
Israël prêt à proclamer sa souveraineté sur la Judée-Samarie
Alors que l’Assemblée générale de l’ONU a adopté une déclaration en faveur d’un État palestinien, la Knesset réagit avec force : une majorité écrasante de députés soutient l’application immédiate de la souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie. Une initiative qui pourrait marquer un tournant géopolitique majeur, en réponse à une offensive diplomatique jugée unilatérale et hostile à l’État hébreu.
Une réponse frontale à l’hypocrisie diplomatique de l’ONU
L’ONU condamne, Israël construit
Face au vote écrasant de l’Assemblée générale de l’ONU, appelant une fois de plus à la création d’un État palestinien sur les ruines de la légitimité israélienne, Jérusalem n’a plus l’intention de tendre l’autre joue.
Cette énième déclaration, signée par des pays qui pour la plupart ne connaissent ni la géographie ni l’histoire de la région, s’attaque frontalement à l’existence même d’Israël sur sa terre ancestrale. Elle fait mine d’ignorer le massacre du 7 octobre et préfère s’en tenir à une vision postcoloniale du conflit, où l’agresseur devient victime et la victime devient coupable.
Une résolution de la Knesset comme signal clair
En réaction, la Knesset a voté à une écrasante majorité une motion appelant à la pleine application de la souveraineté israélienne sur la Judée-Samarie. Ce vote n’est pas une simple posture politique. Il traduit une prise de conscience aiguë : face à l’érosion continue de la légitimité d’Israël dans les forums internationaux, il est temps de reprendre l’initiative. Affirmer la souveraineté sur la Judée-Samarie, ce n’est pas annexer une terre étrangère, c’est reconnaître une vérité historique, une présence juive et un droit millénaire.
La Judée-Samarie n’est pas à négocier
La Judée-Samarie ne peut être réduite à une ligne verte dessinée un soir de cessez-le-feu. Elle est l’épine dorsale du récit juif, le cœur de la Bible, le théâtre de l’histoire nationale. Hébron, Beit El, Shiloh, Jéricho : ce ne sont pas des avant-postes contestés, mais des piliers de l’identité juive. Les enfants d’Israël ne peuvent être considérés comme des colons sur les collines d’Abraham.
Netanyahu face à son destin historique
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, longtemps adepte de la retenue stratégique, se retrouve à la croisée des chemins. La société israélienne, profondément marquée par les massacres du 7 octobre, exige des actes forts. L’époque des demi-mesures est révolue. Si l’ONU choisit de récompenser le narratif terroriste, alors Israël doit, en miroir, renforcer sa souveraineté. Il ne s’agit pas de plaire à l’opinion internationale, mais de protéger les droits fondamentaux d’un peuple à vivre en sécurité sur sa terre.
La souveraineté comme acte de survie nationale
Face à une communauté internationale qui a perdu toute boussole morale, Israël ne peut plus se contenter de résolutions creuses ou de gestes symboliques. Déclarer sa souveraineté sur la Judée-Samarie, c’est poser un acte vital, rationnel, légitime. Ce n’est pas une réponse émotionnelle, mais une stratégie de long terme. Un État qui renonce à sa souveraineté dans les zones les plus sensibles de son territoire abandonne non seulement sa sécurité, mais sa dignité.
L’hypocrisie des condamnations mondiales
Les condamnations pleuvront, prévisibles, sans surprise. Elles viendront de pays qui foulent aux pieds les droits de l’homme sur leur propre sol, de chancelleries qui s’empressent d’oublier les crimes de guerre du Hamas, de journalistes qui ne verront jamais une caméra filmer un bébé juif égorgé. Mais qu’importe. Israël n’est pas né d’un consensus mondial, et sa survie n’en dépend pas. Il a appris, à ses dépens, que la morale internationale est une boussole qui pointe toujours contre Jérusalem.
L’Histoire n’attend pas
Le vote de l’ONU n’aura pas l’effet escompté. Il n’intimidera pas Israël. Il l’oblige au contraire à tracer une ligne nette entre ce qui est négociable — la forme de la paix — et ce qui ne l’est pas : son droit inaliénable à exister, à se défendre, à se définir. La souveraineté sur la Judée-Samarie n’est plus un tabou. Elle devient une évidence. Et face aux nations qui veulent la retarder, Israël répondra par un mot simple, clair, irrévocable : “Assez.”
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