"Assez de demi-mesures ": le Hamas dicte le tempo, Israël doit reprendre le contrôle 

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" Assez de demi-mesures" : le Hamas dicte le tempo, Israël doit reprendre le contrôle 

L’aveu brutal d’une réalité dérangeante

Nous devons l’admettre sans détour, avec cette lucidité douloureuse que seul un pays en guerre peut supporter : « c’est le Hamas qui donne le ton ».
Deux années de combats cycliques, deux années d’accords temporaires, deux années au cours desquelles l’ennemi, affaibli mais stratège, continue d’imposer le rythme des événements. Ce constat n’est pas seulement accablant : il est inacceptable. Car tant que ce mécanisme perdure, tant que le Hamas fixe la cadence, « nous ne ferons que tourner en rond » — et Israël restera piégé dans un scénario écrit par d’autres.

Le cycle infernal qui épuise Israël

La scène est devenue une routine sinistre et parfaitement prévisible. L’armée israélienne relâche sa pression militaire. Les tensions internes montent, les manifestations se multiplient. Le Hamas, flairant la faille, durcit sa position.
Tsahal brandit alors la menace d’une intensification des opérations. Le Hamas ignore. Israël approuve de nouveaux plans, mobilise massivement ses réservistes… et soudain, comme par miracle, « les signaux du Hamas reviennent ».

Et la machine repart. Encore un accord partiel. Encore une roulette russe où « certains de nos frères seront libérés tandis que d’autres resteront à l’abandon ». Encore une augmentation de l’aide humanitaire détournée. Encore « des centaines, voire des milliers de terroristes » relâchés dans un système qui les recycle immédiatement au combat.

Le Hamas remine les zones d’où Tsahal s’est retirée, préparant la bataille suivante. Israël renvoie ses soldats au front. « Des blessés, des morts, des familles détruites… et ainsi de suite. »

Deux ans de guerre. Deux ans où l’ennemi impose jusqu’aux thèmes dont nous parlons. Comme si nous étions engagés dans un affrontement d’égaux. « Or ce n’est pas le cas. » Israël est la puissance dominante. Il doit se rappeler ce qu’il est agir en conséquence.

 La fin des illusions et des compromis qui tuent

« Finies les menaces du genre : attrapez-moi ou je m’effondre. » Finies les stratégies d’usure.

Finies les trêves qui servent de respirateur au Hamas.

Les ces cessez-le-feu ne font que préparer le terrain littéralement des prochaines pertes israéliennes. Ils offrent au Hamas le temps d’enterrer des charges, de reconstruire ses tunnels, de réorganiser ses bataillons et de revenir plus meurtrier encore.

Ce que nous appelons “calme” est, pour lui, un moment d’oxygène stratégique.

Ce que nous appelons “compromis humanitaire” est pour lui un créneau pour se renforcer.

Ce que nous appelons “accord partiel” est pour lui une victoire politique.

Israël ne peut plus se permettre cette erreur.

Aller jusqu’au bout vraiment cette fois

« Cette fois-ci, et peut-être un peu tard, il nous faut aller jusqu’au bout. »

La phrase d’Oded Harush sonne comme un verdict.

Aller jusqu’au bout, cela signifie trois choses, claires et non négociables :

 « Jusqu’à la libération complète de tous nos frères. »

Pas une poignée. Pas une liste partielle. Pas un “troc” humiliant. Tous.

 « Jusqu’à la destruction totale du Hamas. »

Pas son affaiblissement, pas son amoindrissement, pas une pause qui annonce un prochain massacre. Sa destruction.

 « Jusqu’à ce que chaque garçon et chaque fille de l’enclave et de tout l’État d’Israël puissent dormir en paix, avec la certitude absolue que cette menace a été éliminée  une fois pour toutes. »

Voilà la seule ligne réaliste, la seule ligne morale, la seule ligne qui protège réellement des vies israéliennes.

Une vérité qui dérange mais qui libère

Le Hamas n’est pas une partie avec laquelle on partage des concessions. C’est un ennemi juré qui a juré notre disparition. Tant qu’il existe, nos enfants ne dormiront pas en paix.

Oded Harush, Dimona.

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