
Article d’Alister Heath, journaliste britannique au Daily Telegraph.
Il y a quelque chose en Israël qui met les gens mal à l’aise — et ce n’est pas ce qu’ils prétendent que c’est.
Ils parlent de politique, de colonies, de frontières et de guerres.
Mais si l’on gratte sous la surface de la colère, on découvre quelque chose de plus profond.
Le malaise ne vient pas de ce qu’Israël fait, mais de ce qu’Israël est.
Une nation aussi petite ne devrait pas être aussi puissante. Point final.
• Israël n’a pas de pétrole.
• Aucun grand gisement de ressources naturelles.
• Une population à peine équivalente à celle d’une ville moyenne aux États-Unis.
• Entourée d’ennemis.
• Détestée aux Nations unies.
• Cible du terrorisme.
• Méprisée par des célébrités.
• Boycottée, calomniée, attaquée.
Et pourtant, elle prospère comme si de rien n’était.
• Dans l’armée.
• En médecine.
• En sécurité.
• En technologie.
• En agriculture.
• Dans le renseignement.
• En morale.
• En volonté pure et inébranlable.
• Elle transforme le désert en terre fertile.
• Elle crée de l’eau à partir de l’air.
• Elle intercepte des roquettes en plein vol.
• Elle libère des otages sous le nez des régimes les plus cruels du monde.
• Elle survit à des guerres qui auraient dû l’effacer — et elle gagne.
Le monde observe cela sans pouvoir le comprendre.
Alors, il fait ce que les gens font lorsqu’ils sont témoins d’une puissance qu’ils ne peuvent expliquer.
Ils supposent que ce doit être de la triche :
• Ce doit être l’aide américaine.
• Ce doit être du lobbying étranger.
• Ce doit être de l’oppression.
• Ce doit être du vol.
• Ce doit être un sombre secret qui donne aux Juifs un tel pouvoir.
• Du chantage, peut-être.
• Car Dieu nous en garde que ce soit autre chose.
• Dieu nous en garde que ce soit réel.
• Ou mérité.
• Ou, pire encore — prédestiné.
Le peuple juif aurait dû disparaître depuis longtemps.
C’est ainsi que l’histoire se termine habituellement pour les peuples exilés, opprimés et haïs.
Mais les Juifs n’ont pas disparu.
Ils sont vraiment revenus chez eux, ont reconstruit leur terre, ressuscité leur langue et ramené leurs morts à la vie — dans la mémoire, l’identité et la force.
Ce n’est pas normal.
Ce n’est pas politique.
C’est biblique.
Il n’existe aucun “code de triche” expliquant comment un peuple revient
sur sa terre après 2 000 ans.
Il n’existe aucune logique rationnelle qui mène des chambres à gaz à une influence mondiale.
Et il n’existe aucun précédent historique de survie face aux Babyloniens, aux Romains, aux Croisés, à l’Inquisition, aux pogroms et à la Shoah… tout en arrivant au travail le lundi matin à Tel-Aviv.
Israël défie la logique — sauf si vous croyez en quelque chose au-delà des mathématiques.
C’est cela qui rend le monde fou.
Car si Israël est réelle — si cette nation improbable, ancienne et haïe est encore, d’une manière ou d’une autre, choisie, protégée et florissante —
alors peut-être que Dieu n’est pas un mythe après tout…
Peut-être qu’Il est encore dans l’histoire.
Peut-être que l’Histoire n’est pas le fruit du hasard.
Peut-être que le mal n’a pas le dernier mot.
Peut-être que les Juifs ne sont pas seulement un peuple — mais un témoignage.
C’est cela qu’ils ne peuvent supporter.
Car dès lors que l’on reconnaît que la survie d’Israël n’est pas seulement impressionnante mais divine, tout change.
Votre boussole morale doit être recalibrée.
Vos hypothèses sur l’Histoire, le pouvoir et la justice s’effondrent.
Vous réalisez que vous n’assistez pas à la fin d’un empire,
mais au commencement de quelque chose d’éternel.
Alors, ils nient.
Ils diffament.
Et ils s’indignent.
Parce qu’il est plus facile d’appeler un miracle une “tricherie” que de faire face à la possibilité que Dieu tient ses promesses — silencieusement.
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