Mosaab Hassan Yousef dévoile le piège stratégique de Trump contre le Hamas

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Le coup de maître de Trump à Gaza en 8 étapes. Par Mosaab Hassan Yousef

Fils d’un fondateur du Hamas, Mosaab Hassan Yousef livre une analyse glaçante du piège stratégique tendu par Donald Trump au Hamas à Gaza. Sans tirer une seule balle, le président américain laisse le Hamas s’effondrer sur lui-même, exposant au monde la vérité brutale : le pire ennemi des Palestiniens, c’est le Hamas lui-même.

Le coup de maître de Trump à Gaza : comment les ennemis du Hamas n’ont rien eu à faire, sinon attendre. "Assieds-toi au bord de la rivière et tu verras passer le cadavre de ton ennemi." Proverbe chinois.

 Moi, fils du Hamas, j’ai vu ce que personne ne veut voir

Je suis né à Ramallah, dans une famille où le mot “résistance” se transmettait comme un héritage sacré. Mon père, cheikh Hassan Yousef, fut l’un des fondateurs du Hamas.
J’ai grandi dans l’ombre des martyrs, dans le culte du combat, dans l’idée que le sang versé pour l’islam était la seule voie. Puis j’ai ouvert les yeux. J’ai vu l’envers du décor. J’ai vu que l’ennemi du peuple palestinien n’était pas Israël, mais bien souvent ceux qui prétendaient le défendre.

Et aujourd’hui, je dois le dire : ce qui se passe à Gaza avec le plan de Donald Trump est un coup de maître. Froid. Clinique. Terriblement efficace. Un plan à huit étapes, sans une seule balle américaine, qui laisse le Hamas s’écrouler sous son propre poids, sous sa propre violence. Je vais vous le raconter.

 

 1. Tout commence avec les otages

Israël évacue Gaza et le Hamas rend les otages.
Trump impose un cessez-le-feu. Le Hamas perd son levier : il n’a plus rien à négocier. Israël, de son côté, cesse d’être accusé d’agression et sort du piège sans s’enliser.
L’opinion internationale déraille : plus d’occupation, plus d’excuse.

2. Le chaos orchestré

Aucune exigence de désarmement. Gaza est laissée entre les mains des factions.
Résultat : les milices rivales s’affrontent. Ce n’est plus Israël l’ennemi.
Chacun se bat pour survivre, contrôler un carrefour, un stock, un couloir. Le Hamas perd le monopole de la terreur.

3. L’aide arrive. Mais elle ne sauve pas

Des camions pénètrent à Gaza. Lentement. Juste assez pour éviter la famine. Pas assez pour reconstruire. L’eau arrive. Quelques conserves. Mais rien ne bouge. Gaza étouffe. L’impuissance se voit. Trump n’a même pas besoin de parler : la misère parle pour lui.

4. Les combats internes explosent

La guerre éclate, mais elle est intérieure. Factions islamistes, groupes armés, tribus, tous s’affrontent pour les miettes. Les armes se braquent vers l’intérieur. Tsahal n’a plus besoin d’intervenir. Les balles viennent des kalachnikovs palestiniennes.

5. La faim ne tue plus. La vérité, si

Le récit humanitaire se fissure. Les photos montrent les cargaisons d’aide. Mais les Gazaouis continuent de mourir. Non de faim, mais de balles. L’imposture éclate. Le monde découvre que ce sont les Palestiniens qui tuent les Palestiniens. Plus personne ne peut se mentir.

6. Les tribus implorent Israël

Des familles, des leaders locaux contactent Israël. Pas pour fuir. Pour être libérés du joug du Hamas. Trump ne réagit pas. Il autorise simplement “l’autodéfense”. Et regarde les bourreaux d’hier tomber Les oppressés se réveiller.

 7. Le rêve d’un État se désintègre

Un peuple qui ne peut gérer une file d’attente ne peut bâtir une nation. Gaza devient le contre-exemple absolu. L’idée de deux États s’effondre, non sous les bombes, mais sous l’évidence : l’autonomie palestinienne mène au chaos quand elle est entre les mains d’assassins.

 8. Gaza se vide. Naturellement

Il n’y a ni mur, ni ordre d’évacuation. Mais les Gazaouis fuient. Parce que rester, c’est mourir. La peur les chasse. La honte les ronge. Trump ne dit rien. Il n’a pas besoin. Le silence suffit à faire comprendre.

Au final :

Zéro balle américaine. Zéro reconstruction. Zéro discours.

Trump ne détruit rien. Il laisse le mensonge s’écrouler.

Le pire ennemi de Gaza, c’est le Hamas lui-même. Et ce n’est pas un nettoyage ethnique.

C’est un miroir tendu à tous ceux qui ont glorifié les bourreaux du 7 octobre.

 

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