Après l’attentat antisémite de Bondi, la mort des Juifs célébrée à Manchester -VIDEO-

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Après l’attentat antisémite de Bondi, la mort des Juifs célébrée à Manchester -VIDEO-

Haine antisémite mondiale

Quand les attentats contre les Juifs deviennent des scènes de liesse

L’attentat antisémite perpétré sur la plage de Bondi à Sydney, lors d’une célébration de Hanouka, n’a pas seulement fait des morts. Il a déclenché, à des milliers de kilomètres de là, des scènes publiques de réjouissance, filmées, revendiquées et assumées.

à Manchester au Royaume-Uni, des individus identifiés comme jihadistes ont été filmés en train de célébrer l’attaque, se félicitant ouvertement du massacre de Juifs.

La vidéo, largement diffusée sur les réseaux sociaux, a provoqué une onde de choc au sein des communautés juives européennes et a conduit les autorités britanniques à examiner des faits susceptibles de relever de l’apologie du terrorisme.

La scène est brute, sans ambiguïté. Des cris de joie, des slogans glorifiant les auteurs de l’attentat de Sydney, des références explicites à la mort de Juifs.
Les autorités britanniques ont confirmé l’authenticité des images et l’ouverture d’enquêtes. Le Home Office a reconnu que ces faits dépassaient le cadre de l’expression politique et entraient dans celui de la glorification de la violence antisémite.

La célébration filmée de la mort des Juifs dans le monde

Au-delà de Bondi, une haine antisémite célébrée ailleurs

Londres

À Londres, des scènes similaires ont été observées dans les jours suivant des attaques visant des Juifs à l’étranger, donnant lieu à des investigations pour « encouragement au terrorisme ».

France

De la liesse à la qualification pénale

En France, après plusieurs attaques antisémites majeures, des scènes de célébration ont été constatées et documentées par les forces de l’ordre. Dans certaines villes, notamment en région parisienne et à Lyon, des rassemblements non déclarés ont donné lieu à des cris de soutien aux auteurs d’attentats, parfois accompagnés de distributions de nourriture et de feux d’artifice. Ces faits ont conduit à des interpellations et à des poursuites pour « apologie du terrorisme », qualification confirmée par des décisions judiciaires. Le ministère de l’Intérieur a reconnu une recrudescence d’actes où la haine des Juifs s’exprime de manière festive et revendiquée après des massacres.

Allemagne

La haine antisémite sous surveillance fédérale

En Allemagne, la police et le ministère fédéral de l’Intérieur ont confirmé l’existence de rassemblements célébrant des attaques antisémites, notamment à Berlin et dans la région de la Ruhr. Des vidéos montrent des groupes scandant des slogans glorifiant les tueurs, parfois immédiatement après l’annonce d’attentats visant des Juifs. Ces faits figurent dans les rapports officiels sur l’extrémisme et l’antisémitisme. Plusieurs organisations ont été placées sous surveillance pour radicalisation et glorification de la violence antisémite, reconnue comme une menace spécifique.

États-Unis

La glorification de la violence, souvent numérique

Aux États-Unis, les autorités fédérales ont établi que des célébrations d’attaques antisémites se produisent régulièrement, principalement via des rassemblements militants et sur les réseaux sociaux. À New York et à Los Angeles, des slogans glorifiant des auteurs d’attaques contre des institutions juives ont conduit à l’ouverture d’enquêtes par le FBI et le Department of Homeland Security. Ces faits sont intégrés dans les rapports officiels sur la menace intérieure, qui évoquent une normalisation inquiétante de la haine antisémite violente.

Belgique

Bruxelles confrontée à la radicalisation

En Belgique, notamment à Bruxelles, la police a authentifié des vidéos montrant des scènes de célébration après des attaques antisémites. Cris de victoire, références explicites aux attentats et glorification de la mort de Juifs ont conduit à l’ouverture d’enquêtes pour incitation à la haine et apologie de la violence. Le gouvernement belge a reconnu publiquement une radicalisation antisémite dans certains milieux militants, distincte de la critique politique mais clairement violente.

Pays-Bas

Des enquêtes après des rassemblements haineux

Aux Pays-Bas, la police a ouvert plusieurs enquêtes après des rassemblements et des publications célébrant des violences antisémites, notamment à Amsterdam. Les autorités ont confirmé que ces faits ne relevaient pas de la liberté d’expression mais d’une glorification de la violence contre des Juifs, nécessitant une réponse judiciaire.

Une haine assumée, organisée, documentée

Partout, le même schéma se répète. Les célébrations ne sont ni accidentelles ni isolées.
Elles sont filmées, diffusées, parfois revendiquées.
Les autorités, dans plusieurs pays occidentaux, ont établi qu’il s’agit d’un phénomène transnational de glorification de la violence antisémite, distinct de la critique politique mais clairement ancré dans une idéologie de haine. Après Bondi, la mort de Juifs n’a pas seulement été pleurée. Elle a été célébrée.

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