« Le péché et le châtiment » : Tsahal frappe 83 cibles à Gaza, le cessez-le-feu vole en éclats

Une puissante ceinture de feu à Gaza en ce moment. Des dizaines d'attaques contre le réseau souterrain sont menées avec des dizaines d'armements, dans la région de Khan Younis. Des puits et des cellules terroristes sont également attaqués.

De nombreux terroriste tués et blessés sont signalés à Gaza.

Quelques heures seulement après l’annonce d’un cessez-le-feu, le Hamas a tenté une nouvelle attaque contre des soldats israéliens à Rafah. Tsahal a riposté avec une force foudroyante. Des dizaines d’avions de combat ont ciblé 83 positions terroristes dans la bande de Gaza, marquant la reprise des hostilités sous un nom sans ambiguïté : « Le péché et le châtiment ». Le Hamas paie le prix de sa duplicité.

Le silence a été de courte durée. Une nouvelle vague d’attaques israéliennes d’envergure a frappé la bande de Gaza dans la nuit, brisant net l’espoir d’un cessez-le-feu durable. Selon des informations recoupées par plusieurs canaux de diffusion – notamment Telegram et des réseaux arabes – des dizaines d’avions de combat de Tsahal ont ciblé environ 83 positions militaires du Hamas, larguant près de 120 munitions, avec un accent mis sur Rafah et Nuseirat, deux bastions stratégiques du mouvement terroriste.

Les frappes auraient visé des infrastructures souterraines, des centres de commandement et des tunnels opérationnels, en écho aux menaces répétées du commandement israélien de détruire le réseau logistique du Hamas « jusqu’à la dernière pierre ». Le nom donné à cette opération par les sources proches du renseignement israélien serait sans équivoque : « Le péché et le châtiment ».

Neutralisations ciblées et guerre de drones

Des drones kamikazes auraient été repérés puis neutralisés par l’aviation israélienne dans les régions nord et centrale de Gaza, confirmant la présence active d’unités terroristes prêtes à frapper. Tsahal affirme avoir éliminé des dizaines de combattants armés, certains retranchés à proximité d’infrastructures civiles, une tactique largement utilisée par le Hamas pour se prémunir des frappes directes.

Parmi les zones touchées, la ville d’Al-Zawaida, au centre de la bande, aurait vu l’un de ses bâtiments pulvérisé par un missile. Des images diffusées en ligne montrent les décombres fumants, mais aucune confirmation indépendante ne permet d’affirmer si le bâtiment abritait des journalistes, comme le prétendent certains médias.

Autre point chaud : l’hôpital Kamal Adwan, dans le nord de la bande, autour duquel une frappe israélienne a visé un groupe armé. Deux terroristes ont été tués dans cette action, d’après des sources locales. Tsahal n’a pas encore commenté officiellement ces précisions.

Le cessez-le-feu : une illusion ?

Ces attaques interviennent après la rupture d’un cessez-le-feu précaire, que l’armée israélienne accuse le Hamas d’avoir violé. D’après les médias israéliens, l’événement déclencheur serait une attaque menée contre une unité de Tsahal à Rafah. En réponse, les forces armées auraient reçu le feu vert pour répliquer massivement.

Le gouvernement israélien ne s’est pas encore exprimé sur la durée ou les objectifs précis de cette nouvelle phase offensive, mais selon plusieurs analystes militaires, il s’agit d’un avertissement stratégique envoyé au Hamas et à ses alliés : l’illusion d’un apaisement ne protège pas les fauteurs de guerre.

Si les médias arabes dénoncent une « agression » israélienne, aucun communiqué officiel du Hamas ne fait état d’une initiative de leur part justifiant ces représailles. Le jeu de la désinformation bat son plein, alors que sur le terrain, les tunnels s’effondrent, les drones tombent, et les bilans humains s’alourdissent.

Le nom donné à cette vague de frappes — « Le péché et le châtiment » — traduit peut-être le nouvel état d’esprit de l’armée israélienne : une guerre morale contre ceux qui ont brisé la trêve, armé les civils, et transformé chaque ruelle en piège mortel.
Le message est clair : le Hamas n’aura ni sanctuaire ni répit.