Miss Palestine : derrière les paillettes, l’ex-bru du terroriste Marwan Barghouti

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Miss Palestine : derrière les paillettes, l’ex-bru de Marwan Barghouti

« Miss Palestine » liée au haut responsable terroriste Marwan Barghouti

Première participation palestinienne au concours Miss Univers : un passé intime qui suscite un tollé

Pour la première fois de son histoire, la délégation palestinienne était représentée au concours Miss Universe 2025, mais cette avancée symbolique est éclipsée par la révélation d’un lien personnel direct entre la candidate et l’un des chefs les plus emblématiques du terrorisme palestinien.
Selon le journal New York Post, la jeune femme en question, Nadeen Ayoub, serait l’ancienne épouse de Sharif Barghouti, fils du très connu et condamné terroriste Marwan Barghouti  purgeant cinq peines à vie pour des attentats meurtriers commis en 2001-2002. 

Un mariage dissimulé et un fils prénommé en hommage

Ayoub, âgée de 27 ans, détentrice de la double nationalité américaine et canadienne et résidant à Dubaï, avait jusque-là évité que cette liaison n’apparaisse publiquement.  Des clichés obtenus par le NY Post montrent toutefois qu’elle posait aux côtés de Sharif Barghouti dès 2016, et qu’en 2019 elle a donné naissance à un fils prénommé « Marwan », en apparente référence à l’oncle paternel.  Une source familiale confirme le mariage mais se déclare « dans l’incertitude » quant à l’actuel statut conjugal du couple. 

Des implications plus larges : réseaux familiaux, influence idéologique, et soutien masqué

Ce lien entre Ayoub et la famille Barghouti ne s’arrête pas au cercle intime.
Elle apparaissait dans d’anciens médias palestiniens en compagnie de l’épouse de Marwan Barghouti, Fadwa Barghouti, figure importante du mouvement Fatah.

Par ailleurs, elle a exercé en tant que coach sportive au sein du club IQ Fitness, à Ramallah, établissement détenu par Qassem Barghouti, autre fils du terroriste condamné.  Ces éléments soulèvent plus largement la question de la frontière entre célébration culturelle et instrumentalisation politique dans le cadre de la cause palestinienne.

Des postures publiques controversées : propagande et détournement du récit

Ce qui amplifie les interrogations, ce sont les publications d’Ayoub sur les réseaux sociaux depuis le déclenchement de la guerre. Dans un post, elle a annoncé un bilan de victimes palestiniennes gonflé, dans un autre elle a présenté à tort les enfants israéliens Kfir Bibas et Ariel Bibas, enlevés et tués par Hamas, comme des « victimes palestiniennes ».

Il ne s’agit pas simplement d’un incident isolé : cela s’inscrit dans une stratégie plus large d’« inversion » des responsabilités et d’instrumentalisation des morts israéliennes pour le bénéfice du récit palestinien.

Pourquoi cette affaire a-t-elle tant d’importance ? 

Dès lors que la représentation palestinienne s’invite dans un événement mondial tel que Miss Universe, il ne s’agit pas seulement d’un symbole de reconnaissance.
Ce type de participation comprend aussi un volet diplomatique et médiatique non négligeable  qui, dans ce cas précis, révèle des liens explicites avec la structure terroriste la plus puissante du camp palestinien.

Cela alerte sur la capacité du mouvement Fatah, et de Marwan Barghouti en particulier, à étendre son influence dans les sphères culturelles, sportives ou symboliques, au-delà du champ purement militaire ou politique.
Pour Israël, ceci ne constitue pas seulement une affaire de réputation ; c’est un signal que la « cause » palestinienne cherche à franchir de nouveaux seuils de visibilité tout en conservant les réseaux d’endoctrinement, de soutien logistique ou d’héritage familial.

Le choix d’une candidate liée à une figure condamnée pour des meurtres d’Israéliens pose une question cruciale : faut-il accepter que l’image « féminine, moderne, cosmopolite » de la Palestine serve de révélateur pour un système qui ne reconnaît pas le droit à l’Israélien d’être en sécurité sur sa terre ? Ce cas invite tous les observateurs à ne pas séparer le visage du glamour du fond idéologique.

Un appel au journalisme rigoureux et exigeant

L’événement exige une investigation approfondie et une discussion publique sans concession. Il ne s’agit pas uniquement d’une « nouvelle laissée dans l’angle mort » de la couverture médiatique. Il invite au contraire à un questionnement plus général : comment les représentants culturels d’un mouvement politique peuvent-ils se trouver liés à des auteurs d’attentats ? Et quelle est la responsabilité des médias et du monde de la culture quand ces incarnations éclipsent la réalité des victimes israéliennes et la gravité des menaces sur le terrain ?

Tandis que la délégation palestinienne se targue d’une « première », il importe de rappeler que toute « première » ne vaut que si elle se fait au prix d’une vérité assumée, et non d’une occultation.
La cause israélienne mérite que soient exposés au grand jour les maillages entre symboles et terreur car sans cette clarté, la façade démocratique et artistique peut devenir un masque pour l’influence la plus dangereuse.

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