La visibilité du casher offerte dans les supermarchés, notamment, permet aussi de toucher des consommateurs non juifs. Un atout de taille, qui explique aussi la banalisation des enseignes casher. Hassan, résident dans le 17e arrondissement de Paris, en sait quelque chose.
« Au cours de ces vingt dernières années, j’ai vu fleurir une myriade de restaurants ou de supérettes casher dans le quartier », lance-t-il, réjouit. « Je les fréquente assez souvent car je suis musulman. Il s’agit donc de produits licites. »
Tout le monde mange donc casher ? Probablement. Selon l’USDA, 60 % de la demande casher inclut les consommateurs allergiques au lactose, les consommateurs de confession musulmane et d’autres religions et les consommateurs soucieux, notamment, des normes sanitaires. .
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