Le président Trump confesse, avec douleur : « Peut-être que je n’entrerai pas au paradis » -vidéo-

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Le président Trump confesse, avec douleur : « Peut-être que je n’entrerai pas au paradis » -vidéo-

Le président Trump confesse, avec douleur : « Peut-être que je n’entrerai pas au paradis »

Retour sur une question lourde de sens

De retour d’un séjour en Égypte où se tenait le « Sommet pour la paix », le président des États‑Unis, Donald Trump, a été interrogé par des journalistes sur l’éventualité que l’accord visant à libérer les otages et mettre fin aux hostilités entre Israël et le Hamas lui ouvre les portes du paradis. Il a répondu : « Peut‑être que les portes sont fermées devant moi – mais j’ai amélioré la vie de très nombreuses personnes. »

La question renvoyait à une déclaration antérieure, datant du mois d’août dernier, lorsqu’il avait surpris les auditeurs de l’émission « Fox & Friends » en confiant ses doutes quant à son salut après la mort. À cette époque, il avait dit :
« Je veux essayer d’entrer au paradis, si possible. J’entends que je n’y arrive pas. Je suis vraiment en bas du totem. Mais si je peux entrer au paradis, ce sera l’une des raisons. »

Entre humilité et affirmation

Cet instant de transparence contraste avec la fermeté habituelle qui caractérise l’homme politique. En affirmant ne pas être assuré d’accéder au paradis, Trump enrichit sa posture publique d’une dimension spirituelle, voire existentielle. Ce questionnement dépasse le registre habituel des promesses politiques et rejoint une interrogation profonde — celle du salut, de la valeur morale des actions et de la rétribution ultime.

Plaidoyer personnel et stratégie diplomatique

En liant sa quête spirituelle à ses initiatives diplomatiques, il présente son intervention — notamment l’effort pour libérer les otages — non seulement comme une manœuvre stratégique, mais comme une forme de rachat moral : « j’ai amélioré la vie de très nombreuses personnes », affirme-t-il. Ce mélange subtil de confession personnelle et d’affirmation politique cherche à creuser un lien émotionnel entre ses décisions et une finalité intangible.

En cela, Trump trace une ligne où la diplomatie, la foi et l’image personnelle convergent. Il instaure un parallèle entre ses actions publiques, ses aspirations personnelles et son rapport à l’au-delà — une rhétorique rare dans l’arène politique contemporaine.

 

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