Israël déploie sa supériorité technologique : Tsahal et le Mossad paralysent les ambitions nucléaires de Téhéran

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Israël déploie sa supériorité technologique : Tsahal et le Mossad paralysent les ambitions nucléaires de Téhéran

Israël frappe l’Iran : dans les coulisses d’une décision historique prise dans le secret

 Une réunion exceptionnelle, sous terre, sans gardes du corps ni téléphones

Dans la soirée du jeudi, une réunion hors norme s’est tenue à huis clos, à 20 heures précises, dans un complexe souterrain sécurisé, loin des regards et des ondes.
Les ministres israéliens, convoqués dans le plus grand secret, ont été dépouillés de leurs téléphones portables, séparés de leurs gardes de sécurité et invités à signer un formulaire de « partenariat secret ».
Une atmosphère de tension maîtrisée, presque solennelle, flottait dans l’air lorsque tous ont voté à l’unanimité pour approuver l’opération baptisée « Im Kalavi »  qui allait déclencher une vaste offensive contre le territoire iranien.

Un des ministres présents a confié : « Il y a eu des accolades et des poignées de main. Il reste encore beaucoup à faire. Comme l’a dit le Premier ministre, il n’y a pas de guerre gratuite. »

L’Iran dans le viseur : une frappe chirurgicale d’une ampleur inédite

À 2h59 du matin, les Israéliens reçoivent une alerte du Commandement du front intérieur : « Préparation à une menace importante. »
L’avertissement est suivi d’un silence lourd, avant que le vacarme des moteurs d’avions ne perce le ciel. L’opération israélienne est en marche.
Plus de 200 avions de chasse frappent simultanément plus de 100 cibles stratégiques sur le sol iranien, des bases militaires aux centres d’enrichissement d’uranium, en passant par les quartiers résidentiels abritant les plus hauts responsables du régime.

Selon des sources militaires, les premières frappes ont visé les radars et systèmes de défense aérienne dans le nord de l’Iran et de l’Irak.

Le New York Times rapporte que six bases militaires autour de Téhéran, dont celle de Parchin, ont été détruites. Des missiles ont également frappé les villes de Tabriz, Arak, Kermanshah, et plusieurs infrastructures dans la région stratégique de Natanz, connue pour son activité nucléaire.

Une démonstration militaire et technologique inégalée

Selon des sources militaires israéliennes, l’opération a mobilisé 212 avions de chasse, 36 drones furtifs, et plus de 400 missiles de précision, tirés depuis des avions, des navires en Méditerranée, et même depuis des bases avancées en territoire kurde.

La coordination s’est faite en temps réel grâce à une infrastructure de commandement satellite qui a permis de maintenir une liaison constante entre le sol israélien, les unités opérationnelles et les services de renseignement.

Cette mobilisation éclair témoigne de la capacité d’Israël à mener une guerre de haute intensité sur plusieurs fronts, en neutralisant des cibles disséminées dans un territoire aussi vaste que l’Iran, tout en préservant un avantage technologique et stratégique. Un haut responsable de la défense a résumé :
« Ce que le monde a vu cette nuit, c’est ce que peut accomplir une nation assiégée, mais résolue, lorsqu’elle conjugue innovation, renseignement et détermination morale. »

Les experts estiment que les frappes auraient endommagé ou détruit près de 60 % des infrastructures connues du programme nucléaire iranien, repoussant de plusieurs années la possibilité pour Téhéran d’enrichir suffisamment d’uranium pour produire une arme atomique. Les pertes humaines du côté iranien incluent au moins 70 hauts responsables militaires et scientifiques, dont certains sous surveillance depuis plus de dix ans. Une source occidentale confie :
« Aucune autre armée au monde, à part peut-être les États-Unis, ne possède la capacité de mener une opération de cette précision à cette distance. »

Des noms circulent parmi les morts : Hossein Salami, commandant des Gardiens de la Révolution ; Mohammad Baqeri, chef d’état-major ; Fereydoun Abbasi, scientifique nucléaire de premier plan ; et d’autres figures clés du régime iranien.

Une opération conjointe du Mossad et de Tsahal

En parallèle aux frappes aériennes, une série d’opérations clandestines ont été menées par le Mossad en plein cœur du territoire iranien. Un haut responsable israélien révèle que l’objectif était clair : « affaiblir le réseau de missiles stratégiques de l’Iran et neutraliser ses capacités de défense aérienne. »

Selon les services de renseignement, le Mossad aurait réussi à installer une base de drones kamikazes dans le territoire iranien bien avant l’attaque. Ces dispositifs ont joué un rôle crucial dans la désactivation préalable de certains systèmes défensifs iraniens, ouvrant ainsi la voie à l’intervention massive de l’armée de l’air israélienne.

Une déclaration solennelle du Premier ministre

Au petit matin, le Premier ministre Benjamin Netanyahou s’est adressé à la nation avec gravité :

« Nos courageux pilotes attaquent un grand nombre de cibles à travers l’Iran. L’objectif est clair : affaiblir l’infrastructure nucléaire iranienne. Cette opération continuera aussi longtemps que nécessaire. L’Iran reste dangereux, et nous nous y préparons. »

Il a exhorté les citoyens à suivre strictement les consignes de sécurité :

« Ces instructions sauvent des vies, de nombreuses vies. »

Dans la salle du cabinet, Fox, un des ministres religieux, a récité une prière pour les soldats de Tsahal, ajoutant l’Iran à la liste des territoires où les forces israéliennes sont engagées.
Des embrassades ont été échangées entre les ministres et les chefs de l’état-major.
Tous avaient conscience de vivre un moment charnière. « Cette décision changera le visage du Moyen-Orient », a estimé un participant.

La riposte iranienne attendue : Khamenei s’exprime

Vers 6h du matin, le guide suprême iranien Ali Khamenei a publié un communiqué enflammé :

« À l’aube, le régime sioniste a ouvert sa main sale et sanglante au crime. Il a révélé plus que jamais sa nature maléfique en ciblant des centres résidentiels. Le régime doit s’attendre à de sévères représailles. »

Cette déclaration, relayée par les médias d’État, signe l’entrée de l’Iran en état d’alerte. Si la riposte n’a pas encore eu lieu, les observateurs s’attendent à une réaction stratégique du régime, peut-être asymétrique, peut-être cybernétique, mais en tout cas calculée.

Une guerre de l’ombre devenue lumière

Ce que cette opération révèle, au-delà de la puissance militaire israélienne, c’est la profondeur de sa préparation et l’unité de son appareil sécuritaire. La guerre contre l’Iran n’est plus une hypothèse : elle est désormais une réalité active, méthodique et déterminée.

Comme l’a dit un ministre à la sortie du complexe :

« Ce qui s’est joué cette nuit, ce n’est pas seulement une riposte, c’est une démonstration de souveraineté. Et ce n’est que le début. »

 

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