Le site nucléaire iranien Natanz détruit, drones abattus : Israël déchaîne la tempête Am Kalavi -vidéo-

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Le site nucléaire iranien Natanz détruit, drones abattus : Israël déchaîne la tempête Am Kalavi

Israël frappe l’Iran : l’opération « Am Kalavi » entre dans l’histoire

Une nuit d’orage sur Téhéran : Israël lance une attaque foudroyante sur les infrastructures nucléaires iraniennes

Dans un silence assourdissant, la nuit du 11 au 12 juin 2025 s’est transformée en chaos stratégique. Israël a déclenché l’opération « Am Kalavi » – une série de frappes coordonnées contre les installations nucléaires iraniennes, notamment le site hautement sensible de Natanz. En quelques heures, ce qui semblait impossible a été accompli : la quasi-totalité des drones iraniens ont été interceptés, des responsables clés du régime iranien éliminés, et l’Iran plongé dans une panique géopolitique sans précédent.

« Nous avons atteint le point de non-retour. Nous ne devons pas attendre », a déclaré le chef d’état-major de Tsahal à l’aube.

 

 Une attaque d’envergure sans précédent

Dès trois heures du matin, les premières explosions ont retenti autour de Natanz, principal site d’enrichissement d’uranium du régime des mollahs. Selon les autorités iraniennes elles-mêmes, des « dégâts » ont été constatés. Mais les sources israéliennes sont catégoriques : le site a été « détruit ».

Peu avant l’offensive, des unités du Mossad infiltrées en Iran avaient désactivé plusieurs batteries de défense aérienne.
« Des systèmes mobiles ont également été neutralisés grâce à des explosifs positionnés depuis plusieurs semaines », révèle une source sécuritaire israélienne. Ces opérations préliminaires ont permis à l’armée de l’air israélienne de frapper plus de cent cibles stratégiques en Iran, avec l’appui de 200 avions de combat.

« Quiconque œuvre à la destruction d’Israël sera éliminé », a martelé le ministre de la Défense, Israël Katz.

Le front intérieur en alerte maximale

Alors que les frappes israéliennes se poursuivaient, l’Iran lançait plus de 100 drones en représailles. Aucun n’a atteint son objectif. Grâce à une coordination exceptionnelle entre les forces aériennes, le renseignement et les systèmes antimissiles, tous ont été interceptés ou neutralisés. « Aucun tir antiaérien n’a atteint nos avions. Les Iraniens ont été complètement pris de court », s’est félicité un haut responsable israélien.

En Israël, l’espace aérien a été fermé, les écoles suspendues, les transports publics réduits. Des ordres de mobilisation (ordre 8) ont été envoyés à des milliers de réservistes. Les hôpitaux ont été placés en état d’alerte, certains transférant leurs patients dans des abris souterrains.

« Le système de santé est en contact permanent avec les forces de sécurité pour assurer la meilleure réponse possible », a déclaré le ministre de la Santé, Uriel Bosso.

Une campagne militaire pensée depuis longtemps

Ce n’est pas une réaction impulsive, mais l’aboutissement de plusieurs années de préparation stratégique. Dès 2024, une cellule spéciale au sein du renseignement militaire avait été formée pour planifier l’opération. Depuis l’attaque massive iranienne d’avril dernier, les préparatifs s’étaient accélérés.

« Nous avons travaillé d’arrache-pied pour alerter sur les avancées nucléaires de l’Iran », a confié le chef de la Direction du renseignement.

Le Mossad, de son côté, avait établi une base de drones explosifs sur le sol iranien, capable de frapper des cibles avec une précision chirurgicale. Parmi les cibles touchées, plusieurs hauts responsables du programme nucléaire et militaire iranien.
Des noms circulent : le général Gholam Ali Rashid, le commandant des Gardiens de la révolution Hossein Salami, et le conseiller du Guide suprême, Ali Shamkhani, auraient été éliminés ou gravement blessés.

L’Iran groggy, le monde retient son souffle

Les premières réactions internationales n’ont pas tardé. Si Washington a affirmé ne pas être impliqué dans l’opération, la Maison Blanche a reconnu avoir été « informée à l’avance » et a réaffirmé le droit d’Israël à se défendre. À l’inverse, l’ONU, l’Arabie saoudite, le Qatar et les Émirats arabes unis ont tous dénoncé une « violation de la souveraineté iranienne ».

À Téhéran, le drapeau rouge a été hissé sur la mosquée Jamkaran, symbole chiite de la vengeance. « Le régime sioniste s’est condamné à un sort cruel », a menacé le Guide suprême Khamenei dans un communiqué. L’Iran exige une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU et jure de riposter.

« Le régime sioniste doit s’attendre à de sévères sanctions », a-t-il affirmé.

Israël uni face au péril existentiel

Dans un rare élan d’unité, les figures politiques israéliennes ont exprimé leur soutien à l’opération. Benny Gantz, ancien chef d’état-major et figure de l’opposition, a déclaré : « En cette heure historique, nous sommes tous unis derrière l’appareil de défense. »

« Le but de cette opération est clair : éliminer une menace existentielle », a résumé le Premier ministre Netanyahu.

Les prochaines heures seront déterminantes. Israël, désormais sur le devant de la scène géostratégique, assume pleinement cette démonstration de force. L’Iran, humilié et saigné au cœur même de son programme nucléaire, cherche encore sa riposte. Mais une chose est certaine : l’équilibre du Moyen-Orient a basculé dans une ère nouvelle, où la dissuasion israélienne ne se limite plus aux mots.

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