Elon Musk, les enfants du silence : révélations sur une croisade nataliste controversée

Une conviction intime devenue mission planétaire

Il se présente comme un visionnaire, un bâtisseur d’avenir, un messie technologique.
Mais derrière le génie de SpaceX et de Tesla, Elon Musk poursuit une croisade beaucoup plus intime, presque biblique : repeupler la Terre avant sa disparition.

Selon un enquête exclusive du Wall Street Journal, le milliardaire, père d’au moins 14 enfants avec plusieurs femmes, n’a jamais caché sa peur d’un monde déserté par l’humanité. « Je fais tout ce que je peux pour aider à contrer l’effondrement démographique », a-t-il confié un jour. Une phrase anodine ? Pas pour lui.

Une “légion” d’enfants comme antidote à l’apocalypse

Musk est convaincu que la chute de la natalité représente une menace aussi sérieuse que le réchauffement climatique ou une guerre nucléaire.
À ses yeux, l’effondrement de la population mondiale est déjà amorcé, et seuls ceux qui agissent maintenant pourront “sauver la civilisation”. Dans cette logique, avoir des enfants – beaucoup d’enfants – devient un acte de survie collective.
L’homme ne s’embarrasse pas de demi-mesures. D’après l’enquête, il aurait même évoqué la nécessité de créer une “légion” de descendants.

Une procréation orchestrée avec minutie… et silence

Mais là où cette mission prend une tournure troublante, c’est dans les moyens employés.
Le Wall Street Journal révèle que certaines femmes auraient été approchées via la plateforme X, anciennement Twitter, que Musk possède.

Parmi elles, Tiffany Fong, une influenceuse spécialisée dans les cryptomonnaies, raconte qu’elle a reçu une proposition directe de Musk pour avoir un enfant avec lui. Ils ne s’étaient jamais rencontrés. Elle a refusé, mais peu après, ses revenus sur X se sont effondrés. Son audience ? “Étrangement disparue.”

Une tentative de silence à 15 millions de dollars

L’histoire la plus saisissante est sans doute celle d’Ashley St. Clair, une figure bien connue des réseaux conservateurs américains. Elle affirme avoir eu un enfant avec Musk, qu’il aurait d’abord renié. Pour garder le secret, elle dit avoir reçu une offre vertigineuse de 15 millions de dollars assortie d’un contrat de confidentialité et d’une pension mensuelle de 100 000 dollars jusqu’aux 18 ans de l’enfant. Mais Ashley aurait refusé de se taire.
Depuis, les versements ont été réduits à 20 000 dollars par mois. “Ce n’est pas une question d’argent”, déclare-t-elle. “C’est une question de vérité.”

Un homme… et un homme de main

Derrière Musk, une figure de l’ombre gère les accords, les discussions, les paiements. Son bras droit, Jared Birchall, serait celui qui “nettoie”, négocie, et menace parfois discrètement : celles qui iraient en justice risqueraient de perdre l’ensemble de leurs compensations financières. Une pression psychologique redoutable, habilement exercée au nom de la loyauté ou, plus cyniquement, de la discrétion.

La planète en héritage, à condition d’y croire

Il faut replacer cette stratégie de multiplication dans la vision globale de Musk : l’homme rêve d’une humanité multispatiale, avec des colonies sur Mars, une démographie forte sur Terre, et une élite génétique éclairée pour porter le flambeau de l’évolution. Il ne voit pas dans ses enfants des erreurs de parcours, mais des graines d’avenir. “Les civilisations ne meurent pas dans un grand fracas, elles s’éteignent doucement”, a-t-il déclaré. Musk, lui, veut du bruit, des cris de bébés, et des héritiers prêts à le suivre dans l’infini.