Gaza avant et après : ce qu’il reste quand on déclare la guerre à Israël

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Gaza avant et après : ce qu’il reste quand on déclare la guerre à Israël

Gaza avant et après : ce qu’il reste quand on déclare la guerre à Israël

Histoire d’un choix stratégique fatal

“On vous a donné Gaza en 2005. Vous nous avez donné le 7 octobre 2023.”

Cette phrase résume la tragédie de Gaza. Elle n’est pas simplement victime : elle est le fruit d’un choix politique et militaire délibéré.
Depuis le désengagement unilatéral d’Israël en 2005, Gaza aurait pu devenir un Singapour méditerranéen. Elle a préféré devenir un bastion islamiste aux mains du Hamas.

 Gaza, une opportunité historique… gâchée

Lorsque Tsahal se retire de la bande de Gaza en 2005, Israël y laisse des serres, des infrastructures agricoles, des routes, des écoles.
La communauté internationale espère un tournant. Mais en 2007, le Hamas prend le pouvoir par les armes et installe une dictature islamiste. Dès lors, les milliards d’aides humanitaires seront investis dans les tunnels, les roquettes, les infrastructures terroristes, et non dans la santé ou l’éducation.

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“Chaque dollar pour Gaza est une balle contre Israël”, affirmait un responsable du Hamas dès 2012.

Le 7 octobre 2023 : l’acte de guerre qui change tout

Ce jour-là, Israël se réveille sous le feu et l’horreur : plus de 1200 civils israéliens assassinés, des femmes violées, des enfants brûlés vifs, des familles massacrées. Le tout revendiqué avec fierté par le Hamas, qui diffuse ses crimes sur les réseaux sociaux.

Le Hamas a réveillé la mémoire du pogrom, et Tsahal a répondu avec la rigueur d’un État en guerre.

Rafah, Khan Younès, Gaza-ville : quand la guerre vient chercher les coupables

Depuis, l’armée israélienne mène une campagne méthodique pour démanteler l’infrastructure terroriste. Gaza est devenue un théâtre d’opérations militaire : les tunnels sous les écoles, les caches d’armes dans les hôpitaux, les quartiers civils piégés. Chaque frappe est ciblée, chaque zone est évacuée après des avertissements humanitaires sans précédent.

“Nous faisons la guerre à ceux qui ont massacré nos familles, pas aux civils”, répète le porte-parole de Tsahal.

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Images satellites : avant/après Rafah, la réalité sans filtre

Gaza AVANT

Une ville dense, avec des immeubles modernes, des zones agricoles, des écoles, des hôpitaux. Une ville vivante, dynamique, et parfois même prospère.

Gaza APRÈS

Une désolation quasi-totale dans les zones tenues par le Hamas. Les quartiers devenus des nids de missiles sont désormais rasés. Des kilomètres de tunnels détruits, des centres de commandement effacés de la carte.
L’ampleur des destructions, confirmée par AP, Bellingcat ou encore Politico, montre la puissance de feu, mais aussi la précision chirurgicale de Tsahal.

 Et maintenant ? L’avenir appartient à ceux qui rejettent le Hamas

Israël n’a aucune envie de rester à Gaza, mais ne peut plus se permettre qu’un monstre y renaisse.

La reconstruction ne viendra pas tant que le terrorisme y prospère.

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