
La banque de données du BDS qui boycott Israël dans les domaines économiques, universitaires et culturels vient d’être dévoilée. Ces jours-ci, l’ONG Monitor publie un nouveau document décrivant l'organisation israélienne « Mi Marviah » [qui en profite] opérant en Israël, comme l’indic du BDS, qui pioche dans ces données pour établir sa propre liste noire.
L’Organisation « Mi Marviah » a sur son site, une liste qui est mise à jour régulièrement contenant plus de 500 d'entreprises, commerces et institutions (locales et étrangères) qui sont liés et/ou investissent en Judée-Samarie, Jérusalem-Est et dans le Golan. L'organisation met à jour sa "liste noire" qui est devenue dans les faits la «banque de données» du BDS. La liste révèle le nom des sociétés contre qui l'organisation veut qu’un embargo soit prononcé, des sanctions économiques prises, et du lobbying entrepris afin d’entraver leurs activités.
L’article rédigé par Itay Reubeni, détaille aussi les sources financières de « Mi Marviah » qui viennent principalement d’organisations religieuses en Europe financées elles-mêmes par les gouvernements européens.
Par exemple, l’association du secours catholique des Pays-Bas, ASSO, qui finance une " intifada électronique "- un site anti-Israélien, a donné à « Mi Marviah » en 2014 et 2015 plus d'un million de shekels.
« Mi Marviah » a pour habitude d’envoyer des lettres aux entreprises qui voudraient entrer dans sa base de données et de leur donner trois semaines pour vérifier les informations qu'elle publiera. Parmi les sociétés « victimes » se trouvent Ahava, la société internationale de sécurité G4S et Sodastream, Partner [ex Orange].
L'organisation ensuite prendre la peine de publier sur son site des avertissements signalant que «les entreprises sont impliquées dans l'expulsion des Palestiniens de leurs terres et maisons - un processus qui a commencé avec la Nakba de 1948 et continue jusqu’à ce jour par une politique de vol des terres."
Les demandes répétées à « Mi Marviah » à leur adresse électronique indiquée sur le site, et demandant de réagir à l’article sont restées jusqu’à ce jour sans réponse.
Source :israel Ha Yom
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