelon, la communauté a connu une résurgence au 12ème siècle. Les poèmes liturgiques de cette époque font référence à la communauté juive de Rafiah.
Sous la domination ottomane, la communauté juive de Rafiah s'est engagée dans diverses activités économiques, notamment l'agriculture et le commerce.
Le début de la période moderne a vu une présence juive continue, même si la communauté a été confrontée à des défis liés aux conflits régionaux.
Au début du 20ème siècle, des groupes sionistes ont tenté de s'installer à Rafiah. Malgré un succès limité en raison d’obstacles politiques et sociaux, ces efforts mettent en évidence le lien durable des Juifs avec la région.
Pendant le Mandat britannique, les dirigeants juifs et les membres de la communauté étaient enfermés dans des camps de détention à Rafiah.
Les changements géopolitiques consécutifs à la guerre d'indépendance d'Israël et aux conflits qui ont suivi ont encore compliqué la présence juive dans la région.
La campagne du Sinaï de 1956 a vu Israël contrôler brièvement Rafiah, pour ensuite se retirer l'année suivante. Rafiah a été reprise pendant la guerre des Six Jours en 1967. Pourtant, des accords géopolitiques ont conduit au retrait d'Israël de la péninsule du Sinaï en 1982, qui comprenait la division de Rafiah entre les territoires égyptiens et gazaouis.
Le Forum économique mondial (WEF) a sélectionné 5 start-ups israéliennes
Le Forum économique mondial (WEF) a donné la liste 2024 des 100 entreprises technologiques qui se concentrent sur l’application de nouvelles avancées en matière d’IA pour développer des solutions d’énergie propre, l’innovation en matière de soins de santé et les progrès dans les domaines de la biotechnologie, de l’espace et de la neuro-technologie.
Ces entreprises apporteront leurs connaissances et leur expertise de pointe aux initiatives mondiales du Forum au cours des deux prochaines années et contribueront à accroître leur impact. Parmi les 100 start-ups sélectionnées, 5 sont israéliennes :
. Aim Security, qui fournit des pare-feux pour une utilisation sécurisée des grands modèles de langage (LLM).
. BrainQ, qui développe des thérapies neurologiques de précision utilisant la technologie d’interface cerveau-ordinateur, conçues pour cibler les réseaux neuronaux endommagés et faciliter la neuro-récupération.
. Enzymit, qui tire parti de l’IA avancée pour concevoir de nouvelles enzymes créant une plate-forme acellulaire qui facilite la production durable et efficace de produits chimiques précieux.
. Imagindairy, qui utilise des modèles d’IA exclusifs et une fermentation de précision pour produire efficacement des protéines laitières sans animaux, durables et abordables.
. Wanda Fish, qui produit des filets de poisson en isolant des cellules de poisson et en les cultivant dans un environnement contrôlé.
- Le prix de l'éducation des EAU, Khalifa, est décerné au professeur Tzipi Horowitz-Kraus, professeur associée au Technion, pour sa contribution à la compréhension et à la résolution des problèmes de lecture chez les enfants.
Le prix Khalifa pour l'éducation, qui compte le président et le premier ministre des Émirats arabes unis parmi ses mécènes, a été créé en 2007 pour faire progresser les normes de l'éducation à tous les niveaux dans les Émirats et dans l'ensemble du monde arabe.
- Lors du concours 2024 Asper Prize Hebrew University Rising Startup , parmi 40 start-up GynTools et HydroX ont triomphé, remportant le titre et un prix de 100 000 NIS.
. GynTools a présenté GYNI, un système de diagnostic alimenté par l'IA conçu pour une détection rapide et précise des infections vaginales au point de traitement, s'attaquant à une condition mal diagnostiquée dans environ 50 % des consultations.
. HydroX révolutionne le stockage et le transport de l'hydrogène grâce à un liquide sûr, non toxique et non explosif, mis au point par l'Université hébraïque. Cette technologie à haut rendement énergétique réduit considérablement les coûts de stockage et de transport de l'hydrogène, ouvrant ainsi la voie à une économie durable de l'hydrogène.
- Le festival de Tribeca a annoncé que Come Closer, un film du réalisateur israélien Tom Nesher, a remporté le Viewpoints Award, le prix le plus important dans sa catégorie.
- Le Technion se positionne en tête des fondateurs de licornes aux États-Unis, ses diplômés ayant 25 fois plus de chances de créer une licorne. Reichman University occupe une deuxième place tandis que l'Université Ben Gourion et l'Université de Tel Aviv suivent dans ce classement.( Une licorne est une startup, non cotée en bourse, valorisée à plus d'un milliard de dollars).
Avec 31 fondateurs de licornes parmi ses alumnis, le Technion prouve qu'il est un incubateur d'excellence et d'entrepreneuriat.
- Le Prix Wolf, récompense internationale décernée en Israël, a annoncé ses lauréats 2024 issus de six pays différents dans les domaines de la médecine, des mathématiques, de la physique, de l'agriculture et de la musique.
Le Prix Wolf 2024 de mathématiques a été décerné à Pr Adi Shamir de l’Institut Weizmann pour sa contribution pionnière à la cryptographie mathématique, à la combinatoire et à la théorie de l'informatique (prix partagé avec Noga Alon, Princeton University)
Antisémitisme en France : Guy Millière « J'ai fui la France pour survivre »
France
- Guy Millière, journaliste, écrivain, politologue (extraits) : « J’ai subi les maoïstes, les marxistes-léninistes, les trotskystes, les islamistes, les crétins pro-palestiniens assoiffés de sang juif, les antisémites et les antisionistes d’extrême gauche quand j’enseignais à l’université en France et quand j’y parlais à la radio et à la télévision. Des menaces de mort ont pesé sur moi, mon épouse et mes enfants. J’ai subi deux tentatives de meurtre, et j’ai quitté la France.
Tout en craignant que ce ne soit pas le cas, je dis, depuis Las Vegas où je vis désormais en paix et en sécurité, que je souhaite que le Rassemblement National et ses alliés aient la majorité absolue dimanche soir. Je ne peux me résoudre à ce que mon pays natal glisse davantage vers la destruction. Et je suis résolument du côté de tous les Français qui souffrent de ce qui se passe… »
- Abnousse Shalmani, journaliste, présentatrice TV : La nausée devant les circonvolutions de politiques infâmes capables du pire, même pas foutues de faire silence quelques heures, quelques jours devant le martyr d’une gamine de 12 ans, violée, torturée, parce que juive.
La nausée devant des manifestations qui ne réunissent en grande majorité que des Français juifs, la nausée devant ce qui est devenu la norme dans la société française : ne compatir, ne souffrir que pour les siens. La nausée devant un pouvoir représenté par un président incapable d’apaiser, de réunir, de solidariser toutes les composantes de la Nation, préférant son aventure personnelle à l’avenir d’une nation meurtrie…
- A cause d’un système électoral à deux tours désuet, le peuple français, majoritairement à droite, va être gouverné par des élus ayant un programme de gauche.
Voilà l’expression populaire de la France aux élections législatives de juillet 2024 : sur 27,3 M suffrages exprimés, 46% sont à droite, 27% au centre, 27% à gauche.
Et voici les résultats des élections législatives de l’Assemblée nationale en juillet 2024 : sur 577 députés, 38% sont à droite, 29% au centre, 33% à gauche.
Du fait du mode électoral à deux tours, sur les 8 points perdus par la droite, la gauche a récupéré 6 points et le centre 2 points.
- Dominique Reynié, professeur à Sciences Po et directeur général de la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol) tire les leçons des élections législatives 2024 : un scrutin qui n’a fait qu’obscurcir le paysage politique et ne permet pas de dégager de « vainqueur clair ».
Malgré le récit orchestré par la gauche, celle-ci n’a jamais été aussi minoritaire dans le pays…Le RN (droite extrême) a été confronté à ses propres erreurs et limites.
Son programme n’est pas sérieux, ses candidats ne sont pas prêts ; ils n’ont pas été sélectionnés avec soin, ils n’ont pas été suffisamment formés …
Le NFP (gauche extrême) est un artifice électoral. Bricolé dans la hâte, il ne résistera pas. Électoralement plus faible que jamais, la gauche est en miettes tandis que ses idées économiques et sociales sont incompatibles avec la réalité.
- Jacques-Olivier Martin : « Exigeons le respect des urnes ! » Le Nouveau Front Populaire (NFP) peut se targuer d’avoir un nouvel allié dans sa quête du pouvoir : la CGT.
Sophie Binet, la patronne de la centrale révolutionnaire, appelle à des manifestations pour exiger la mise en place d’un gouvernement NFP. Et fissa, même !
Jean-Luc Mélenchon et ses amis ont annoncé une grande fête sur la place publique… À quelques jours des bals du 14 Juillet, le peuple de gauche est impatient de pouvoir s’enivrer sous le flot des dizaines de milliards d’euros promis.
Gérard Larcher président du Sénat : « Si le président choisit un premier ministre issu du NFP, j’appellerai mes amis à censurer ce gouvernement, car ça ne correspond pas à la volonté profonde des Français »
Valérie Pécresse présidente de la région Île-de-France : « Non seulement la gauche ne pèse qu’un petit tiers de la nouvelle Assemblée, mais surtout, son programme mènerait notre pays à la faillite et au chaos »
Oketz : Les Chiens de Combat, Gardiens d'Israël
Israël
- Créée en 1939 dans le cadre de la Haganah, avant d’être démantelée en 1954, la brigade canine « Oketz » ressurgit en 1974 dans la base de Sirkin, suite à la vague d’attentats qui secouait Israël à cette époque.
Sous le commandement de Yossi Labock, elle comptait alors 11 soldats. Au départ, sa mission consistait à intercepter les terroristes. Mais au fil des ans, son entraînement s’enrichit pour couvrir toutes les facettes de la formation canine.
Aujourd’hui, Oketz compte des chiens d’attaque, d’une efficacité redoutable pour opérer en zone urbaine ou rurale, mais aussi des chiens de combat, de détection ou de pistage.
Les chasses à l’homme, la détection de brèches dans la barrière de sécurité, la recherche d’explosifs, d’armes et de munitions, et de tunnels, ou encore des missions de sauvetage d’individus en péril dans des immeubles effondrés font partie du quotidien de l’unité.
Un panel d’intervention assez large qui conduit les membres d’Oketz à se retrouver ponctuellement assignés à d’autres corps de l’armée pour y apporter leurs compétences, comme par exemple pour aider à faire sortir des terroristes retranchés dans des édifices fortifiés.
- Le ministère de la Défense a révélé que 9 250 soldats de Tsahal ont été blessés depuis le début du conflit à Gaza, il y a neuf mois. Parmi ces blessés, environ 70 % sont des réservistes, tandis que les 30 % restants sont des conscrits obligatoires ou des officiers de carrière. Près de la moitié de ces soldats sont âgés de moins de 30 ans. De plus, 35 % des blessés souffrent de troubles de stress post-traumatique (TSPT). Le ministère prévoit que le nombre de blessés atteindra 14 000 d’ici la fin de l’année 2024.
Avant ce conflit, le ministère avait recensé environ 62 000 soldats blessés dans tous les conflits antérieurs, dont 18 % présentaient des troubles émotionnels.
Cette guerre rappelle, une fois de plus, que les conflits armés laissent des cicatrices bien au-delà des champs de bataille, affectant durablement ceux qui y participent, même après le retour à la vie civile.
Le palestinisme arabe est une arme de destruction contre la civilisation
Iran
- Melanie Phillips, journaliste anglaise : Dans le Wall Street Journal de cette semaine, Seth Cropsey, président du Yorktown Institute et ancien sous-secrétaire adjoint de la marine américaine, a écrit que « l'Iran a activé un réseau de sympathisants et influenceurs islamistes mondiaux afin d'accroître la pression publique sur Israël, ce qui constitue un élément essentiel de sa stratégie d'attrition visant à détruire l'État juif.
L'objectif de Téhéran, écrit-il, est d'amener les hommes politiques occidentaux à soutenir un cessez-le-feu. En ralentissant le conflit et en séparant Israël des États-Unis et de ses alliés, l'Iran vise à faire d'Israël un paria international ».
La cause arabe palestinienne a été manipulée par l'Iran pour en faire un sujet de discorde. L’Iran a monté l'Amérique contre Israël, aligné les libéraux sur les islamo-nazis et dressé les juifs les uns contre les autres. Et une fois que l'Iran en aura fini avec Israël, ce sera au tour de l'Occident.
Le « palestinisme » arabe n'a pas seulement été utilisé pour donner un vernis de respectabilité à la haine des juifs. Il est en train d'être utilisé comme une arme contre la civilisation.
- Le Washington Post a récemment rapporté que l’Organisation iranienne de l’énergie atomique prévoyait d’installer 1400 nouvelles centrifugeuses d’enrichissement d’uranium dans une installation surveillée. L’expansion de l’usine d’enrichissement de Fordow pourrait permettre à l’Iran d’accumuler chaque mois suffisamment de combustible pour plusieurs bombes nucléaires.
- Un président modéré a été élu en Iran pour atténuer les contraintes que le pouvoir s’est auto-infligé. Ceci explique la disparition brutale du président Ibrahim Raïssi et de son ministre des affaires étrangères, dans un accident d’hélicoptère. Sans doute provoqué par les services secrets iraniens, sous l’instigation du guide suprême Khamenei.
Cette élection est un subterfuge pour calmer l’Occident, alors que les ayatollahs d’Iran continuent leur guerre contre Israël avec les missiles des mandataires et la propagande des islamistes dans les universités, les medias occidentaux et les réseaux sociaux.
Les Palestiniens sont les descendants spirituels des Nazis d'Albert Soued
Infamies du Hamas
- La jetée construite par les États-Unis au large de la côte de Gaza, qui devait faciliter l'acheminement d'une aide humanitaire supplémentaire dans la bande de Gaza, a échoué dans sa mission. Sa construction a coûté 320 millions de dollars au contribuable américain.
Lors de son discours sur l'état de l'Union en 2024, le président Joe Biden l'avait présenté comme le moyen de "permettre une augmentation massive de l'aide humanitaire acheminée chaque jour à Gaza". L'ONU n'a trouvé aucune preuve de la famine dans le nord de Gaza. Le quai n'a fonctionné que 10 jours par mois.
- -- Daniel Hagari, porte-parole des Forces de défense israéliennes : « Cette idée de détruire le Hamas, de le faire disparaître, c'est simplement jeter du sable dans les yeux du public. Le Hamas est une idée, le Hamas est un parti. Il est enraciné dans le cœur des gens - quiconque pense que nous pouvons éliminer le Hamas se trompe »
Le gouvernement d'Israël cherche à détruire l'aile militaire du Hamas et éliminer la population ennemie de la terre juive, dont l'objectif premier est de tuer les Juifs ! Le nazisme était également une idée. L'Allemagne nazie a été vaincue et n'est plus dangereuse. Les faux « Falestiniens » sont les descendants spirituels des nazis. Des copies en arabe de Mein Kampf se trouvent partout à Gaza.
Israël mène une 2ème guerre d’indépendance d'Albert Soued
Infamies du Hamas
La femme de Haniyeh, informée de la mort de ses fils après une frappe de Tsaha à Gaza, sourit.
- Des lettres secrètes écrites par le chef du Hamas Yahya Sinwar qui a planifié l’attaque du 7 octobre révèlent que l’Iran a payé 200 millions de livres sterling au groupe terroriste.
Les lettres découvertes par Israël semblent montrer un financement systématique des Gardiens de la révolution iranienne. Les lettres échangées par les dirigeants du Hamas ont révélé que l’Iran semble avoir accordé au moins 200 millions de livres sterling aux terroristes du Hamas.
Autorité Palestinienne (AP)
- Les "archives Mitrokhin" sont le nom donné à une collection de documents provenant d'un transfuge soviétique et publiés en Grande-Bretagne il y a une dizaine d'années. Elles ont été décrites comme "la plus importante source de renseignements jamais obtenue". Au fil des pages, il a été révélé que Mahmoud Abbas dit Abou Mazen avait été recruté comme agent du KGB lors de son séjour à Moscou au début des années 1980. Depuis lors, il apparaît dans les dossiers de l'organisation sous le nom d'"agent Krotov".
Le nom d'Abu Mazen figurait effectivement à l'époque sur la liste des étudiants diplômés de l'université Lumumba. Le résultat de ses études est une thèse de doctorat intitulée "The Connection between the Nazis and the Leaders of the Zionist Movement 1933-1945" préparée par l'étudiant Abu Mazen à l'Institut d'études orientales de l'Académie russe des sciences à Moscou.
Quiconque s'apprête à lire la thèse de doctorat complète d'Abu Mazen ferait bien de prendre au préalable une bonne dose de médicaments contre la nausée. Cela ne prendra pas longtemps - 119 pages de texte en gros caractères, dont 14 pages d'introduction, indiquent que le doctorant de l'OLP n'était pas très assidu, mais vous y trouverez tous les tropes antisémites de la négation de l'Holocauste qui ont été inventés avant lui, et certains.
que le futur président de l'Autorité palestinienne peut breveter lui-même.
Un champion, disions-nous ?
"La conclusion à laquelle aboutit l'auteur est que l'Holocauste des Juifs était un projet commun des nazis et du mouvement sioniste qu'il méprise tant", résume Igal Carmon, fondateur et président de l'Institut de recherche sur les médias du Moyen-Orient (MEMRI).
- Eli E. Hertz : Qui sont les faux Palestiniens ?
La nationalité arabe palestinienne (officiellement inventée en 1964) est une entité définie par son opposition au sionisme (le mouvement de libération nationale juif) et non par ses aspirations nationales.
Comme un mantra, les Arabes ne cessent de répéter que les Palestiniens sont un peuple originaire d'Israël. Le concept de "peuple palestinien apatride" n'est pas fondé sur des faits. Il s'agit d'une fabrication ! Voici une chronologie de la composition ethnique des soi-disant Palestiniens et de leur origine.
Pendant l'Empire ottoman
Jusqu'à ce que les Juifs commencent à revenir en nombre croissant sur la Terre d'Israël à partir de la fin du 19ème siècle, la région appelée Palestine était un arrière-pays négligé contrôlé par l'Empire ottoman.
De 1880 à 1884, le gouvernement turc a installé des réfugiés circassiens musulmans dans le Golan afin d'éloigner les voleurs bédouins. D'autres colons se sont installés dans la région, notamment des Soudanais, des Algériens et des Kurdes.
En 1878, une loi ottomane accorde des terres en Palestine aux réfugiés musulmans de Bosnie-Herzégovine dans la région du Carmel, en Galilée, dans la plaine de Sharon et à Césarée. Les réfugiés étaient en outre attirés par des exonérations fiscales de 12 ans et l'exemption du service militaire. La même politique de colonisation a été menée à l'égard des réfugiés musulmans de Russie, en particulier de Crimée et du Caucase. Il s'agit de Circassiens et de Turkmènes, qui s'installent à Abu Gosh, près de Jérusalem, et sur le plateau du Golan. Les réfugiés d'Algérie et d'Égypte ont également été installés à Jaffa, Gaza, Jéricho et dans le Golan.
Mandat britannique : 1917-1947
En 1923, ayant découvert que le Golan est dépourvu de pétrole, mais que la région de Mossoul, dans le nord de la Syrie, est riche en pétrole, les Britanniques cèdent le Golan à la France en échange de Mossoul. Dans le même temps, la Trans-Jordanie est cédée du mandat palestinien, l'Égypte obtient le contrôle du Sinaï et les Britanniques et les Français obtiennent le contrôle du canal de Suez. (82 % des terres juives ont été sacrifiées au cours de ce processus).
Rien qu'en 1934, 30 000 Arabes syriens de la région du Hauran franchissent la frontière nord pour se rendre en Palestine mandataire, attirés par le travail dans et autour du port britannique nouvellement construit et par la construction d'autres projets d'infrastructure. Ils ont même surnommé Haïfa "Um el-Amal" ("la ville du travail").
Le recensement turc ottoman (1882) n'a recensé que 141 000 musulmans en Palestine. Le recensement britannique de 1922 fait état de 650 000 musulmans. (Ne s'agit-il pas là d'une augmentation particulièrement forte de la population ?)
Iran
- Ron Jager : L'erreur stratégique de l'Iran
L'attaque iranienne contre l'État d'Israël a été un échec opérationnel offensif complet et a fait de l'Iran un "tigre de papier", affaiblissant gravement ses ambitions d'être reconnu comme une superpuissance régionale au Moyen-Orient.
C'est tout le contraire qui s'est produit : le Hamas est sur le point d'être totalement détruit en tant que force militaire et mouvement politique parce qu'il a mal interprété l'état de préparation et la volonté d'Israël de se défendre. L'Iran, au lieu de tirer les leçons de l'erreur stratégique du Hamas le 7 octobre, s'est bercé d'illusions et a commis la même erreur à l'encontre d'Israël.
Les Iraniens n'ont pas compris que la majorité du public israélien n'est pas représentée par les manifestants, peu nombreux mais bruyants, qui s'opposent au gouvernement Netanyahou. Malgré l'amplification et le soutien accordés à ces manifestants par les médias et les partis politiques progressistes en Israël, ils ne représentent qu'une proportion minuscule du public israélien.
Bien que M. Biden ait dit de s'abstenir, Israël a toute légitimité pour attaquer l'Iran et profitera de cette occasion pour détruire les capacités militaires stratégiques de l'Iran, y compris sa capacité nucléaire. La réponse militaire d'Israël est un impératif stratégique et renforcera la dissuasion d'Israël à l'égard de l'Iran, ouvrant peut-être une période de stabilité au Moyen-Orient.
- Au lendemain de l'attaque de l’Iran contre Israël, le rial iranien a connu une chute importante de sa valeur. Bien qu'il ne soit pas officiellement reconnu pour le commerce en Iran et qu'il soit considéré comme une "monnaie indésirable", le dollar américain vaut un peu moins de 705 000 rials iraniens. Cette chute libre coïncide avec le fait que l'Iran est aux prises avec une grave inflation, qui atteint aujourd'hui plus de 40 %.
- Des figures de l’opposition iranienne condamnent l’attaque contre Israël et appellent au soulèvement. “Khamenei et son régime ont fait de l’Iran un pays arriéré et isolé, et en impliquant la nation et l’État dans une nouvelle guerre, ils ne font qu’ajouter à la misère des Iraniens”
Reza Pahlavi, prince héritier d’Iran, qui vit en exil aux États-Unis : “La guerre de Khamenei n’est pas la guerre de l’Iran ni celle de la nation iranienne….Khamenei et son régime ont fait de l’Iran un pays arriéré et isolé, et en impliquant la nation et l’État dans une nouvelle guerre, ils ne font qu’ajouter à la misère des Iraniens….. La voie vers une paix et une sécurité durables au Moyen-Orient consiste à soutenir le peuple iranien qui se bat pour récupérer son pays et la place qui lui revient dans le monde”.
Afshin Ellian, un célèbre professeur de droit qui a fui l’Iran pour les Pays-Bas : “Malgré l’attaque contre Israël, la population iranienne s’est opposée et s’oppose toujours à ce régime criminel Le mouvement de résistance iranien est prêt à combattre le régime de Khamenei”
Pouria Zeraati, présentateur de la chaîne de télévision Iran International, basée au Royaume-Uni, qualifie les Gardiens de la révolution iraniens de “terroristes” et se moque de leur nom de code pour l’attaque contre Israël, “Honest Promise” (promesse honnête).
- La défense aérienne iranienne S-300 d'Ispahan, qui protège le site nucléaire clé de Natanz, a été détruite sans être détectée par des missiles à longue portée tirés depuis l'extérieur de l'espace aérien iranien, comme l'ont confirmé samedi des sources et de multiples images satellite.
Israël
- Dror Eydar, journaliste : Lorsque des Arabes ou des musulmans massacrent les leurs, le monde prononce quelques faibles mots pour s'acquitter de ses obligations.
Lorsque les Juifs se défendent et attaquent leurs ennemis, le monde s'efforce de nous arrêter. Les hypocrites du monde ont assigné aux Juifs un seul rôle dans l'histoire.
Etre des victimes et continuer ainsi à représenter l'image fondatrice de la civilisation occidentale depuis deux mille ans : un Juif crucifié.
Avec la création de l'État d'Israël, Jésus est descendu de la croix, a revêtu son châle de prière et est redevenu un Juif galiléen sur sa terre, sauf que maintenant, il porte des armes et se défend contre la crucifixion. Les antisémites ne sont pas préparés à un tel changement de l’histoire.
De même, dans le monde musulman, les Juifs étaient des dhimmis humiliés qui devaient payer la jizya, un impôt nous permettant de rester dans leurs pays. Ce statut a changé avec la création de l'État d'Israël. Soudain, les Juifs sont devenus souverains sur leur terre, ce qui, sur le plan existentiel, n'est pas acceptable pour l'islam politique radical, dont l'Iran est le fer de lance.
Il n'existe pas dans le monde d'histoire semblable à la nôtre.
Depuis que notre Temple a été détruit et que nous avons été expulsés de notre terre, nous avons erré dans de nombreux pays. Une grande partie d'entre nous s'est assimilée et s'est intégrée à d'autres peuples, une grande partie d'entre nous a été assassinée de toutes sortes de manières. Et pourtant, nous vivons et nous existons.
En outre, nous avons réussi à retourner sur la terre dont nous avions été chassés et à rétablir notre indépendance politique, et ce trois ans seulement après la destruction d'un tiers de notre peuple et au cours d'une terrible guerre contre de grandes armées qui ont envahi Israël pour achever ce que les nazis n'avaient pas réussi à faire.
… Les prophètes de malheur ont déclaré que l'étape actuelle marquait la fin de la campagne militaire et ont fait écho à l'irresponsabilité historique des manifestants dans les rues - Nous sommes au milieu de la campagne - La guerre que le Hamas nous a imposée n'en est qu'à sa moitié…
- Frédéric Sroussi politologue israélien : L’Iran possède déjà toutes les capacités technologiques et matérielles pour produire l’arme atomique, et Israël remet toujours à plus tard la destruction des installations nucléaires des ayatollahs de Téhéran ! Que fera Israël quand l’Iran aura une ou plusieurs bombes montées en ogive ? Eh bien, même sans nous l’envoyer tout de suite en pleine tête, l’Iran pourra dicter au monde et à Israël sa volonté avec encore plus d’audace !
Pensons simplement que c’est – si je ne me trompe pas – la première fois dans l’histoire qu’un État qui n’a pas encore la bombe atomique ose attaquer un pays qui possède au moins une centaine d’ogives nucléaires (c’est un secret de polichinelle que l’État hébreu possède des armes atomiques)! Cela prouve à quel point les Iraniens ne prennent pas au sérieux – et à juste titre – notre volonté de les frapper fort.
Israël n’a pourtant plus le choix, et malgré le veto du l’Oncle Biden (avec le lâche soulagement d’une partie de l’establishment militaire israélien), il aurait fallu “profiter” de l’ignoble attaque iranienne pour lancer une contre-attaque immédiate qui aurait frappé les installations nucléaires et les lieux de pouvoir de l’Iran (tout en détruisant ses moyens de communications)….
La République Islamique d’Iran ne consentira pas à hisser le drapeau blanc sans une attaque volontaire, risquée et décisive d’Israël.
Etats-Unis
- Un article inhabituel du « New York Times » : « Netanyahu a raison »
L’historien israélien Benny Morris plaide pour l’élimination totale du Hamas.
Il appelle son gouvernement à mener une offensive d’envergure pour anéantir militairement le Hamas à Gaza. Selon lui, c’est la seule option pour Israël s’il veut recouvrer sa sécurité et sauver le sionisme.
Morris estime qu’Israël doit impérativement conquérir la ville de Rafah, ultime bastion du Hamas dans la bande de Gaza. « Si cela n’est pas fait, le mouvement islamiste survivra pour se battre et attaquer de nouveau, permettant à son chef Yahya Sinwar de crier victoire »
L’historien juge que le Premier ministre Netanyahu a raison sur ce point, malgré ses nombreuses défaillances. « Pour la paix israélo-palestinienne, la stabilité régionale et l’avenir d’Israël, le Hamas doit être éliminé », assène-t-il…
L’Égypte voisine s’oppose aussi à une telle attaque, par crainte d’un afflux de réfugiés et d’une remise en cause de son traité de paix avec Israël. Le scénario d’une confrontation élargie au Hezbollah libanais, voire à l’Iran, n’est pas exclu non plus.
Malgré ces risques considérables, Morris plaide pour l'invasion de Rafah. À ses yeux, épargner le Hamas remettrait en cause les fondements même du sionisme, en exposant l’incapacité d’Israël à protéger les juifs après des décennies de conflits.
« Un échec à capturer Rafah et démanteler les dernières forces du Hamas dépeindra Israël comme une entité faible, proie facile pour ses ennemis », prévient le polémiste. « Cela encouragera peut-être même le Hezbollah à parier sur une guerre à grande échelle»
- Alan Dershowitz, professeur de droit à Harvard, estime que les États-Unis n'en font pas assez pour soutenir Israël. Il a déclaré que les Américains avaient fait du bon travail alors qu'Israël était attaqué par l'Iran, mais qu'ils devaient faire davantage pour provoquer un changement de régime à Téhéran.
"Ce qu'il faut en fin de compte, c'est que les États-Unis soutiennent une sorte de changement de régime, la destruction de l'arsenal nucléaire iranien. Imaginez ce qui se serait passé si l'Iran disposait d'un arsenal nucléaire. Et cela va se produire. Cela n'arrivera peut-être pas cette semaine ou ce mois-ci, mais cela arrivera", a-t-il déclaré.
M. Dershowitz estime qu'Israël est légalement autorisé à agir contre l'Iran.
"L'Iran a officiellement déclaré la guerre à Israël. Israël a le droit de répondre de manière disproportionnée par tous les moyens possibles ; il a le droit de détruire les installations nucléaires de l'Iran, il a le droit de provoquer un changement de régime", a-t-il déclaré.
- Melanie Phillips, journaliste anglaise : ….Mais si l'Iran et le Hamas se sont sentis encouragés à concevoir et à perpétrer cette attaque, c'est parce qu'ils ont bénéficié, au cours des deux dernières décennies, de l'apaisement et de l'irresponsabilité idéologique flagrante des États-Unis, voire pire.
En 2015, l'accord nucléaire du président Obama, a permis à l'Iran de se doter d'une bombe nucléaire légitime dans les plus brefs délais, de bénéficier de milliards d'euros d'allègement des sanctions, de poursuivre son objectif d'hégémonie régionale et d'étendre son empire terroriste de la guerre sainte islamique à travers le monde.
Cette stratégie a été poursuivie par l'administration Biden qui s'est prosternée devant Téhéran pour tenter de rétablir l'accord nucléaire, assouplr les sanctions une fois de plus. Elle n'a riposté que sporadiquement et mollement aux attaques répétées des mandataires iraniens contre les forces américaines en Irak et en Syrie.
L'Iran a pensé à juste titre qu'il pouvait s'en tirer en libérant le Hamas le 7 octobre, ainsi qu'en augmentant les attaques du Hezbollah sur le nord d'Israël, parce que l'administration Biden empêcherait une riposte israélienne totale.
Non seulement les États-Unis sont restés à l'écart depuis le 7 octobre alors qu'Israël subissait quotidiennement des attaques de missiles du Hezbollah, mais M. Biden a dit à Israël de ne pas frapper le Hezbollah, comme il le souhaitait manifestement.
M. Biden a également demandé à Israël de ne pas prendre à Rafah pour achever les derniers bataillons du Hamas à Gaza, ce qui est nécessaire pour détruire le Hamas en tant que force militaire.
Les États-Unis ne sont intervenus pour mettre fin aux attaques des Houthis que parce que leurs propres intérêts sont directement concernés par la menace qui pèse sur la navigation en mer Rouge.
M. Biden a donc empêché Israël de neutraliser totalement la menace du Hamas. Il a empêché Israël de neutraliser la menace du Hezbollah. Et il a empêché Israël de neutraliser la menace de l'Iran.
L'Amérique aurait pu arrêter la guerre en frappant l'Iran ; l'introduction de sanctions sévères aurait même été un début. Au lieu de cela, elle a harcelé Israël et l'a empêché de neutraliser son ennemi iranien.
France
- Le vote de la France en faveur de l’admission à l’ONU de la Palestine comme membre de plein droit est une faute et un acte d’un rare cynisme.
La volonté de reconnaître de manière unilatérale un État de Palestine, hors d’une négociation avec Israël, quelques jours après l’attaque de l’Iran, 6 mois après les massacres du 7 octobre par les terroristes islamistes du Hamas et alors que l’on est sans aucune nouvelle des 134 otages qui croupissent dans les tunnels de Gaza… est une trahison de la diplomatie française.
C’est une nouvelle ligne rouge qui vient d’être franchie.
Ce vote de la France est une très mauvaise manière. Elle marque une véritable hostilité à l’égard d’Israël, pays ami et allié, et une indifférence au sort des juifs dans le monde qui sont attaqués lâchement par les soi-disant supporters de la « cause palestinienne », dont chacun depuis le 7 octobre a vu le véritable visage.
…. Il est urgent de dénoncer cette politique inacceptable, inamicale envers Israël et contraire aux intérêts de la France.
Onu
- Giulio Meotti, journaliste italien : Wokisme islamique à l’Onu
Mais pour le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, il y a une "épidémie mondiale d'islamophobie" et l'ONU a ainsi adopté une résolution parrainée par le Pakistan à l'Assemblée générale sur les "mesures de lutte contre l'islamophobie". Oubliez les massacres de juifs et de chrétiens. Un "envoyé spécial pour lutter contre l'islamophobie" arrive maintenant à l'ONU.
Cette même ONU qui a demandé que le mot "homme" soit remplacé par "humanité". L'homme doit disparaître.
Les mêmes Nations Unies qui demandent de dépasser les "stéréotypes des hommes et des femmes" pour "créer un monde plus égalitaire".
Ces mêmes Nations Unies pour lesquelles le leader du Hamas, Ismail Haniyeh, a travaillé comme enseignant à l'UNRWA.
Pendant les deux mois qui ont suivi le 7 octobre, les représentants de l'Agence des Nations unies pour l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes ont refusé de rencontrer des Israéliennes. Tout en condamnant la violence sexiste en temps de guerre, l'organisation n'a pas mentionné l'attaque terroriste du 7 octobre.
Les Nations unies célèbrent au niveau international la Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes. Pas un mot sur le Hamas.
Bienvenue dans le Wokeland des trompeurs de civilisation, des crapules de la charia et du chapelier fou de l'Occident.
- L'Arabie saoudite a pris la présidence de la Commission des droits de la femme des Nations unies. L'Iran préside le Forum du désarmement de l'ONU…. !
Pérou
Installés à une centaine de kilomètres au nord du lac Titicaca, les 50 000 habitants de cette ville la plus haute du monde, La Rinconada, perchée à 5 300 mètres d’altitude surtout connue pour sa mine d’or vivent avec moitié moins d’oxygène qu’au niveau de la mer. Vivre au-dessus de 5000 mètres, c’est au delà de ce que l’on considérait comme tolérable pour l’être humain.
«Au-delà de 5000 mètres, il existe un emballement des réponses de l’organisme pour s’adapter au manque d’oxygène, en particulier au niveau sanguin.» Cette modification de la qualité du sang concerne notamment le taux de globules rouges, qui s’établit autour de 40 % pour des habitants de plaine et dont les taux observés se situent entre 70 % et 80 % chez les habitants de La Rinconada. Cela n’est pas sans conséquence. La viscosité du sang très importante engendre une usure de l’organisme sur le long terme. «Le cœur a du mal à pousser ce sang et se fatigue, le cerveau est également perturbé».