
Rima Hassan : la militante LFI qui confond drones grecs et attaque israélienne
Un happening politique en mer
Le voilier Madleen, affrété par la coalition “Freedom Flotilla”, a quitté Catane le 1er juin, direction Gaza. À son bord : des militants pro-palestiniens, dont Greta Thunberg et Rima Hassan. Officiellement, il s’agit d’une mission humanitaire destinée à “briser le blocus” israélien.
En réalité, selon plusieurs sources, la cargaison transportée est inférieure à 5 tonnes — essentiellement des médicaments et des kits de premiers soins, soit moins que ce qu’Israël autorise à passer quotidiennement par Kerem Shalom.
La bourde sur X : “On nous attaque !”… mais non
Dans une vidéo supprimée depuis, Rima Hassan déclare :
« Le bateau est survolé par des drones, nous sommes prêts à toute éventualité. »
Quelques heures plus tard, la panique redescend : les drones étaient grecs. L’humiliation est virale. Les internautes se déchaînent. L’un d’eux raille :
« Rima Hassan, l’experte en géopolitique, confond la surveillance grecque avec un acte de guerre israélien. Même Netflix n’aurait pas osé. »
Un autre résume l’affaire d’un trait cruel :
« Une eurodéputée qui ne sait pas faire la différence entre un drone de l’OTAN et un missile du Hamas, ça promet pour la diplomatie européenne. »
Le financement opaque de la flottille
Selon des données accessibles sur le site de la coalition, cette opération aurait été financée par des dons via des ONG européennes, certaines visées par des enquêtes pour leurs liens avec le Hamas. Le bateau aurait été affrété via des intermédiaires turcs, et n’a jamais eu d’autorisation de débarquer à Gaza.
Israël reste silencieux… et vigilant
Tsahal a simplement fait savoir qu’il “surveillait de près toute tentative de briser le blocus” et que “tout navire tentant de violer les frontières maritimes israéliennes sera détourné conformément au droit international.” Aucune intervention israélienne n’a eu lieu : il semble que cette opération ridicule n’ait même pas franchi les eaux territoriales grecques au moment de l’alerte.
Un naufrage politique avant même d’approcher Gaza
Ce qui devait être une démonstration de courage s’est transformé en une farce géopolitique. La flottille, annoncée comme le D-Day de la solidarité, se termine par une confusion de drones et une pluie de moqueries en ligne. Rima Hassan, censée incarner la voix du peuple palestinien à Bruxelles, s’impose désormais comme l’icône involontaire du militantisme-bouffonnerie.
Vos réactions