Julien Pellet

Je suis né en 1982 à Lausanne (Suisse) dans une famille juive traditionaliste et peu pratiquante. A l'âge de 16-17 ans, les discussions autour de l'actualité proche-orientale avec mes amis non-juifs me poussent à m'intéresser d'avantage à mes racines juives et à me rapprocher de la communauté.
Ce rapprochement s'accentue pendant mes études de droit, au cours desquelles je suis actif, entre autres, au sein de l'association locale des étudiants juifs.
Mon Bachelor en poche, je délaisse le droit pour me consacrer à la lutte contre l'antisémitisme avec l'association CICAD, basée à Genève. Puis, en 2010, les montagnes suisses cèdent la place aux collines de Jérusalem, où j'étudie à la yéshiva Machon Meir.
Une expérience qui durera 2 ans et au terme de laquelle je rentre en Suisse pour partager mon temps entre la CICAD et l'école juive de Lausanne, où je découvre les joies (et parfois les peines !) de l'enseignement.
Mais Jérusalem me réclame à nouveau et c'est grâce à celle qui finira par devenir ma femme que j'y fais mon grand retour à l'été 2014, accueilli comme il se doit par les roquettes du Hamas.

Les articles de Julien Pellet

Yishai Oliel, future star israélienne du tennis ?

Yishai Oliel deviendra-t-il le Novak Djokovic israélien ? C'est en tout cas ce qu'espère l'homme d'affaires londonien David Coffer, qui finance et dirige la Brigade David, une épuipe de jeunes joueurs israéliens prometteurs, dont Oliel est le membre le plus doué.

Le but de Coffer, à travers sa Brigade, est de "promouvoir et entraîner les joueurs de tennis israéliens qui atteignent les plus hauts standards internationaux". Depuis son lancement en 2005, Coffer estime que la Brigade a financé une centaine d'enfants et adolescents prometteurs.

Le nom de la Brigade ne fait pas référence à Coffer, mais au Roi David, "le plus grand héro de l'histoire d'Israël !"

Djokovic, le tennisman serbe No 1 mondial, représente l'espoir de Coffer pour les joueurs israéliens. Il rêve du jour où l'un de ses poulains remportera un tournoi international.

"Imaginez 8 millions de citoyens israéliens scotchés à leur TV et n'en bougeant pas avant la fin du tournoi de Wimbledon", dit-il. "Cela signifierait tellement d'avoir un champion israélien !"

Des joueurs israéliens tels que Dudi Sela, Andy Ram, Shahar Peer et Julia Glushko ont connu quelques succès au niveau international, mais n'ont jamais approché le haut du classement. [...]

Oliel, 15 ans et vainqueur à deux reprises du prestigieux tournoi Junior Orange Bowl en Floride, permet à Coffer de se montrer optimiste. En 70 ans, seuls huit autres joueurs ont remporté deux fois le tournoi. [...]

En plus d'entraîner des champions, le but de la Brigade David est également de faire parler d'Israël en bien, et sans aucun rapport avec la politique. Pour Andy Zingman, coach de la Brigade, "c'est un outil important pour changer la perception des gens à propos d'Israël".

 

Source: JTA, 23 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet


"Red leaves", le film qui retrace le parcours des Ethiopiens en Israël

Depuis que les Juifs éthiopiens sont arrivés en Israël, en 1984, ils ont eu un énorme impact sur Israël; et Israël a eu un énorme impact sur eux. L'Israélo-Ethiopien Bazi Gete met cette population à l'honneur dans son nouveau film, Red Leaves, dont les acteurs sont brillants et qui met en lumière un aspect de la vie israélienne peut connu du grand public.

Porté par le célèbre acteur éthiopien Debebe Eshetu, le film, inspiré par King Lear, relate une histoire classique de conflit intergénérationnel. Mais, comme pour toute histoire classique, la beauté de Red Leaves réside dans les détails.

Suite au décès de sa femme, Masganeo (Eshetu) fait part à ses deux fils adultes de son désir de vivre avec eux. Mais pour Masganeo, cela signifie également une difficile intégration avec la famille de ses fils, qui ne reflète pas exactement le monde juif éthiopien traditionnel que celui-ci a toujours connu. [...]

A la fois drame familial et documentaire social, Red Leaves, qui est en hébreu et en amharic, reflète un Israël que nous souhaiterions voir plus souvent sur grand écran.

 

Source: The Jewniverse, 23 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet

 


Des scientifiques israéliens développent une nouvelle technique pour lutter contre la malaria

Jusqu'à un million de personnes - principalement des femmes enceintes et des enfants - sont tués chaque année par le parasite Plasmodium falciparum, responsable de la forme de malaria humaine la plus dévastatrice.

Des chercheurs israéliens ont réussi à mettre à jour les ruses génétiques déployées par ce parasite meurtrier afin d'échapper aux attaques du système immunitaire humain.

Le parasite se reproduit dans le sang des individus infectés et modifie la surface des cellules rouges infectées. Cela lui permet d'échapper au système immunitaire en variant l'affichage des surfaces.

Pour le professeur Ron Dzikowski, de l'Université hébraïque de Jérusalem, la compréhension de la manière dont le Plasmodium falciparum échappe au système immunitaire - et, par la même, aux thérapies médicamenteuses - ouvre la porte à un plan de bataille efficace contre la malaria, qui touche environ 250 million de personnes dans le monde.

"D'autres chercheurs travaillent sur des médicaments ou des vaccins, mais le parasite a toujours une longueur d'avance sur nous. Notre approche consiste à comprendre comment le parasite évite les attaques immunitaires et, de cette manière, nous pourrons déterminer comment contrecarrer ses plans." [...]

Les résultats du Dzikowski et de son équipe ont été publiés début mars dans la prestigieuse revue Proceedings of the National Academy of Sciences. [...]

 

Source: Israel 21C, 22 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet


Tsahal: une soldate musulmane reçoit la Médaille d'Excellence

Parmi les 120 soldats ayant reçu la Médaille de l'Excellence jeudi dernier, lors de Yom ha'atsmaut, une recrue s'entraînant actuellement à la base de Bahad 1 a été l'objet d'une attention particulière. Il s'agit d'une jeune femme musulmane, venant d'un village arabe.

"Depuis que je suis toute petite, j'ai toujours voulu servir dans l'armée. Je voyais les soldats à l'arrêt de bus et je me disais que c'est ce que je voulais vraiment faire", se rappelle-t-elle, ajoutant qu'elle a toujours vécu "dans une maison musulmane pratiquante".

"J'ai toujours entendu ma famille dire que j'étais une Arabe palestinienne musulmane et que je devrais être concernée par l'avenir de mon peuple - le peuple palestinien. A l'âge de 16 ans et demi, j'ai reçu ma carte d'identité comme n'importe quel autre citoyen israélien et c'est là que j'ai commencé à ressentir un malaise dans mon identité."

"D'une part, ma famille me disait que j'étais Palestinienne; d'autre part, l'Etat me disait que j'étais Israélienne. Et c'est là que j'ai compris que je pouvais choisir."

"Ensuite, j'ai participé à l'opération Peace Child Israel, qui réunit des Juifs et des Arabes. Et j'ai réalisé que les Juifs ne sont pas les monstres que l'on m'avait décrits; ils sont les gens avec qui je vis en Israël."

Cette transformation personnelle a conduit la jeune femme, après un parcours compliqué, à s'enrôler dans l'armée israélienne. [...]

A l'âge de 19 ans, manifestant un désir d'indépendance par rapport à sa famille, elle entreprend des études et prend part au programme de Service Civil. "Mais au cours du programme, j'ai réalisé que ce n'était pas ce que j'avais réellement envie de faire car cela ne me mettait pas vraiment en lien avec la société israélienne. Le véritable lien avec Israël vient quand on porte l'uniforme", dit-elle.

A l'exception de sa mère, personne dans sa famille ne sait qu'elle sert dans l'armée israélienne. [...]

Aujourd'hui, la jeune femme dit ne pas regretter sa décision de rejoindre les rangs de Tsahal; elle espère même pouvoir encourager d'autres Israéliens musulmans à faire de même, ainsi que des chrétiens et des druzes. [...]

Elle sait bien que son appartenance à l'armée ne pourra pas rester secrète beaucoup plus longtemps: "Je sais que, tôt ou tard, beaucoup de gens seront au courant. Et je serai très heureuse si cela donne envie aux gens de me suivre et de s'enrôler à leur tour."

 

Source: Ynet News, 23 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet

 


Les voitures palestiniennes autorisées à circuler en Israël

Cent médecins palestiniens ont reçu l'autorisation d'entrer à Jérusalem avec leur véhicule, un changement historique qui verra des voitures palestiniennes circuler dans la ville pour la première fois depuis 15 ans. Ces autorisations seront suivies par de nombreuses autres, selon le Dr Mohammed Said, Béthlehem. Ce ne sont pas uniquement les spécialistes, mais tous les médecins, qui auront ainsi la possibilité de demander un permis de circulation pour Jérusalem.

Ce changement va considérablement simplifier la vie de ces médecins, à l'instar du Dr Firas Eleyan, qui travaille à l'hôpital Hadassa de Jérusalem depuis huit ans: "C'est une amélioration significative... le trajet en taxi pour entrer dans la ville me coûtait plus de 18 $ dans les deux sens, ce qui représente plus de la moitié de mon salaire annuel. Ce changement me permet également de gagner du temps: je mets à présent 15 minutes, contre 30 auparavant."

Le Dr Said est également très satisfait de ce changement, qui lui permet de gagner un temps considérable. "J'ai ainsi beaucoup plus de temps pour ma vie privée, ainsi que pour mes patients", se réjouit-il. [...]

Les voitures palestiniennes ont été interdites d'entrée en Israël depuis la deuxième Intifada, en 2000, pour raisons de sécurité. [...] 15 ans plus tard, le rétablissement de l'autorisation de circulation à Jérusalem permettra de faciliter la vie de nombreux Palestiniens: "Ceux qui trouveront un travail à Jérusalem bénéficieront de salaires plus élevés et de meilleures prestations sociales de la part de leur employeur", selon le Dr Ibrahim Hummed, à la tête du Syndicat des médecins de Hebron. [...]

Pour Kobi Gertswolf, chef du Département de coordination à l'Administration civile, "il est très important de laisser ces voitures entrer en Israël, malgré les questions de sécurité, afin de permettre aux médecins palestiniens travaillant en Israël d'accéder rapidement à leur lieu de travail. Nous espérons que ce changement sera couronné de succès. Nous ferons le point d'ici quelques mois sur le bien-fondé de cette décision." [...]

D'après Yoav Mordechai, Coordinateur des activités du Gouvernement en Judée-Samarie, le nombre de Palestiniens ayant obtenu un permis de travail en Israël a augmenté de 15 000 à 53 000. [...]

Pour le Dr Elayan, ce changement offre des perspectives inespérées: "C'est génial, ma voiture peut aller partout. Je suis très reconnaissant à Israël."

 

Source: Jerusalem Post, 25 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet


Un film israélien en compétition au Festival de Cannes

La sélection de films israéliens pour le 68ème Festival du film de Cannes s'est enrichie d'un court métrage: 'Assara re'hovot mea 'etsim (Dix rues, cent arbres), de Miki Polonski, a en effet rejoint le programme des films qui participeront à la prestigieuse Compétition Cinéfondation, le mois prochain.

18 films, provenant de 16 pays, ont été sélectionnés pour participer à la compétition, marquant ainsi le 18ème anniversaire de Cinéfondation. Ces films ont été choisis parmi 1600 propositions, provenant du monde entier.

D'autre part, l'actrice et metteur en scène israélienne Ronit Elkabetz, officiera cette année en tant que Présidente de la Semaine des Critiques, compétition parallèle au Festival. Le dernier film d'Elkabetz, Gett, The Trial of Viviane Amsalem, est nominé pour un Golden Globe dans la catégorie "film étranger".

Le Festival de Cannes, le plus important événement du monde cinématographique, se déroulera du 13 au 24 mai et comprendra une projection spéciale du premier film mis en scène par Natalie Portman, A Tale of Love and Darkness, basé sur un roman autobiographique de l'auteur israélien Amos Oz et qui a été filmé à Jérusalem.

Les "poids lourds" du cinéma mondial seront présents, notamment le Chinois Jia Zhangke, l'Italien Paolo Sorrentino et l'Américain Gus Van Sant. [...]

 

Source: Ynet News, 17 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet

 

 


Les Juifs doivent-ils quitter l'Europe ? - 6ème partie

Le magazine américain The Atlantic publie ce mois un reportage en huit chapitres consacré à l'antisémitisme en Europe, posant ouvertement la question: est-il temps pour les Juifs de quitter l'Europe ?

Depuis le début de la semaine dernière, Alliance vous offre en exclusivité une traduction de ce reportage, au rythme d'un chapitre par jour. Découvrez aujourd'hui la sixième partie, intitulée Hitler est mort...

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En janvier, lors d'une cérémonie célébrant le 70ème anniversaire de la libération du camp d'Auschwitz, Ronald Lauder, Président du Congrès Juif Mondial, déclarait amèrement que l'Europe "ressemble plus à 1933 qu'à 2015". Mentionnant les enfants juifs n'osant pas porter une kippah dans les rues de Paris, Budapest ou Londres et les attaques de magasins juifs et de synagogues, il déplorait le lent exode des Juifs d'Europe, déjà en cours en selon lui.

Il est indéniable que la situation des Juifs d'Europe s'est terriblement dégradée ces récentes années; mais comparer 2015 à 1933, l'année où Hitler est arrivé au pouvoir, est irresponsable. En dépit de la gravité de la situation actuelle, celle-ci est sensiblement différente de la situation prévalant il y a 80 ans, et ce pour deux raisons.

La première raison est qu'aujourd'hui, l'Etat d'Israël existe; et la raison de son existence est le rassemblement des Juifs dispersés. La tragédie du sionisme - le mouvement politique visant à créer un Etat pour les Juifs sur la terre de leurs ancêtres - est que son succès est intervenu trop tard. Si l'Etat d'Israël avait pu être créé en 1938, plutôt qu'en 1948, un très grand nombre de Juifs aurait certainement pu être sauvés du massacre. De nos jours, il ne fait aucun doute pour les Juifs de Toulouse et de Malmö qu'Israël les accueillerait sans sourciller; et plusieurs milliers de Juifs européens - principalement, mais pas exclusivement, français - ont immigré en Israël au cours des récentes années.

La deuxième raison - historiquement étonnante - est qu'en 1933, le nouveau Chancelier de l'Allemagne s'était déclaré sans aucune équivoque comme l'ennemi principal de l'existence juive; aujourd'hui, la Chancelière allemande, Angela Merkel, a fait de la défense des Juifs l'un des principes de la Nation: "Le soutien de l'Allemagne à la sécurité d'Israël fait partie intégrante de notre ethos national, de notre raison d'être", a-t-elle déclaré en 2013. Lors d'une manifestation contre l'antisémitisme, en septembre dernier, elle ajoutait: "Toute personne qui frappe quelqu'un portant une kippah s'attaque en réalité à chacun d'entre nous. Toute personne qui vandalise une tombe juive s'en prend à notre culture. Toute personne qui attaque une synagogue s'en prend aux fondations de notre société libre."

En France, Manuel Valls, Premier ministre socialiste, est l'un des plus ardents défenseurs des Juifs d'Europe. Pour lui, l'idée même de la France dépend de la lutte contre l'antisémitisme. [...]

Valls est déterminé et - ce qui est plutôt inhabituel pour un politicien français de gauche - très direct quant à l'identification des principaux vecteurs de la violence antisémite aujourd'hui: l'idéologie islamiste dont les calomnies antisémites et anti-occidentales ont largement pénétré les banlieues. Mais il va plus loin: "le nouvel antisémitisme" français est également le produit d'un méchant tour de passe-passe réussi par les ennemis d'Israël: déguiser leur antisémitisme en antisionisme.

"Critiquer la politique d'Israël est légitime", dit-il. "La critique existe d'ailleurs en Israël également. Mais ce n'est pas de cela dont nous parlons en France. Là, il est question de la remise en question de l'existence même d'Israël et ça, c'est de l'antisémitisme. Il y a un lien incontestable entre l'antisionisme et l'antisémitisme. Derrière l'antisionisme, on trouve l'antisémitisme." [...]

Valls et Merkel voient plus clair quant aux implications de l'antisémitisme que bien d'autres en Europe. C'est également le cas de David Cameron, Premier ministre britannique. [...]

"Parallèlement à la menace que représente l'islamisme extrémiste, il y a également une tentative insidieuse de délégitimer l'Etat d'Israël, qui tombe souvent dans l'antisémitisme. Nous devons être extrêmement clairs quant au fait qu'il existe une ligne rouge qu'on ne peut pas franchir." [...]

La lutte de Merkel, Valls et Cameron contre l'antisémitisme semble sincère. La question est: fonctionne-t-elle ? [...]

Pour David Nirenberg, spécialiste de l'antisémitisme à l'Université de Chicago, "Nous ne sommes pas revenus en 1933", principalement parce que l'antisémitisme ne se retrouve aujourd'hui pas dans le monde politique ou au sein des autorités. "Le danger aujourd'hui en Europe, explique-t-il, est que si les autorités politiques renoncent à protéger les Juifs contre les mouvements soi-disant antisionistes, personne d'autre ne les protégera."

 

Source: Jeffrey Goldberg, The Atlantic, avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet

Voir également:
Les Juifs doivent-ils quitter l'Europe ? - 1ère partie
Les Juifs doivent-ils quitter l'Europe ? - 2ème partie
Les Juifs doivent-ils quitter l'Europe ? - 3ème partie
Les Juifs doivent-ils quitter l'Europe ? - 4ème partie
Les Juifs doivent-ils quitter l'Europe ? - 5ème partie


Israël envoie de l'aide au Népal

Le tremblement de terre survenu samedi au Népal a fait 1805 morts et 4718 blessés dans l'ensemble du pays; il s'agit du séisme le plus important ayant frappé le Népal depuis 81 ans.

Le Népal a demandé aux pays qui en ont la possibilité d'envoyer une aide d'urgence afin de gérer les conséquences désastreuses du séisme.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a décidé d'envoyer une équipe de secours sur place, aussi tôt que possible.

L'équipe atterrira près de la région dévastée et préparera le matériel de secours en attendant de pouvoir se poser au Népal. Les Israéliens se trouvant dans la région recevront l'assistance nécessaire pour pouvoir rentrer en Israël.

D'autre part, les organisations de secours ZAKA, United Hatzalah et FIRST ont annoncé qu'elles allaient également envoyer une délégation de secouristes sur place. [...]

 

Source: Israel National News, 26 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet


Israël-Hamas: Une prochaine guerre ?

Le Hamas se prépare très certainement à une nouvelle guerre contre Israël, selon le Brigadier Général de réserve Zvika Fogel, qui a fait cette déclaration quelques heures après un tir de roquette depuis la Bande de Gaza.

"Le Hamas continue à alimenter son arsenal de roquettes", a déclaré cet ancien commandant. Pour lui, la prochaine guerre aura lieu "à la fin 2015 ou au début 2016".

Une partie du problème, a-t-il indiqué, est dû au fait que le Hamas néglige sciemment les besoins de la population palestinienne tout en désignant Israël comme responsable de sa pauvreté et de ses problèmes. [...]

L'armée de l'air israélienne a lancé des raids sur la Bande de Gaza peu après l'attaque, dont Israël considère le Hamas comme responsable. [...]

D'autre part, un récent rapport a révélé que le Hamas avait accéléré le rythme dans la construction de ses tunnels, utilisant du matériel professionnel afin de consolider les infrastructures.

 

Source: Israel National News, 24 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet

Israël: trois attaques terroristes en deux jours

attentats à Jérusalem vendredi 25 avril 2015

Trois policiers israéliens ont dû être hospitalisés après avoir blessés par une voiture ayant foncé sur eux dans le quartier de a-Tur, à Jérusalem, samedi soir. D'après la police, il s'agit d'un attentat terroriste.

Suite à l'attaque, les forces de sécurité ont organisé des recherches afin de retrouver le suspect. La voiture utilisée pour l'attentat a été retrouvée, mais le chauffeur est, à l'heure actuelle, toujours en fuite.

Samedi soir également, des inconnus ont lancé des pierres sur la voiture du Maire de Jérusalem, Nir Barkat, qui se rendait sur les lieux de l'attentat.

Plus tôt dans la soirée, un Palestinien avait attaqué un officier de police à Hebron, près du Tombeau des Patriarches, le poignardant au visage et à la poitrine.

Enfin, la veille, un Palestinien de 17 ans avait attaqué des membres de la sécurité au check-point de Ma'aleh Adumim. L'agresseur, qui a attaqué les gardes avec un couteau, a été tué.

 

Sources: Jerusalem Post - 25 avril 2015, Ynet News - 26 avril 2015

Traduction et adaptation: Julien Pellet