Bon. Je vais dire un truc simple : le monde, ça va mal par Stephane Zagdoun

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Bon. Je vais dire un truc simple : le monde, ça va mal par Stephane Zagdoun

Le monde s’écroule doucement, et nous, on sirote. On scrolle, on commente, on s’indigne à la carte. Pendant que les bombes tombent, que les peuples se déchirent et que la vérité agonise sous les likes, certains continuent d’appeler ça le progrès. Ce texte n’est pas une plainte, c’est un électrochoc. Un miroir sans filtre, où l’on voit nos renoncements, nos lâchetés, nos illusions. Mais aussi, au fond, une lueur : celle qui rappelle que l’humanité n’est pas morte — juste endormie. Et que si chacun rallume sa part de lumière, alors peut-être, il restera encore une chance d’être dignes du nom d’Homme.

Bon. Je vais dire un truc simple : le monde, ça va mal.
Et je dis pas ça façon drama queen avec une tisane dans la main.
Non, genre vraiment. Humainement, moralement, émotionnellement — on est tous en mode “batterie faible”.
Y’en a qui s’en sortent, d’autres qui galèrent. Certains se battent, d’autres lâchent. Et au milieu, t’as toujours le coach de vie de service qui te sort :
“Faut penser positif.”
“Faut prendre du recul.”
“Faut se recentrer.”
Ouais, ok. Mais comment tu veux te “recentrer” quand tout ce qu’il y a autour de toi s’effondre comme un vieux Jenga existentiel ?
Quand t’as encore un minimum de valeurs humaines, tu peux pas juste zapper le chaos du monde comme une story Insta qui t’ennuie.
Parce qu’à la base — genre “mode bêta” de l’humanité — le plan, c’était l’union.
Pas la guerre, pas les drapeaux, pas les clans, pas les hashtags opposés.
Le concept d’origine, c’était : “on fait équipe, on s’aide, on survit ensemble”.
Et là, regarde le tableau version 2025 :
conflits, massacres, guerres, atrocités — en simultané, en 4K, en live.
Et pendant ce temps-là, nous on est là, cappuccino à la main, brunch “vegan sans gluten” devant un monde qui saigne.
Un monde qui crie, pendant qu’on choisit un filtre pour la lumière du jour.
“Tu ne tueras point.” — Exode 20:13
“Quiconque tue une âme, c’est comme s’il avait tué toute l’humanité.” — Coran 5:32
Tu vois, même Dieu, dans toutes les versions du scénario, avait dit : “calmez-vous.”
Mais non. On continue. Et pire : on s’habitue.
Et là, c’est le vrai drame. Parce qu’être insensible, c’est pas neutre : c’est toxique.
Ça veut pas dire qu’il faut s’épuiser à sauver la planète tous les mardis, mais faut arrêter de faire comme si de rien n’était.
Fermer les yeux, c’est devenu un sport national — mais c’est un sport dangereux.
Parce qu’à force de fermer les yeux, un jour, le mal entre… par la porte du salon.
Et ça, l’histoire l’a déjà montré en boucle.
Chaque fois qu’on dit “oh non, c’est pas si grave”, boom, le pire arrive en livraison express.
Ça fait trente ans qu’en France, on entend :
“Attention, ça va déraper.”
“Il y a des signes.”
Et pendant trente ans, on a répondu :
“Mais non, faut pas stigmatiser.”
Pendant trente ans, on a vu des agressions antisémites, des femmes frappées pour un voile ou pour l’absence de voile, des radicaux qui s’infiltrent, des Frères musulmans qui progressent façon start-up du chaos.
Et à chaque fois : “Non mais faut pas généraliser.”
Et nous, comme des moutons polis, on a fermé les yeux.
Et voilà. Voilà où on en est.
“Le diable n’a pas besoin de te convaincre. Il te suffit d’oublier que t’as une âme.” — Zohar
Traduction moderne : le diable, c’est pas une créature rouge avec des cornes. C’est ta flemme morale. C’est ton “osef” quotidien.
On prévient, on alerte, on écrit, on débat — mais tant que ça n’arrive pas “chez soi”, tout le monde s’en fout.
On est devenus des boucliers d’indifférence.
Et puis un jour, ça arrive. Et là, tout le monde pleure, tout le monde crie :
“Pourquoi personne n’a rien fait ?”
“Pourquoi le gouvernement ?”
Bah peut-être parce que toi non plus, t’as rien fait.
Parce qu’à force de fermer les yeux, tu finis par foncer dans le mur, sans ceinture, sans airbag.

Et après, on se plaint.
On râle.
On dit : “C’est foutu.”
Mais la vérité, c’est qu’on agit pas.
On vit dans notre petit confort, notre cocon, notre bulle climatisée.
On regarde le monde brûler comme une série Netflix : “Waouh, quelle horreur…”
Puis next episode.
Et attention, je parle de tout le monde :
riches, pauvres, croyants, athées, gays, hétéros, vegan, carnivores — tout le monde pareil.

On aime bien avoir des coupables. C’est rassurant.
“C’est la faute des riches !”
“C’est la faute des politiques !”
“C’est la faute de la 5G !”
Non. C’est la faute du manque de courage collectif.
Parce qu’au fond, tout le monde est riche à sa manière.
Un smicard français, pour un mec du Soudan, c’est un milliardaire.
La richesse, c’est toujours une question de perspective.
Et heureusement qu’il y a encore des gens qui ont — et qui donnent.
Ce qu’on appelle, en hébreu, la Tsedaka : la charité active, le don du cœur.
C’est pas un post Instagram, c’est une action.
Et déjà, prier pour les autres, c’est agir.
“Celui qui prie pour son frère, l’ange prie pour lui.” — Talmud, Baba Kama 92a
Ou version moderne : “Quand tu veux le bien des autres, l’univers t’envoie du karma premium.”reste des vrais humains : ceux qui donnent de leur temps, qui soutiennent, qui s’engagent, qui aident les otages, les malades, les handicapés, les réfugiés.
Ces gens-là, c’est le moteur silencieux du monde.
Pendant que tout le monde crie, eux, ils font.

Soyons honnêtes deux secondes : aujourd’hui, on est devenus un troupeau numérique.
On pense plus vraiment, on réagit.
On choisit pas, on copie.
On doute pas, on partage.
On est passés du cerveau à la timeline, de la réflexion à l’algorithme.
On pense en blocs : droite ou gauche, pro ou anti, blanc ou noir.
T’as plus le droit de dire “je sais pas” — sinon, t’es “suspect”.
Et franchement, on est en train de se lobotomiser à coups de hashtags.
Le pire ? Même quand on veut comprendre, on demande à ChatGPT (👋 salut).
Mais non, frérot, réfléchis toi-même.
Parce qu’à force de déléguer ton cerveau, il va finir par demander sa retraite anticipée.
Et c’est triste, parce que la pensée, c’est comme un muscle : quand tu t’en sers plus, elle fond.
“Le moi est haïssable.” — Pascal
Traduction 2025 : l’ego, c’est la plus grosse arnaque du marché.
“L’homme se détruit quand il cesse de se penser.” — Spinoza
Version moderne : le jour où t’arrêtes de réfléchir, t’es plus un humain, t’es un bot.

Faut réapprendre à penser par soi-même.
À se poser les bonnes questions. À dire : “Attends, pourquoi je crois ça, déjà ?”
Parce qu’au fond, t’as déjà les réponses.
Les valeurs, elles sont pas mortes : elles dorment.
Elles sont là, planquées sous des couches de cynisme et de fatigue mentale.
Et pour les réveiller, faut juste changer d’influence.
C’est comme l’algorithme : si tu regardes que du trash, il te sert du trash.
Mais si tu t’abonnes à la bonté, tu verras, ça te reprogramme vite.
Entoure-toi de vrais humains, pas de versions “filtrées”.
De gens justes, vrais, qui font du bien sans le live-streamer.
Lis, vérifie, observe.
Crois, mais crois intelligemment : en toi, en Dieu, en la vie, en la bonté — pas en ce que les autres t’imposent.
“La foi sans action, c’est du vent.” — Épître de Jacques 2:17
Traduction TikTok : croire sans bouger, c’est juste du blabla avec un fond musical triste.

Aujourd’hui, le monde est bloqué sur un mode : “égo extrême”.
Et la Kabbale l’avait prévenu depuis longtemps : on a atteint la phase 5, celle où l’ego dirige tout.
C’est la saison finale de la série “Humanité”, et les scénaristes ont craqué.
Tout est extrême : extrême gauche, extrême droite, extrême connerie.
On veut dominer, pas comprendre.
On veut gagner, pas construire.
On veut être premier, quitte à écraser tout le monde.
Et résultat : on a perdu l’équilibre.
Parce que le monde, c’est comme un couple, comme un cerveau, comme un corps :
faut que tout soit un minimum aligné.
Trop de foi sans raison ? Tu deviens fanatique.
Trop de raison sans foi ? Tu deviens cynique.
Trop de plaisir sans travail ? Tu deviens vide.
Trop de travail sans plaisir ? Tu deviens robot.
L’équilibre, c’est le Graal.
Et pourtant, tout est fait pour te déséquilibrer :
les réseaux, les médias, les fake news, les polémiques de comptoir.
Tout est conçu pour te faire réagir avant même de réfléchir.
On ne pense plus, on commente.
On ne sent plus, on scroll.
On ne rencontre plus, on matche.
On ne vit plus, on poste.
“Ce n’est pas la pensée qui illumine, mais l’acte.” — Goethe
Version actuelle : arrête de parler d’amour universel, fais juste une bonne action sans filmer.
“L’homme ne vit pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu.” — Deutéronome 8:3
Traduction générationnelle : t’as beau manger bio, si t’as l’esprit pourri, ça sert à rien.

Mais y’a une bonne nouvelle
Le cerveau a une mémoire.
Le cœur aussi.
Et la foi, c’est comme les abdos : elle revient si tu t’y remets sérieusement.
Ouais, on est dans la pire phase, c’est vrai.
Mais même la Kabbale le dit : c’est quand la nuit est la plus noire que la lumière commence à se pointer.
Donc ouais, le monde est en galère.
Mais la lumière, elle attend juste qu’on arrête d’éteindre les interrupteurs.

Arrêtez tous ceux qui se croient investis d’une mission divine pour sauver le monde.
Sérieux.
Ces gens-là, c’est toujours la même recette : ils parlent d’amour universel, mais ils s’aiment surtout eux-mêmes.
Ils postent des selfies de bonté avec la légende : “Faisons un monde meilleur”, pendant qu’ils n’aident même pas leur voisin à descendre les courses.
Ils ont remplacé la foi par la mise en scène du bien.
Ce sont les influenceurs de la morale.
Ils veulent pas changer le monde, ils veulent changer leur image de profil.
Et c’est pareil pour certains partis politiques ou mouvances dites “humanistes” :
ils te jurent qu’ils veulent sauver le peuple, mais en vrai ils veulent surtout sauver leur égo.
Des pros du déguisement idéologique.
En un mot : LFI.
Ouais, on va pas tourner autour du pot.
Ce parti, c’est devenu le sketch triste de la politique :
ils prétendent défendre les opprimés, mais ils lèchent les bottes des oppresseurs.
Ils prétendent lutter contre la haine, mais ils sèment la division à chaque phrase.
Ils prétendent être “la voix du peuple”, mais leur micro est branché sur la haine.
“Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal.” — Isaïe 5:20
Traduction 2025 : si tu dis que la haine, c’est de la justice, t’as juste oublié de mettre à jour ton logiciel moral.

On les voit venir à des kilomètres, ces “révolutionnaires de canapé” :
pancartes calibrées, slogans prêts à l’emploi, hashtag en anglais pour faire plus sérieux.
Ils crient “Gaza ! Génocide !” à longueur de stories, mais pour le Soudan, le Congo, les chrétiens de Syrie, les femmes d’Iran, les enfants du Yémen… silence radio.
Pourquoi ?
Parce qu’il n’y a pas de caméras, pas de buzz, pas de drapeaux tendance.
Leur compassion dépend du nombre de vues.
C’est pas de l’humanisme, c’est du marketing émotionnel.
“Celui qui se tait face à l’injustice devient complice du bourreau.” — Talmud de Jérusalem
Ou, version générationnelle : “Si tu fermes ta gueule quand c’est dur, t’es pas neutre, t’es complice.”
Pendant qu’au Soudan, c’est des fosses communes,
au Congo, des femmes violées, des enfants mutilés,
les “défenseurs de l’humanité” eux, choisissent la couleur de leur pancarte.
Franchement, arrêtez le cinéma.
Ce que beaucoup appellent “génocide” à Gaza, c’est surtout leur antisémitisme mal digéré, version “woke compatible”.
Les vrais génocides, ils ne les voient pas, parce que ça ne rentre pas dans leur storytelling.
Leur empathie a un filtre idéologique.
Et le vrai problème derrière tout ça, c’est pas la politique, c’est le poison islamiste.
L’idéologie la plus dangereuse de notre siècle, celle qui avance masquée,
qui prétend parler au nom de Dieu alors qu’elle parle au nom de la haine.
“La plus grande guerre sainte, c’est celle contre son propre égo.” — Hadith prophétique
Traduction 2025 : le vrai djihad, c’est de pas devenir un connard.

L’islamisme radical, c’est pas une religion, c’est une arnaque spirituelle.
C’est une idéologie qui met un masque de piété sur un visage de haine.
Et ceux qui tuent au nom de Dieu ? Ce ne sont pas des croyants,
ce sont des idolâtres de la haine.
Dieu n’a jamais demandé de tuer pour Lui.
Ni dans la Torah, ni dans la Bible, ni dans le Coran.
Jamais.
C’est écrit noir sur blanc, en HD, dans toutes les langues du monde.
Et le pire, c’est que certains partis politiques — coucou LFI —
trouvent des excuses à ces gens-là.
“Oui mais faut comprendre le contexte…”
Non. Le contexte, c’est que tu tues des innocents, point barre.
Quand un parti cherche à excuser le mal, c’est qu’il a vendu son âme pour quelques votes de plus.
Et là, c’est plus de la politique, c’est du commerce spirituel.

Mélenchon, lui, il a fait de la fracture nationale une stratégie de com’.
Quand il dit :
“Marocains, Algériens, Tunisiens, rejoignez-nous contre le RN.”
Il ne parle pas aux Français. Il parle à des “tribus électorales”.
C’est pas du patriotisme, c’est du pharaonisme : diviser pour régner.
Pourquoi citer des nationalités ? Pourquoi parler à des origines ?
On est en France, non ?
On parle à des citoyens, pas à des cases d’état civil.
“Tout royaume divisé contre lui-même court à la ruine.” — Matthieu 12:25
Traduction 2025 : si ton équipe se bat entre elle, c’est pas la faute de l’adversaire si tu perds.
Ce genre de discours, c’est du sabotage national.
Ça crée des communautés politiques au lieu de créer un peuple.
Et après, ça se dit “défenseur de la République” ?
Franchement, la blague est nerveuse.
LFI est devenu ce qu’il prétendait combattre :
une machine à haine avec un vernis humaniste.
Et pire : ils ont réussi le combo gagnant du cynisme politique.
D’abord, ils ont isolé les Juifs,
en jouant sur la confusion “sioniste = juif” —
vieille ficelle antisémite repeinte aux couleurs militantes.
Maintenant, ils isolent les musulmans pieux, les vrais,
ceux qui prient, respectent et aiment la paix,
en les foutant dans le même sac que les fanatiques.
Résultat : double trahison.
Et double honte.
Ils veulent faire croire que tout musulman est un suspect,
et qu’eux seuls sont les protecteurs des “opprimés”.
C’est pas de la politique, c’est du chantage moral.
“Quand le menteur parle au nom de la justice, la vérité se tait — mais elle disparaît jamais.” — Zohar
Version actuelle : la vérité, elle met du temps, mais elle revient toujours faire une story.
Et comme si ça ne suffisait pas,
on s’est mis à célébrer les gens non pas pour ce qu’ils font,
mais pour ce qu’ils sont.
“Regardez, un maire musulman à New York !”
Et alors ? Il est pas maire parce qu’il est musulman,
il est maire parce qu’il a bossé, convaincu, agi.
Mais non, on réduit tout à des étiquettes.
C’est ça le cancer du siècle : l’identité comme trophée.
Quand Obama a été élu, on disait :
“C’est le premier président noir !”
Mais personne disait : “C’est un mec brillant, éloquent, stratège.”
Non, juste “noir”.
Comme si la couleur devenait un diplôme.
Mais la couleur, la religion, la culture, c’est pas un mérite.
C’est un fait de naissance.
Le mérite, c’est ce que t’en fais.
“Dieu ne regarde pas l’apparence, mais le cœur.” — 1 Samuel 16:7
Traduction moderne : Dieu s’en fout de ta bio Insta, Il regarde ton comportement.
Le monde est coincé dans son obsession des étiquettes.
On ne s’intéresse plus à la vérité intérieure, mais à l’apparence extérieure.
C’est comme juger un livre à sa couverture alors que t’as même pas appris à lire.
Et ce jugement permanent, ce besoin de ranger les gens dans des cases,
c’est ce qui nous tue à petit feu.
Parce qu’au fond, la réduction identitaire,

Aujourd’hui, les communautés, c’est devenu comme les forfaits téléphoniques :
chacun a le sien, avec ses avantages exclusifs et sa hotline en colère.
Musulmans d’un côté, juifs de l’autre, cathos plus loin,
gays ici, hétéros là-bas —
et à l’intérieur de chaque team, t’as encore des sous-catégories.
Chez les musulmans : chiites vs sunnites.
Chez les juifs : sionistes vs anti-sionistes.
Chez les athées : ceux qui croient en rien, mais quand même un peu en l’astrologie.
C’est du délire.
On a transformé l’humanité en mille-feuille identitaire.
Et plus personne ne sait dans quelle couche il est coincé.
“Quand l’homme se sépare de son frère, il se sépare de Dieu.” — Talmud, Berakhot 58a
Version actuelle : dès que tu commences à dire “nous” contre “eux”, t’as perdu la partie.
Et c’est là qu’on voit le vrai visage du problème :
LFI, les Frères musulmans, les idéologues islamistes,
c’est la même matrice : la haine version open source.

Ils fabriquent des divisions comme d’autres fabriquent des stories : en série.
Et pendant qu’ils divisent, la lumière s’éteint doucement.
Parce que plus on fait de clans, plus on oublie le mot France.
Soyons clairs : y’a pas de RN à combattre “juste pour exister”.
Le RN, qu’on l’aime ou pas, parle de patriotisme.
Et être patriote, c’est pas un crime, c’est normal.
Dans tous les pays du monde, on te dit :
“J’aime mon pays.”
Et tout le monde applaudit.
Mais en France, tu dis “vive la France”, et on t’explique que t’es facho.
C’est le seul pays où aimer son drapeau, c’est mal vu,
mais brandir celui d’un autre pays, c’est “militant”.
Y’a un bug dans le système, là.
Parce qu’être patriote, c’est pas haïr les autres.
C’est juste aimer chez soi.
Point.
“Aime ton prochain comme toi-même.” — Lévitique 19:18
Traduction générationnelle : si t’as pas appris à t’aimer toi, t’aimeras jamais les autres.
On ne vient pas en France pour imposer son drapeau,
ni pour tester un nouveau mode de vie “mi charia, mi République”.
La France, c’est pas une salle de coworking spirituel.
C’est un pays, avec des règles, une langue, une histoire, une mémoire.
Être Français, c’est pas une carte d’identité : c’est une mentalité.
C’est respecter un pacte collectif.
C’est comprendre qu’ici, on ne remplace pas les lois civiles par des dogmes religieux.
Et que la liberté, c’est pas “faire ce qu’on veut”,
c’est “faire ce qu’on veut sans détruire ce qui nous unit”.
Alors oui, la tolérance, c’est essentiel.
Mais faut pas confondre tolérance et soumission.
“Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.” — Matthieu 22:21
Traduction 2025 : tu peux avoir la foi, mais n’oublie pas les impôts.
En France, il y a des lois.
Une Constitution.
Un équilibre fragile entre liberté et respect.
Et si t’aimes pas les règles, y’a 194 autres drapeaux disponibles sur le marché mondial.
C’est simple :
tu veux vivre ici ? Parfait.
Alors joue le jeu, respecte le terrain, aime le maillot.
Tu veux vivre autrement ? Ok. Mais ailleurs.
Tu peux pas venir dans une maison et réécrire les règles du propriétaire.
Parce qu’à force de tout accepter au nom de la “tolérance”,
on finit par tolérer l’intolérable.
Et si on devait appliquer la réciproque ?
Imagine : je débarque en Algérie, je dis :
“Bon, stop les mosquées, on met des églises.
Les femmes, plus de voile, c’est bikini obligatoire.
Et à la boucherie, c’est porc only.”
Tu crois que je sors vivant de l’aéroport ?
Même pas le temps de scanner mon passeport.
Alors pourquoi ici, on devrait tout accepter sans broncher ?
La tolérance, c’est pas dire “amen” à tout.
C’est coexister sans se renier.
En France, t’as le droit d’être qui tu veux,
mais t’as pas le droit de piétiner ce qui fait la France.
Parce que sinon, faut être cohérent :
si on change les lois pour te plaire,
alors on change aussi les aides, la justice, la police, la République.
Et là, bizarrement, tout le monde va redécouvrir le mot “autorité”.
C’est trop facile de profiter d’un système qu’on insulte 24h/24.
La liberté, ça s’entretient.
Et la République, ça se défend, même quand c’est pas à la mode.
“Les lois sont faites pour le salut du peuple, non pour sa ruine.” — Montaigne
Version moderne : les lois, c’est pas un caprice, c’est la colonne vertébrale du pays.
Regardez les chefs d’État.
Ces gens sont littéralement les mannequins du sérieux.
Toujours le ton grave, le regard compatissant, la phrase calibrée au millimètre :
“Nous condamnons fermement ces actes inacceptables.”
Et puis… rien.
Zéro. Nada. Rideau.
Ils signent des papiers, tweetent des condoléances,
puis vont dîner à l’Élysée ou à Davos avec ceux qu’ils “condamnaient” à midi.
Le monde brûle, mais eux gardent le calme olympique du type qui vient de lancer la clim sur le Titanic.
C’est la diplomatie du PDF : propre, bien formatée, mais sans âme.
“Ce n’est pas la pensée qui illumine, mais l’acte.” — Goethe
Version 2025 : c’est pas les communiqués qui changent le monde, c’est le courage.
“Le juste ne se contente pas de parler du bien, il le fait.” — Zohar
Traduction moderne : le vrai bien, c’est pas un tweet, c’est une action.
Où sont-ils, ces dirigeants, quand ça massacre au Soudan, au Congo, en Syrie, au Yémen ?
Spoiler : ils sont là. Ils savent.
Ils ont les rapports, les chiffres, les images —
mais ils en parlent comme s’ils géraient un tableau Excel :
“Oui alors, la colonne génocide est un peu chargée ce trimestre…”
Le sang des innocents coule, pendant qu’eux débattent de livraisons d’armes et de taux de croissance.
Ils ont remplacé la morale par les intérêts.
Et l’éthique par la diplomatie PowerPoint.
Et quand il s’agit d’Israël ?
Ah là, d’un coup, tout le monde se réveille.
C’est le grand classique : réflexe pavlovien.
“On condamne Israël !”
Toujours sans nuance, sans contexte, sans réflexion.
C’est devenu un automatisme.
Mais quand c’est un “allié” — genre un pays pétrolier, ou un régime bien rentable —
qui massacre, torture, opprime ?
Là, bizarrement, tout le monde a perdu la 4G.
C’est le deux poids, deux mesures du siècle.
Et à force de ça, plus personne ne croit en la justice internationale.
Les peuples voient bien la supercherie.
Et quand la vérité se casse la gueule sur la place publique,
les extrêmes, eux, montent sur scène.
“Quand la vérité trébuche sur la place publique, la justice ne la relève plus.” — Isaïe (version remix)
Et dans ce vide, dans ce grand silence des puissants,
les fanatiques, eux, recrutent.
Parce que la haine, elle adore le vide moral.

Les dirigeants d’aujourd’hui se sont habitués à une forme de lâcheté tranquille.
C’est devenu un style :
“On condamne fermement…” → pause dramatique → puis on passe à autre chose.
Ils parlent sans écouter, promettent sans agir,
et gèrent le monde comme une réunion Teams.
Mais à force de se taire, ils laissent le champ libre au mal.
Et ça, c’est pas une métaphore : c’est l’histoire qui bégaie.
Parce qu’à chaque fois, c’est pareil :
le silence des bons nourrit la puissance des mauvais.
“La neutralité face à l’injustice, c’est choisir le camp de l’oppresseur.” — Desmond Tutu
Version générationnelle : si tu refuses de choisir ton camp, c’est que t’as déjà choisi le plus confortable.

Israël et la vraie action
Et pendant que les diplomates font du théâtre,
y’a ce petit pays — Israël — qui, lui, agit.
Pas seulement pour lui, mais pour tout le monde libre.
Il se bat contre le terrorisme mondial, protège ses citoyens, alerte, soigne, sauve —
même des otages qui ne sont ni juifs, ni israéliens.
C’est ça, agir.
C’est pas poster un carré noir sur Instagram.
Mais forcément, ça dérange.
Parce que quand quelqu’un agit vraiment,
ça met en lumière la passivité des autres.
Et l’égo des grandes puissances, il déteste ça.
Alors on détourne, on accuse, on inverse.
C’est le schéma habituel :
culpabiliser les justes pour excuser les lâches.
“Heureux ceux qui ont faim et soif de justice.” — Matthieu 5:6
Traductio moderne : même si t’as faim, garde ta dignité au menu.
Le problème, c’est pas les riches, les politiques, les médias, ni même les réseaux sociaux.
Le problème, c’est l’égo.
Toujours lui.
Le big boss du chaos.
L’égo personnel, l’égo politique, l’égo collectif.
Tout le monde veut avoir raison, mais plus personne veut faire le bien.
On veut paraître juste, pas être juste.
On veut être écouté, pas écouter.
Et c’est là que la Kabbale a raison depuis des siècles :
“Quand l’homme se coupe de la lumière, l’ombre prend le pouvoir.”
Et en ce moment, le monde, il vit en mode “ombre portée XXL”.
Pharaon est toujours vivant.
Il a juste changé de costume.
Il a plus de sceptre, il a un micro.
Il a plus d’armée, il a des influenceurs, des tribuns populistes et des prêcheurs de haine.
Pharaon, c’est pas un mec d’Égypte antique —
c’est tout ce qui te fait croire que dominer, c’est exister.
“L’égo est le Pharaon intérieur : il promet la liberté, mais te garde esclave.” — Zohar
Traduction 2025 : l’égo, c’est ce pote toxique qui t’encourage à tout faire foirer.
Et en face, y’a Moïse.
Moïse, c’est pas juste un mec qui a ouvert la mer en deux.
C’est le symbole de la conscience qui se lève quand tout le monde baisse la tête.
C’est celui qui dit “non” au mensonge, même si ça lui coûte.
Celui qui parle quand tout le monde se tait.
Celui qui agit quand tout le monde doute.
Là où l’on trébuche, c’est là qu’on se relève.” — Zohar
Traduction moderne : tu veux grandir ? Regarde là où t’as foiré.
Chaque génération rejoue la même série.
La Kabbale dit :
“Chaque homme doit sortir d’Égypte chaque jour.”
Mais l’Égypte, c’est plus un pays.
C’est un état d’esprit.
C’est ton enfer personnel : la peur, la haine, la paresse, l’indifférence, le cynisme.
Sortir d’Égypte, c’est sortir de ce qui t’enferme.
Et aujourd’hui, le monde entier est bloqué entre deux rives :
d’un côté, la lumière — paix, justice, vérité, foi.
De l’autre, l’obscurité — haine, manipulation, peur, extrême.
Et cette mer rouge symbolique, c’est notre époque.
On peut la traverser, mais faut oser mouiller les baskets.
“Dieu ne change pas le destin d’un peuple tant que le peuple ne change pas ce qui est en lui-même.” — Coran 13:11
Version moderne : Dieu t’a filé un libre arbitre, pas un mode automatique.
Alors oui, Moïse se lève encore aujourd’hui.
Pas forcément en sandales, mais en conscience.
Il vit dans chaque homme, chaque femme, chaque jeune qui refuse la haine.
Dans chaque prof, chaque médecin, chaque flic, chaque parent,
chaque citoyen qui dit “non” à la bêtise et “oui” à la vérité.
Et pendant ce temps, Pharaon continue son show sur les plateaux télé.
Toujours en train de hurler, manipuler, promettre.
Mais la fin, on la connaît :
Pharaon finit toujours noyé dans sa propre mer de mensonges.
“La nuit la plus sombre précède l’aube.” — Proverbe hébreu

Alors oui, le monde va mal.
Oui, les dirigeants sont mous.
Oui, les partis jouent avec la haine comme des pyromanes en costard.
Mais il reste trois choses qu’aucune idéologie ne pourra jamais tuer :
la foi, la conscience, et le courage.
Et tant qu’il reste des gens lucides, droits, un peu fous, un peu lumineux,
le mal ne gagnera jamais complètement.
“La vraie générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent.” — Albert Camus
Version 2025 : si tu veux un futur qui déchire, donne-toi maintenant.
Alors donne.
Pas forcément de l’argent,
mais du temps, de la lucidité, de ton âme, de ton humour, de ton amour.
Aide, prie, pense, aime, ris, élève-toi.
Et surtout, crois, même quand tout semble foutu.
Parce que c’est toujours dans le noir que la lumière commence à briller.
Et le jour où chacun retrouvera ses valeurs humaines —
pas celles des slogans, mais celles du cœur —
alors peut-être qu’on méritera enfin le mot Humanité.

Stephane Zagdoun

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