
Israël frappe au cœur de l’Iran : une base du Mossad opérait déjà depuis des années sur le terrain
Une offensive chirurgicale qui révèle une infiltration profonde et planifiée du territoire iranien
« Ce n’est pas une riposte. C’est une démonstration de maîtrise absolue du théâtre iranien. » Tels sont les mots d’une source sécuritaire israélienne interrogée au lendemain d’une opération sans précédent révélée ce vendredi.
Au-delà de l’impact stratégique immédiat, ce raid a mis au jour une vérité que peu osaient soupçonner : une base d’opérations du Mossad était implantée depuis des années au cœur même du territoire iranien, coordonnant, en silence, l’une des opérations les plus audacieuses jamais révélées au grand jour.
Des années de planification pour une nuit historique
L’opération, baptisée « Am Kalavi », n’est pas le fruit d’une réaction à chaud, mais l’aboutissement d’années de collecte de renseignements, d’infiltrations discrètes, de développements technologiques et de coordination entre le Mossad, Tsahal et les industries de défense israéliennes.
Ce qui s’est déroulé dans la nuit de jeudi à vendredi en Iran n’est pas un simple raid : c’est une mise en scène militaire orchestrée avec un sang-froid et une précision qui déconcertent même les spécialistes.
Selon la source israélienne, « l’opération repose sur une architecture sophistiquée intégrant des forces spéciales, des armes de haute précision et des technologies de rupture ». Trois volets ont été activés de façon synchronisée.
Premier axe : des armes guidées déployées à l’intérieur du pays
Des unités du Mossad avaient d’ores et déjà positionné, depuis des mois voire des années, des systèmes d’armes sophistiqués en territoire iranien, en particulier dans des zones ouvertes proches des infrastructures de missiles sol-air (TAA).
Ces armes, restées dormantes jusqu’au moment de l’attaque, ont été soudainement activées, visant avec une précision chirurgicale les installations stratégiques. Le résultat : des tirs coordonnés, massifs, et indétectables jusqu’à l’instant de l’impact.
Deuxième axe : des attaques depuis des véhicules camouflés
Simultanément, des véhicules apparemment civils, mais en réalité lourdement modifiés, ont été utilisés pour porter des frappes décisives contre les défenses aériennes iraniennes. Introduits clandestinement dans le pays, ces plateformes mobiles ont neutralisé les radars et batteries antimissiles, laissant le ciel iranien vulnérable à toute action aérienne israélienne.
« L’objectif était clair : désactiver temporairement les yeux et les bras de la défense iranienne sans alerter leur cerveau », explique une autre source militaire proche du dossier.
Troisième axe : des drones opérés de l’intérieur
Le troisième volet, peut-être le plus spectaculaire, concerne l’utilisation de drones d’attaque déployés à partir du sol iranien même, pilotés localement par des agents israéliens ou des partenaires sur place. Une telle utilisation suppose une logistique de terrain impressionnante, un réseau humain sûr, et surtout une capacité à échapper aux services de sécurité iraniens sur leur propre sol.
Ces drones ont frappé des cibles militaires et industrielles sensibles, perturbant la chaîne de commandement et semant le doute au sein des forces iraniennes quant à l’origine même des attaques.
Une humiliation stratégique pour Téhéran
La révélation de cette opération inflige à l’Iran un revers d’image considérable. Le fait qu’un ennemi aussi déterminé qu’Israël ait pu non seulement infiltrer le pays mais y établir une base opérationnelle permanente souligne l’effondrement de la crédibilité des services de contre-espionnage iraniens.
D’autant plus que cette infiltration ne date pas d’hier. Les assassinats ciblés de plusieurs scientifiques du nucléaire, la défaillance de plusieurs sites de missiles, ou encore les mystérieuses explosions dans des usines stratégiques prennent aujourd’hui un sens nouveau : ils étaient les premières notes d’une partition beaucoup plus large, discrètement préparée, désormais révélée.
Vers une nouvelle doctrine israélienne ?
La doctrine militaire israélienne semble avoir franchi un cap : de la dissuasion à l’action clandestine de grande envergure sur sol ennemi, dans une logique préemptive assumée. L’Iran, malgré sa rhétorique belliqueuse, n’a pour l’instant pas réagi frontalement.
« Il ne s’agissait pas de provoquer une guerre. Il s’agissait de montrer qu’une guerre, nous savons la faire sans fracas ni bavure – au moment où nous l’aurons choisi », conclut la source israélienne.
Dans cette guerre de l’ombre, l’État hébreu vient de faire la démonstration de sa supériorité technologique, humaine, et surtout stratégique. L’opération « Am Kalavi » restera dans les annales de la guerre secrète : une frappe dans le silence, un cri dans la tête de ses ennemis.
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