Sonya Zadig : "Aujourd'hui, l'islam est la seule religion qui tue " -vidéo-

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Sonya Zadig : "Aujourd'hui , l'islam est la seule religion "

Sonya Zadig : Une voix libre face à l’obscurantisme de l'islam

Un parcours marqué par la quête de liberté

Sonya Zadig, psychanalyste, linguiste et écrivaine franco-tunisienne, s’est imposée comme une figure intellectuelle majeure dans le débat sur la condition féminine en terre d’islam.
Exilée de son pays natal depuis de nombreuses années, elle s’est toujours réclamée du féminisme universaliste, à l’instar de Simone de Beauvoir et d’Élisabeth Badinter.
Son engagement se traduit par une critique sans concession de l’islam, qu’elle considère non seulement comme une religion, mais aussi comme un système culturel et politique visant à soumettre l’altérité.

« Aujourd’hui, l’islam est la seule religion qui tue »

Dans ses écrits et interventions publiques, Sonya Zadig dénonce la violence inhérente à l’islam contemporain. Elle affirme que l’islam est la seule religion qui tue, soulignant que cette violence s’exerce non seulement envers les non-musulmans, mais aussi envers les musulmans eux-mêmes, notamment les femmes et les apostats. Elle cite le verset coranique suivant pour illustrer son propos :

« Mais s’ils tournent le dos, saisissez-les alors et tuez-les où vous les trouvez » (Sourate 4, verset 89).

Pour Sonya Zadig, ce verset démontre l’intolérance de l’islam envers ceux qui choisissent de quitter la foi, une attitude qu’elle considère incompatible avec les principes fondamentaux des droits de l’homme.

La condition des femmes en terre d’islam

Sonya Zadig consacre une grande partie de son œuvre à dénoncer la condition des femmes dans les sociétés musulmanes. Elle établit un parallèle entre le statut de la femme musulmane et celui du dhimmi, le non-musulman vivant sous domination islamique, affirmant que la femme est réduite à un rôle de subordonnée, soumise à l’autorité masculine. Dans son ouvrage Soumise, elle écrit :

« La femme musulmane s’acquitte de la lourde dette d’être née femme en payant de son corps, en étant l’objet d’un autre, ou son “champ de labour” comme l’énonce le texte sacré. »

Elle souligne que l’islam, en réduisant la femme à son rôle de mère et d’épouse, perpétue un système de domination où la femme devient la courroie de transmission de son propre asservissement.

Une admiration pour la condition des femmes dans le judaïsme

En contraste avec sa critique de l’islam, Sonya Zadig exprime une profonde admiration pour la condition des femmes dans le judaïsme, notamment dans ses courants libéraux.

Elle met en avant les avancées réalisées dans ces milieux, où les femmes peuvent accéder à des rôles de leadership religieux, comme le montre l’ordination de femmes rabbins en France. Elle considère que le judaïsme offre un modèle d’émancipation et de résilience, en particulier pour les femmes, et souligne l’importance de la laïcité à la française comme cadre permettant cette émancipation.

Un engagement en faveur de la laïcité et des droits des femmes

Sonya Zadig milite activement pour la laïcité à la française, qu’elle considère comme la seule arme efficace contre l’islamisation rampante. Elle appelle les femmes musulmanes à se libérer de l’emprise du discours islamique, affirmant que l’islam n’aura une chance d’accéder à la modernité que si les femmes acceptent de déchirer le voile, symbole de leur soumission. Elle déclare :

« L’islam accèdera à la modernité par la femme. »

Son engagement en faveur de la laïcité et de l’universalisme la rapproche des valeurs défendues par de nombreux intellectuels juifs, avec lesquels elle partage une vision commune de la liberté et de la dignité humaine.

Un appel à la résistance

Sonya Zadig exhorte les femmes musulmanes à se libérer de l’emprise du discours islamique :

« Je dis aux femmes musulmanes : dévoilez-vous ! Parlez ! Dites ce qu’il en est ! Parce que la femme est précisément la courroie de transmission de l’Oumma, c’est par elle que tout se jouera. »

Elle appelle également les sociétés occidentales à ne pas céder à la complaisance envers l’islamisme, qu’elle considère comme une menace pour les valeurs démocratiques.

Sonya Zadig incarne une voix singulière et courageuse dans le débat sur l’islam et la condition féminine. Son parcours personnel, marqué par l’exil et la quête de liberté, nourrit une réflexion profonde sur les mécanismes d’oppression religieuse et culturelle.

En dénonçant les dérives de l’islam tout en affirmant son attachement aux valeurs de la République et à la culture juive, elle offre une perspective unique et engagée, appelant à une vigilance constante pour préserver les acquis de la modernité face aux menaces de l’obscurantisme.

Pour approfondir ses réflexions, vous pouvez consulter son blog personnel : sonyazadig.fr

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