Chaos humanitaire à Gaza : "Survivre à Gaza" la vérité que LCI ne voulait pas montrer -vidéo-

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Chaos humanitaire à Gaza : la vérité que LCI ne voulait pas montrer

Alors que les chaînes européennes multiplient les reportages misérabilistes sur Gaza, un détail diffusé à demi-mot dans un documentaire de LCI a tout révélé : le Hamas prend le contrôle de l’aide humanitaire dès son arrivée.

Camions pillés, civils abattus lors des distributions, détournement massif des ressources au profit de la guerre — et silence complice des grandes ONG. Israël, seul pays au monde tenu de ravitailler son ennemi, se retrouve piégé dans un théâtre humanitaire cynique où les victimes sont à la fois instrumentalisées et abandonnées.

Ce que LCI a laissé entrevoir dans son reportage "Survivre à Gaza,, nous vous le dévoilons en intégralité, preuves à l’appui.

Un reportage controversé sur LCI révèle l’aveu que le Hamas contrôle l’aide

Le 28 juin  un reportage produit par Gaza Film et diffusé sur LCI suscite un vif émoi. D’apparence compatissante, il s’attarde longuement sur la misère des civils de Gaza.
La narration, saturée d’émotion, oscille entre larmes, enfants affamés, hôpitaux sans électricité et témoignages de mères accablées. Mais en creux, au détour d’un plan, une vérité affleure : le Hamas s’empare des convois humanitaires dès leur arrivée.

Un journaliste palestinien francophone y reconnaît, presque en aparté, que ceux qui choisissent de rester dans la bande de Gaza le font « par résistance », tandis que d’autres fuient avec l’encouragement d’Israël. Le film suggère ainsi, sans le dire, que l’aide devient une arme idéologique, détournée pour servir la propagande du Hamas, et utilisée pour démolir l’image d’Israël à l’international.

Le double objectif du reportage devient évident : attendrir l’Occident pour récolter des dons — qui, in fine, alimentent les caisses du Hamas — et alimenter la haine contre Israël, en le présentant comme bourreau. Pourtant, dans cette « comédie misérabiliste », c’est bien l’aveu du contrôle du Hamas sur l’aide qui constitue le passage le plus explosif.

Gaza : l’aide humanitaire entre chaos, manipulation et prise de pouvoir par le Hamas

Israël est aujourd’hui le seul pays au monde chargé d’assurer l’aide humanitaire à un territoire contrôlé par un ennemi juré. Cette réalité, à la fois absurde et tragique, ne cesse de révéler ses paradoxes à mesure que s’effondre le mythe d’un corridor neutre vers Gaza.
Alors que les camions affluent par huit voies d’accès, ce qui se passe une fois les marchandises franchies, échappe à tout contrôle occidental : le Hamas, omniprésent, dicte sa loi. Le cœur du scandale n’est plus logistique mais politique.

27 mai 2025 : premiers centres de distribution GHF, premiers morts

Le 27 mai, la fondation GHF (Gaza Humanitarian Foundation) ouvre ses centres de distribution, en coordination avec Israël et les États-Unis. Objectif affiché : fournir des colis alimentaires en toute sécurité. Mais dès le premier jour, la situation dégénère : des foules affamées franchissent les clôtures, l’armée tire. Dix morts, plus de soixante blessés. Les ONG dénoncent un massacre, l’ONU réclame des enquêtes.

13 et 14 juin : chaos à Rafah, 29 morts, 380 blessés

Deux semaines plus tard, les violences redoublent. Lors de distributions au sud de la bande, 29 personnes sont tuées et plus de 380 blessées dans des scènes de panique. Les témoignages décrivent des tirs à balles réelles, des enfants piétinés, des civils frappés pour tenter d’approcher les denrées.

Le 26 juin : 18 Palestiniens tués, le Hamas visé

Dans la ville de Deir al-Balah, un raid israélien tue 18 Palestiniens, dont un responsable local du Hamas chargé de la distribution. Ce même jour, Israël décide de suspendre les livraisons au nord de Gaza, accusant le Hamas de s’approprier l’aide. Le passage stratégique de Zikim est fermé. Le risque de famine s’intensifie, notamment dans les quartiers les plus touchés.

27 juin : le Hamas tire sur les camions d’aide pour s’imposer

Des témoignages de soldats israéliens, relayés par le journaliste Ariel Kahana, confirment une escalade. « Aujourd’hui, le Hamas a pris le contrôle de tous les camions d’aide dans les camps du centre. Ils ont même tiré sur les camions et sur toute personne qui s’en approchait. Le Hamas contrôle totalement la situation. » Le même jour, des unités de l’armée israélienne reçoivent l’ordre de ne pas intervenir, de peur de « provoquer un incident lié au domaine humanitaire ».

Un militaire confie : « Ce fut un samedi très chargé. L’armée s’est remise à fonctionner comme le 6 octobre : elle a peur de bouger, peur de tirer, et peur de tout ce qui touche au ‘domaine humanitaire’. »

Dans ce même contexte, Ariel Kahana signale que « la quantité d’aide humanitaire qui entre dans la bande a été multipliée par 4 à 5. Les camions pillés ne sont pas ceux distribués par les Américains. »

28 juin : la GHF révèle des menaces de mort sur ses agents palestiniens

Un communiqué glaçant est diffusé par la Gaza Humanitarian Foundation :

« Le Hamas a placé des primes sur la tête de nos agents de sécurité américains, ainsi que sur les travailleurs humanitaires palestiniens. »

Les membres locaux coopérant avec la GHF sont déclarés traîtres par l’organisation terroriste.

Pendant ce temps, les États-Unis annoncent 30 millions de dollars de financement supplémentaire pour cette aide, malgré les critiques de l’ONU.
Le secrétaire général Antonio Guterres dénonce alors un « piège à morts », et l’ONG Human Rights Watch parle d’un système « qui tue ceux qu’il prétend sauver ».

Violences et chaos aux distributions : entre tirs et pillages

Dans ce contexte de désordre social  plusieurs incidents confirment la dangerosité des points de distribution :

  • Israël a frappé six gardes armés près de camions, dont certains liés au Hamas, selon l’armée  .

  • Selon l’ONG palestinienne civile, le Hamas a tué trois personnes et blessé des dizaines autour des sites de l’ONU .

  • À Khan Younis, un centre géré par la fondation GHF, militaire pro-israélienne, a ouvert le feu sur une foule désorganisée : balles, panique, blessés,.

L’aide, au lieu de soulager, devient un facteur de contestation mortelle.

Une aide massive… mais détournée à hauteur de 25 % selon Tsahal

Les autorités israéliennes affirment que le Hamas prélève entre 15 à 25 % de l’aide humanitaire, qu’il revend ensuite ou détourne vers son appareil militaire, notamment les Brigades Al-Qassam.
L’argent récupéré financerait le marché noir, l’achat d’armes, de cigarettes de contrebande, voire des transferts financiers vers la Turquie.

Des vidéos montrent même des membres du Hamas empêchant physiquement des Gazaouis de s’approcher des centres de distribution de l’ONU ou de la GHF, pour maintenir un monopole et une dépendance.

Et les otages, qui en parle ?

Pendant que les médias français compatissent avec les “civils de Gaza”, 58 otages israéliens sont toujours retenus dans des conditions inhumaines, au cœur même de cette population que l’on dépeint comme uniquement victime.

La moitié d’entre eux seraient encore vivants, souvent affamés, torturés, déplacés de tunnel en tunnel sous les écoles, les hôpitaux, les camps de réfugiés.

Aucun journaliste de LCI ne les a montrés. Aucun n’a interrogé le Hamas sur leur sort.

Pas un mot, pas une image, pas une larme.
Et pourtant, eux aussi sont affamés. Eux aussi vivent dans la peur. Eux aussi ont un nom.

Mais pour les donneurs de leçons européens, ils gênent le récit victimaire. Ils rappellent trop fort qui est la victime réelle et qui tient la kalachnikov.

Israël, seul au monde à devoir nourrir ceux qui le combattent

Ce fait n’a pas d’équivalent dans l’histoire contemporaine : Israël est le seul État occidental chargé d’assurer l’approvisionnement humanitaire d’un territoire dirigé par une organisation terroriste qui ne jure que de sa destruction. Aucune autre démocratie n’a jamais été tenue à ce niveau de responsabilité envers un ennemi en guerre.

Cette obligation est perçue par certains analystes comme un outil stratégique pour maintenir la pression internationale sur Israël. D’autres y voient au contraire une volonté cynique d’expulser les civils palestiniens par la famine déguisée, ou de transformer Gaza en levier diplomatique.

Entre théâtre humanitaire et guerre par procuration

Derrière les colonnes de camions, les sacs de farine, les colis américains estampillés « USAID », ce qui se joue à Gaza dépasse l’humanitaire : c’est une guerre de l’image, du contrôle et de la survie. Le Hamas instrumentalise la faim pour asseoir son autorité. Les civils, eux, restent les premières victimes de cette double trahison : celle des bombes et celle des aides promises.

Et pendant que les caméras filment larmes et ruines, la seule vérité qu’aucun média européen ne veut regarder en face, c’est que le Hamas a fait de l’aide humanitaire une arme, et d’Israël son fournisseur captif.

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