Therese Zrihen-Dvir

Biographie de Thérèse Dvir – nom de plume Thérèse Zrihen-Dvir, auteur, chroniqueuse, poète.

Née à Marrakech, elle est la petite fille du président de la communauté juive de la province de Marrakech, Rabbi Moshé Zrihen, Rabbin-juge (Dayan).
Une bouleversante visite en 1966 en Israël, lui révèle l’étroitesse et précarité du petit état naissant. Elle décide de joindre l'effort nationaliste d'Israël.

En parallèle, elle entame une carrière bancaire qui lui permet des études en économie et gérance de monnaies étrangères en autodidacte.
Après une ascension fulgurante, elle décide de changer d'horizon et prend en charge une compagnie d'import qu'elle dirige avec grand succès en lui amalgamant ses études en direction.

Elle vit une expérience au Canada de 1981-1985 où elle met ses connaissances dans l'art de la peinture en œuvre afin de promouvoir les toiles de son époux, dont deux d’entre elles font aujourd’hui partie de la collection gouvernementale de l’Ontario à Queen’s Park.
Elle retourne en Israël en 1986 où elle réside à ce jour.
Au terme de sa carrière professionnelle dans le High-Tech et à la maturité de ses enfants, elle décide de se vouer entièrement à l'écriture. Par ses œuvres, elle espère rectifier certaines présomptions erronées et injustifiées, accablant les immigrants juifs du Maroc.

Ses livres couvrent le mode de vie de la communauté juive, leurs luttes de survie, leur isolation, les problèmes engendrés par leur niveau social et éducationnel, mais surtout leur merveilleux legs de traditions.
Elle est polyglotte – ses œuvres sont publiées en trois langues. Trois d'entre elles font partie de la librairie du Congrès américain.
Une autre – petits contes - fait partie du cursus universitaire du Maroc.

Les articles de Therese Zrihen-Dvir

Lettre ouverte aux Arabes de « Palestine»

Lettre ouverte aux Arabes de « Palestine»

Imaginons pendant quelques minutes seulement, que vous êtes parvenus après tant d’efforts et de morts, de mensonges et de subterfuges, de détournements et d’expropriations, aidés et subventionnés par le monde libre, à déloger les juifs de la terre d’Israël en les tuant ou en les faisant fuir…  et vous êtes maintenant les possesseurs de ces terres prétendues palestiniennes alors que nous savons tous qu’il n’y a jamais eu de Palestine – nom qu’Hadrien, empereur romain avait donné en punition à Israël, ni de palestiniens.

Qu’allez-vous en faire ?

1 – D’abord vous allez vous battre pour le pouvoir, les possessions, les richesses… L’OLP et le Hamas se feront la guerre. Vous allez vous entretuer pour vous arracher cette carcasse que vous venez de recevoir en cadeau. Plus de juifs, plus de chrétiens, que des arabes et des musulmans.

2 – Vous allez donc créer un État islamique à l’instar de la république islamique d’Iran, ou bien un fantôme de démocratie qui ne tiendra jamais et qui sera perpétuellement menacé par les opportunistes de tous bords. Et vous n’en manquez jamais !!!

3 – Brusquement vous vous découvrez des tribus, des clans, des chiites, et des wahabites… Chacun veut être le dirigeant de cet État qui vous a échu nouvellement. Sachez que si les juifs abandonnent leurs terres, ils tâcheront d’en faire ce qu’elles étaient avant leur arrivée. Et vous aussi vous en ferez ce qu’elles étaient avant leur administration par des juifs.

Les nomades du sud et du nord reprendront leur brigandage, leurs vols, leurs effractions… leurs lois de protection… Que dis-je : plus de lois, plus de justice, la sauvagerie et la barbarie seront rois encore une fois. Mais vous avez l’habitude de vivre ainsi. Il faut tuer les femmes qui osent lever la tête. Il faut dominer. Apartheid, bien sûr. Plus d’églises, ni de synagogues… que des mosquées et nous savons tous à quoi elles servent.

C’est l’effigie inattaquable de Gaza un peu partout sur tous les terrains, sur toutes les zones. Plus de juifs pour créer du travail, plus de juifs pour investir dans la rénovation… dans l’amélioration du quotidien, la santé, l’éducation…

Vous ressemblerez comme deux gouttes d’eau à la Syrie, à l’Iraq, au Yémen, à la Jordanie, au Liban, à la Lybie… et tant d’autres qui viennent à peine d’assimiler le danger de l’ignorance et du manque de compassion et de fraternité. Du vivre-ensemble ? C’est une utopie ridicule inventée par les occidentaux.

Vous savez en fait, que c’est ce que vous êtes capables d’être… et rien d’autre.

Par contre, vous en ferez bien des heureux : Ces grands vendeurs d’armes qui n’attendent que des monstres assoiffés de sang viennent pour acquérir des armes qui serviront pour assassiner leurs frères et/ou sœurs… ceux/celles qui désobéissent, ceux/celles qui refusent de se soumettre…

Les marécages reviendront, la malaria aussi, la pénurie d’eau vous fera fuir jusqu’au désert, lorsque vous découvrirez votre incapacité d’administrer un État digne de ce nom. Le nomadisme reviendra et la pauvreté aussi. Ces quelques-uns nantis d’un peu plus de jugeote prendront la fuite et iront chercher leurs vies ailleurs, dans un Occident décadent et souillé.

Vous regretterez alors ces juifs que vous avez tant cherché à tuer… et qui vous avaient ouvert les portes du savoir, de la compréhension, de la justice, de la sécurité et de la compassion…

Oui, ces juifs, ces timorés… ces mécréants. Ils ne sont plus… et votre État de même… Il deviendra un désert aride où rien ne pousse hormis la mort et la désolation.

Thérèse Zrihen-Dvir

Shlomo Sand et consorts : ces juifs haineux et assoiffés de gloire

Shlomo Sand et consorts : ces juifs haineux et assoiffés de gloire

NADAV LAPID, SHLOMO SAND ET CONSORTS : DES JUIFS HAINEUX DE SOI, ASSOIFFÉS DE GLOIRE... PAR THÉRÈSE ZRIHEN-DVIR

Que ne feront-ils pas pour le feu des projecteurs ? Pour un Oscar, un César, un prix, une audience qui les applaudit, un moment de prétendue grandeur, de gloire, de succès qui bien sûr leur rapportera assez d’argent et éclipsera toute l’horreur dont ils se sont servis pour ces quelques minutes de rare exaltation.

Car dans le fond, trahir sa patrie, sa foi, ses frères, c’est vieux comme le temps... Cela date depuis Caïn et Abel, et cela se répète sur toutes les générations d’homme.

Des « Dothan », on ne cesse d’en compter.

D.ieu pour eux n’existe pas. Leurs dieux c’est d’abord EUX, puis c’est l’argent, la gloire, la reconnaissance des autres... la Conscience a pris la tangente et puis après tout qui en a besoin ? " Après moi le déluge. C’est maintenant, aujourd’hui, là, immédiatement. Tant pis s’il faut marcher sur des cadavres. Tant pis si ces cadavres sont ceux de mes frères. Je n’ai pas de frère... Je suis un orphelin. Je suis MOI en grand. Et la vie, je m’en saisirai comme il me plaira, à ma manière, à ma guise, choisissant ceux qui contribueront à réaliser mes folles ambitions."

Je n’ai ni patrie, ni foi. Je suis MOI. Point final.

Les juifs, ils n’existent pas. Ils ont été inventés pour usurper des territoires qui ne leur appartiennent pas.

Shlomo Sand devait se demander : Que fais-je en Israël ? Il m’a servi pour m’extraire de l’anonymat. Je suis célèbre, le reste, je m’en moque.

Je suis devenu le défenseur de ceux que j’ai choisis et qui aussi, me servent de tremplin pour atteindre ma gloire, concrétiser mes rêves les plus fous, me parer de la tiare du succès...

Mais en quoi suis-je différent des autres ? Dans l’échiquier de la vie, il faut choisir ses pions. Je n’ai eu que l’embarras du choix tant au sein de ceux qui se disent mes frères, que ceux que l’on accuse d’être mes ennemis.

Pauvre créature ingrate et disgracieuse, tu oublies que tu n'es qu'une poignée de sable... Faudrait-il te rappeler que :

  • La plus belle victoire c’est celle que nous avons sur nous-mêmes, sur nos tentations, nos faiblesses.
  • La plus belle tiare à notre front c’est celle de l’humilité et la modestie.
  • Le meilleur trophée c’est celui que le Seigneur nous remettra pour nos bonnes actions
  • Et finalement le plus beau cadeau c’est celui de l’Amour du Divin.

Thérèse Zrihen-Dvir

 

 

 

 

La dissolution de la coalition Bennett-Lapid n'est ni anodine ni éventuelle

La dissolution de la coalition Bennett-Lapid n'est ni anodine ni éventuelle

La coalition Bennet-Lapid devait se dissoudre et pas forcément à cause de l’aval nécessaire de la loi sur la Judée et Samarie. Les enjeux n’étaient pas à ce degré, cruciaux.

D’autres éléments en cours avaient sans nul doute pesé sur la balance de l’échiquier politique, dont le besoin incommensurable d’un gouvernement plus large et plus téméraire que celui moutonneux qui officiait récemment.

Le danger qui guette Israël est le nucléaire iranien.

Si, par malheur, un accord est conclu entre les cinq puissances et l’Iran, qui n’inclut pas la sécurité d’Israël, ce dernier va devoir lancer une attaque contre l’infrastructure nucléaire iranienne.

Et ce n’est certes pas un jeu d’enfant. Israël est encerclé par une liste incommensurable d’ennemis, dont le Hamas à Gaza, les Arabes de Palestine qu’ils soient de Judée et Samarie et/ou des villes mixtes d’Israël.

Au nord, c’est le Hezbollah libanais, acoquiné  au Hamas, au sud des nids de terreur bédouins disséminés – un ensemble effrayant, qui ne permet aucune imprudence.

Tout doit être calculé dans les moindres détails même des plus futiles afin d’éviter une erreur qui pourrait devenir fatale.

Ce n’est pas sans raison, que Biden, le président des USA vient en visite en Israël.
Et ce n’est pas non plus sans raison qu’Israël se prépare à une attaque d’envergure existentielle et a longtemps tergiversé…
Ses dirigeants ne sont pas de l’étoffe d’un Menahem Begin qui avait, sans recevoir de bénédiction de qui que ce soit, donné son assentiment à l’armée d’Israël de détruire l’infrastructure nucléaire irakienne et plus tard celle de la Syrie.

Le Senat :

Quels dangers présenteraient l’accession de l’Iran à l’arme atomique ?

a- Une attaque israélienne sur les sites nucléaires

Un Iran nucléaire ne constituerait pas a priori une menace grave pour l’Europe ou pour les Etats-Unis. Question qui demande un peu plus d’approfondissement.

La question, en revanche, se pose pour Israël. Compte tenu de l’exiguïté de son territoire, une seule arme nucléaire mettrait en péril l’avenir de l’Etat juif. On peut comprendre que ses dirigeants refusent de prendre le moindre risque et estiment que la destruction préventive des capacités nucléaires militaires iraniennes s’impose, comme ce fut le cas pour les capacités irakiennes en 1982 et syriennes en 2007.

Les déclarations des leaders iraniens n’ont pu que renforcer la perception de cette menace. L’ayatollah Khomeiny aurait déclaré en 1980 : « Nous ne vénérons pas l’Iran, nous vénérons Allah. Le patriotisme est le masque du paganisme. Je vous le dis : ce pays peut brûler. Je vous le dis : ce pays peut bien partir en fumée, du moment que l’Islam en ressort triomphant dans le reste du monde ». 

Il a fallu 500.000 morts iraniens avant que Khomeiny ne se décide à stopper la guerre avec l’Irak, qui aurait pu être arrêtée beaucoup plus tôt.

L’ayatollah Khamenei a fait son éducation religieuse au séminaire de Mashad où l’on développe une interprétation ésotérique des textes sacrés et où l’on considère que la raison et la foi sont incompatibles.

Le président Ahmadinejad a été influencé par le messianisme de l’ayatollah Mohammed Taqi Mezbah Yazdi. Même le discours des dirigeants iraniens réputés pragmatiques suscite des interrogations. La formule de Hashemi Rafsandjani, selon laquelle « l’emploi d’une seule arme nucléaire contre Israël détruirait tout sur cette terre (d’Israël), mais ne causerait que des dommages limités au monde musulman » incite à la méfiance.

En revanche, il est presque certain qu’Israël ne dispose pas des moyens de détruire, en un seul raid, l’ensemble des sites concourant au programme nucléaire iranien dont le nombre est trop important, et la protection trop bien assurée.

Une telle attaque retarderait donc le programme iranien de plusieurs années, mais ne le stopperait pas. D’autant plus que s’il s’agit bien d’un programme militaire, il est probable qu’un ou des sites cachés existent. Dans tous les cas, le savoir-faire technologique des ingénieurs iraniens ne pourrait pas être détruit.

Les représailles que Téhéran pourrait déclencher sont nombreuses et pénalisantes : blocage du détroit d’Ormuz, attaque contre certains Etats du Golfe, offensives du Hezbollah et du Hamas, tirs iraniens de missiles balistiques à charge conventionnelle contre le territoire d’Israël, etc. Toutefois l’Iran pourrait être tenté de limiter ses représailles pour ne pas donner aux Etats-Unis des raisons d’intervenir.

Un autre aspect est à prendre en considération :

L’acquisition par l’Iran de l’arme nucléaire déclencherait presque certainement la nucléarisation de toute la région. L’Arabie saoudite, l’Egypte et la Syrie chercheraient à suivre son exemple. Au-delà, la Turquie et l’Algérie pourraient lancer ou relancer des activités dédiées au nucléaire militaire.

Ce qui est surprenant, c’est que les cinq puissances, qui se disent puissances, n’osent même pas prendre en considération une entreprise pareille, et c’est ainsi que le petit Etat d’Israël se voit contraint de lever le gant et de sortir à l’aventure.

Une coalition qui n’inclurait pas des Arabes est obligatoire, puisque l’Etat hébreu va devoir oblitérer toute occasion aux opportunistes arabes aux aguets d’intervenir et de profiter de la situation pour leurs propres intérêts.

Que DIEU nous aide !

Thérèse Zrihen-Dvir