« Les Iraniens sont arrivés à Bat Yam » : l’avertissement qui secoue toute une ville

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Titres explosifs 1. H1 Bat Yam sous alerte : le maire révèle des contacts entre habitants et renseignement iranien 2. H1 « Les Iraniens sont arrivés à Bat Yam » : l’avertissement qui secoue toute une ville 3. H1 Téléphones piégés, recrutements invisibles : Bat Yam confrontée à une menace directe 4. H1 Alerte rouge à Bat Yam : des habitants déjà approchés par l’Iran selon le maire 5. H1 Panique à Bat Yam : le Shin Bet réagit après l’avertissement du maire Mots clés Bat Yam, sécurité intérieure, renseignement iranien, Shin Bet, tentatives de recrutement, messages suspects, habitants approchés, alerte municipale, groupe WhatsApp, infiltration numérique, menace sécuritaire, services de sécurité, Tsvika Baroum

Le maire de Bat Yam alerte : un risque d’infiltration iranienne dans la vie quotidienne

Le message inhabituel adressé aux habitants

Le maire de Bat Yam, Tsvika Baroum, a diffusé un avertissement inhabituel qui a immédiatement provoqué agitation et inquiétude dans la ville. Il a expliqué avoir reçu une mise en garde explicite des services de sécurité intérieure : « Les Iraniens sont arrivés à Bat Yam et ce n’est pas une blague. » Il a précisé que cette alerte provenait d’autorités de sécurité, « principalement le service de sécurité générale », avec lesquelles la municipalité est en contact permanent.

Selon lui, des tentatives d’infiltration passent désormais par des messages envoyés directement sur les téléphones des résidents, cherchant à les entraîner dans des actions au profit du renseignement iranien.
Le maire a affirmé : « Récemment, nous sommes en contact avec des autorités de sécurité, principalement le service de sécurité générale, concernant la possibilité que nos habitants tombent dans le réseau du renseignement iranien et participent à leurs actions en réponse à toutes les messages qu’ils envoient vers nos téléphones. »

Il a ajouté un point encore plus alarmant : « À ce jour, nous savons qu’il existe également des habitants de Bat Yam qui entretiennent de tels contacts ces jours-ci. Si vous, vos proches ou vos amis avez déjà répondu à l’une de ces invitations ou avez même déjà accompli des tâches différentes, attendez vous à ce que quelqu’un frappe à votre porte. »

 Une cellule municipale dédiée aux signalements

Pour canaliser l’inquiétude grandissante et offrir un point de contact direct, la municipalité a ouvert un groupe WhatsApp destiné à recueillir les signalements relatifs à ces approches suspectes. L’objectif est de permettre aux habitants de transmettre rapidement toute information pouvant aider à identifier ou neutraliser les tentatives d’exploitation.

 La réaction du Shin Bet pour calmer la panique

L’annonce du maire a provoqué une vague de panique dans la ville, certains habitants interprétant son message comme une infiltration ciblée visant spécifiquement Bat Yam. Les responsables du Shin Bet ont alors tenu à rectifier publiquement : « Bat Yam ne présente aucune particularité par rapport aux autres villes du pays. » Les services soulignent ainsi que la menace est nationale, diffuse, et non focalisée sur une localité précise.

 Ce que cela implique concrètement pour les résidents de Bat Yam

Pour les habitants, cette mise en garde signifie une vigilance accrue dans les interactions numériques quotidiennes.
Les messages inconnus, les sollicitations inhabituelles, les propositions de tâches en échange d’argent ou d’informations ne doivent en aucun cas recevoir de réponse.

La ville, désormais intégrée dans l’effort de prévention, joue le rôle d’intermédiaire entre les services de sécurité et la population pour éviter que des résidents ne se retrouvent, parfois sans même le comprendre, impliqués dans des opérations pilotées depuis l’étranger.

Cette situation place Bat Yam dans une dynamique de prévention active où chaque habitant devient un maillon de la sécurité collective, non par suspicion, mais par lucidité face aux méthodes de recrutement à distance employées par des acteurs hostiles.

1. Des messages arrivent déjà sur les téléphones des habitants

Des SMS, WhatsApp, appels ou liens envoyés par des numéros inconnus peuvent en réalité être des tentatives de contact initiées par le renseignement iranien ou par des intermédiaires. Leur but : recruter, manipuler, obtenir des photos, des informations, ou pousser à accomplir de petites tâches apparemment anodines.

2. Certaines personnes de Bat Yam ont déjà répondu

Le maire ne parle pas d’un risque théorique. Il dit clairement :
« À ce jour, nous savons qu’il existe également des habitants de Bat Yam qui entretiennent de tels contacts ces jours-ci. »

Cela signifie que des résidents ont ouvert la porte sans le savoir : cliquer, répondre, envoyer une info, donner un code, accepter une “mission”.

3. Vous pouvez être impliquée sans comprendre que c’est illégal

Les Iraniens testent des méthodes simples :

• repérages de bâtiments,

• photos de rues,

• petites tâches payées,

• relais d’informations logistiques,

• demandes “innocentes”.

Pour la personne, ça ressemble à un jeu ou un service.

Pour les renseignements, c’est une infiltration.

4. Toute personne ayant répondu risque une visite du Shin Bet

Le maire le dit textuellement :

« Attendez vous à ce que quelqu’un frappe à votre porte. »

Cela veut dire : si vous avez déjà cliqué, répondu, envoyé quelque chose, même léger, les services de sécurité viendront vérifier.

5. Bat Yam n’est pas ciblée mais concernée comme les autres villes

Le Shin Bet précise que la ville n’est pas un “point chaud”.

La menace est nationale.

Mais des cas ont été détectés à Bat Yam, donc l’alerte est réelle.

6. Pour vous, au quotidien, cela implique trois choses

Ne pas ouvrir messages ou liens suspects.

Signaler immédiatement tout contact inhabituel via le canal WhatsApp ouvert par la mairie.

Prévenir vos proches si eux ont répondu ou parlé à quelqu’un d’inconnu en ligne.

7. Cela signifie aussi quelque chose de très simple : les Iraniens visent les civils

Ils cherchent à recruter des personnes ordinaires pour faire des choses simples, via des messages anonymes.

Ce n’est plus une menace militaire abstraite.

C’est une tentative d’utilisation directe de la population.

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