
Trump : « Si le Hamas ne se désarme pas, nous le ferons pour lui »
Un message clair après la libération des otages vivants
À peine les derniers otages vivants arrachés aux griffes du Hamas et remis à leurs familles, le président américain Donald Trump a pris la parole dans un langage sans ambiguïté. Pour lui, cette libération n’est qu’un début. Ce qui vient ensuite sera décisif : « Si le Hamas ne se défera pas de ses armes, nous les désarmerons », a-t-il lancé. « Ils savent que je ne joue pas. »
Une menace pesante : diplomatie ou force, Trump choisira
Trump affirme avoir reçu des assurances de responsables du Hamas eux-mêmes : « Je leur ai dit qu’ils doivent se désarmer, et ils m’ont assuré qu’ils le feraient.
Si ce n’est pas le cas — nous les désarmerons, peut‑être par la force. » Il précise que ces échanges n’ont pas été menés à distance ou via des émissaires anonymes. « Directement — via mes gens, au plus haut niveau », insiste-t-il. Une manière de souligner que sa stratégie repose sur une négociation dure, où l’option militaire reste plus que jamais sur la table.
Le précédent : le Hamas élimine ses propres éléments pro-israéliens
Trump n’ignore pas la brutalité du Hamas envers ses propres membres. Il rappelle avoir observé « le Hamas opérer dans la bande de Gaza contre ses propres rangs », et fait exécuter « des gangs extrêmement mauvais » qui collaboraient avec Israël. « Cela ne m’a pas arrêté », affirme-t-il. Une allusion directe à son refus de céder au chantage ou aux actes de terreur, même internes.
L’après-otages : la démilitarisation ou la guerre
Derrière cette prise de parole, un message stratégique se dessine : le désarmement du Hamas devient la condition sine qua non de toute stabilité future à Gaza. Trump n’hésite pas à poser les États-Unis en garants de cette exigence, n’attendant ni aval international ni consensus diplomatique. Le Hamas est prévenu. Le monde aussi.
Vos réactions