Amsterdam : Preuves d'une Attaque Planifiée Contre les Supporters Israéliens -vidéo-

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Amsterdam : Preuves d'une Attaque Planifiée Contre les Supporters Israéliens"

Récit complet du Pogrom d’Amsterdam : Analyse et Témoignages

Depuis les réseaux sociaux, grâce notamment à Elon Musk, des images et vidéos du pogrom d'Amsterdam ont circulé sans censure, dévoilant la violence subie par les supporters du Maccabi Tel-Aviv.
Ce drame a été relayé dans les médias, dont les récits coïncident étrangement avec ceux de médias arabes.
Pour certains, les actions violentes contre les supporters israéliens – des coups de couteau, jets dans les canaux, coups de tête – seraient justifiées par des provocations de leur part, illustrées par des vidéos où des fans de Maccabi arrachent des drapeaux palestiniens.

Or, alors qu’Israël est souvent accusé de réagir de manière disproportionnée aux tirs de roquettes de Gaza, on n’a pas entendu de telles accusations à l’encontre des agresseurs musulmans à Amsterdam. Apparemment, le lynchage de Juifs ne constitue jamais une
« violence disproportionnée » pour certains observateurs.

Une attaque préméditée, minutieusement coordonnée

Les événements montrent des signes de préméditation : guet-apens, coordination, chauffeurs de taxi complices. Ce pogrom semble avoir été planifié longtemps avant l’arrivée des supporters. Selon Gregg Rosenberg,
« L’événement a été planifié plusieurs jours à l’avance avec une organisation visant à « chasser les soldats de Tsahal » – un terme englobant les milliers d’Israéliens venus soutenir Maccabi, y compris des familles. » Ce réseau impliquait des chauffeurs de taxi et des assistants qui ont préparé des embuscades pour attaquer des centaines de personnes.

Sur place, ces chauffeurs signalaient les Israéliens en klaxonnant, indiquant aux activistes armés de couteaux, gourdins, et grenades assourdissantes les cibles à attaquer.
Ils attendaient dans chaque ruelle et coin de rue, notamment près des hôtels des supporters. Bien que la police ait assuré une certaine sécurité avant le match, une fois le match terminé, la situation a dégénéré.

Témoignage d’une nuit de terreur

Un témoin raconte : « Soudain, j’ai vu un homme âgé, un supporter de Maccabi, se faire battre et jeter brutalement au sol. » La plupart des victimes ont choisi de rester en petits groupes pour éviter les rues seules, une décision vitale lors du lynchage. Ce témoin continue : « J’ai vu un groupe de personnes habillées en noir, masquées, courir vers nous. J’ai crié à mon père : « Papa, cours ! » Nous avons tous pris la fuite. »

Dans une scène kafkaïenne, le même témoin raconte avoir été frappé au sol, avoir reçu une explosion au visage et avoir passé de longues heures assis à même le sol avec deux policiers impuissants.
D'autres témoignages décrivent des personnes âgées, des femmes, et des enfants brutalement agressés. Un passant britannique, qui a tenté d’aider, a été frappé et accusé de soutenir les Juifs.
Certaines personnes ont même été poussées dans la rivière glacée pour échapper aux agresseurs, se cachant ensuite dans des buissons ou dans des hôtels non sécurisés.

Les réseaux sociaux, ultime secours

Certains ont pu être secourus grâce à WhatsApp, en envoyant des SOS à l’organisation
« Maccabi Fan », le groupe d’ultras du Maccabi Tel-Aviv.
Bien que souvent qualifiés de hooligans, ces supporters ont joué un rôle crucial pour sauver des vies cette nuit-là.
Pourtant, des images de supporters avec des bâtons, présentées comme preuve de violence, ont été utilisées pour les accuser d’avoir provoqué les attaques. Or, ces armes improvisées ont été récupérées en chemin pour se défendre, et non pour attaquer.

Une aide médicale quasi inexistante et des assiégés sans protection

Pendant plusieurs heures, certains ont dû stopper leur saignement seuls, avec leurs vêtements pour absorber le sang. Ils ont été encerclés par des émeutiers, sans véritable protection policière. Une fois dans les hôtels, ils ont reçu des consignes strictes : éteindre les lumières, fermer les rideaux, ne laisser aucun signe visible de leur origine israélienne ou juive.
Ceux qui ne s’y sont pas conformés ont vu leurs fenêtres attaquées à coups de grenades et feux d’artifice.

Retour à la maison, un périple de survie

Le lendemain, avec l’aide de locaux juifs et israéliens, ils ont rejoint l’aéroport clandestinement, évitant les taxis. Sur place, ils ont été protégés par des forces armées et une zone de sécurité leur a été allouée. Mais les vols de secours étant pleins, certains ont dû payer des tarifs exorbitants pour quitter Amsterdam. La compagnie Arkia, choquée par les événements, a maintenu les frais de plusieurs centaines d’euros.

Les événements antérieurs au match : une escalade de tensions

L’arrachage d’un drapeau palestinien par quelques supporters du Maccabi, la veille du match, a été un élément déclencheur d’incidents isolés. Bien qu’ils aient aussi chanté « Let the IDF win and fuck the Arabs » dans un contexte de bonne ambiance générale et de chants festifs, cet épisode a suffi pour justifier l’attaque planifiée par des activistes.

Ce pogrom à Amsterdam, loin d’être une réponse spontanée, révèle une orchestration minutieuse et une haine farouche envers des civils israéliens et juifs. Les récits choquants et les témoignages des victimes éclairent la gravité des violences et l’inaction de certaines forces de l’ordre face à cette agression organisée.

Avec l'aimable autorisation de Jean-Patrick Grimberg 

Source : Dreuz.info 

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