Oketz : Les Chiens de Combat, Gardiens d'Israël

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Oketz : Les Chiens de Combat, Gardiens d'Israël

Israël

- Créée en 1939 dans le cadre de la Haganah, avant d’être démantelée en 1954, la brigade canine « Oketz » ressurgit en 1974 dans la base de Sirkin, suite à la vague d’attentats qui secouait  Israël à cette époque.

Sous le commandement de Yossi Labock, elle comptait alors 11 soldats. Au départ, sa mission consistait à intercepter les terroristes. Mais au fil des ans, son entraînement s’enrichit pour couvrir toutes les facettes de la formation canine.

Aujourd’hui, Oketz  compte des chiens d’attaque, d’une efficacité redoutable pour opérer en zone urbaine ou rurale, mais aussi des chiens de combat, de détection ou de pistage.

Les chasses à l’homme, la détection de brèches dans la barrière de sécurité, la recherche d’explosifs, d’armes et de munitions, et de tunnels, ou encore des missions de sauvetage d’individus en péril dans des immeubles effondrés font partie du quotidien de l’unité.

Un panel d’intervention assez large qui conduit les membres d’Oketz à se retrouver ponctuellement assignés à d’autres corps de l’armée pour y apporter leurs compétences, comme par exemple pour aider à faire sortir des terroristes retranchés dans des édifices fortifiés.

- Le ministère de la Défense a révélé que 9 250 soldats de Tsahal ont été blessés depuis le début du conflit à Gaza, il y a neuf mois. Parmi ces blessés, environ 70 % sont des réservistes, tandis que les 30 % restants sont des conscrits obligatoires ou des officiers de carrière. Près de la moitié de ces soldats sont âgés de moins de 30 ans. De plus, 35 % des blessés souffrent de troubles de stress post-traumatique (TSPT). Le ministère prévoit que le nombre de blessés atteindra 14 000 d’ici la fin de l’année 2024.

Avant ce conflit, le ministère avait recensé environ 62 000 soldats blessés dans tous les conflits antérieurs, dont 18 % présentaient des troubles émotionnels.

Cette guerre rappelle, une fois de plus, que les conflits armés laissent des cicatrices bien au-delà des champs de bataille, affectant durablement ceux qui y participent, même après le retour à la vie civile.

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