
Éli Sharabi dénonce l'inaction de l'ONU et de la Croix-Rouge "J'ai été traité pire qu'un animal"
Un témoignage glaçant d'un otage libéré
Eli Sharabi, l'un des otages israéliens détenus à Gaza par le Hamas, a pris la parole devant les médias des Nations unies pour dénoncer les conditions inhumaines de sa captivité et l'inaction des organismes internationaux censés protéger les droits des prisonniers de guerre.
"J'ai été traité pire qu'un animal en captivité. Où était la Croix-Rouge quand nous avions besoin d’elle ? Où était l'ONU ?" a-t-il déclaré avec force, soulignant l'absence totale d'assistance humanitaire pendant sa détention.
La complicité des civils gazaouis
Sharabi a décrit une réalité choquante : loin d'être aidés par la population locale, les otages israéliens ont été la cible de moqueries et de cruauté.
"Personne à Gaza ne m’a aidé. Les citoyens nous ont vu souffrir et ils ont applaudi les terroristes. Il n'existe pas de 'non impliqué'", a-t-il dénoncé, remettant en question la notion de civils innocents dans un territoire où le Hamas opère en toute impunité.
Ces propos viennent contredire les discours de certaines organisations internationales qui présentent une population passive face aux exactions du Hamas. Selon Sharabi, l'approbation des enlèvements et des actes de barbarie était manifeste chez nombre de résidents de Gaza.
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Un appel à la responsabilité des institutions internationales
Le témoignage de Sharabi révèle une vérité troublante : ni l'ONU ni la Croix-Rouge n'ont joué leur rôle de médiateurs humanitaires pour obtenir des informations sur les otages ou exiger leur libération.
Les familles des captifs israéliens avaient appelé à plusieurs reprises ces organisations à intervenir, mais en vain. Pendant ce temps, le Hamas utilisait les otages comme monnaie d'échange, les privant de leurs droits fondamentaux.
Une nécessité de réformes et de sanctions
Les propos d'Eli Sharabi posent une question fondamentale : les institutions internationales sont-elles encore capables d’assurer leur mission de protection des droits de l'homme ?
Face à cette inaction, des voix s'élèvent pour exiger une profonde remise en question de l'ONU et du Comité international de la Croix-Rouge (CICR). Une réforme structurelle, ainsi que des sanctions contre les entités qui violent les conventions de Genève, semblent aujourd'hui indispensables.
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