Vaccins Covid : Ursula von der Leyen, Pfizer et BioNTech poursuivis pour corruption et homicide

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Vaccins Covid : Ursula von der Leyen, Pfizer et BioNTech poursuivis pour corruption et homicide

Von der Leyen, Bourla et Şahin poursuivis pour meurtre : la plainte choc qui ébranle l’Union européenne

Le 10 juin 2025, un événement juridique d’une ampleur exceptionnelle a fait irruption sur la scène européenne. Le syndicat de police italien OSA, appuyé par d’autres syndicats de la sécurité publique, a déposé plainte pour meurtre, corruption, fraude commerciale et administration de médicaments dangereux contre plusieurs hauts responsables politiques et pharmaceutiques.
Parmi eux, Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, Albert Bourla, PDG de Pfizer, et Ugur Şahin, PDG de BioNTech. À leurs côtés, d’autres figures clés de la gestion de la pandémie sont également visées.

Un dossier accablant fondé sur 450 000 pages de preuves

Cette action judiciaire sans précédent repose sur un dossier massif de 450 000 pages, comprenant les Pfizer Papers, des documents internes de l’entreprise, ainsi que les études scientifiques du Dr Gabriele Segalla. Y figurent également des évaluations critiques de l’Agence européenne des médicaments (EMA) et l’interrogatoire de l’ex-ministre italien de la Santé, Roberto Speranza.

Antonio Porto, secrétaire général national de l’OSA, a confirmé l’existence de la plainte dans une interview accordée à Chiasso TV ainsi que sur sa page Facebook. Il accuse les responsables de savoir que les vaccins Covid pouvaient entraîner la mort et d’avoir dissimulé des informations capitales au public et aux autorités judiciaires.

Des effets secondaires graves et des morts passées sous silence

Parmi les données contenues dans le dossier figure une liste de 542 effets secondaires neurologiques graves documentés. Le syndicat s’appuie sur ces éléments pour justifier l’accusation de meurtre et d’atteinte à l’intégrité physique.

Trente policiers décédés prématurément depuis les campagnes de vaccination

Porto déclare que 30 de ses collègues policiers sont morts prématurément depuis le lancement des campagnes de vaccination Covid. Il précise qu’il ne peut établir de lien direct sans autopsie, mais que l’absence même de ces examens médicaux pose problème :

« Sans autopsie, aucun lien ne peut être prouvé. Mais pourquoi n’en pratique-t-on pas ? », s’interroge-t-il.

Il dénonce par ailleurs les pressions subies par les policiers qui ont osé remettre en question les mesures sanitaires : procédures disciplinaires, surveillance, sanctions professionnelles.

« Je n’ai fait que défendre les droits des travailleurs en tant que syndicaliste, mais j’ai été puni comme un criminel », affirme Porto.

Accusations de falsification des autorisations de mise sur le marché

Autre accusation majeure : la falsification présumée des documents soumis pour l’autorisation des vaccins. Selon Porto, les données présentées à l’EMA et aux autorités nationales auraient été manipulées afin de masquer la dangerosité des produits injectés à des millions d’Européens.

« Nous ferons toute la lumière sur cette affaire », promet-il, tout en appelant la société civile à prendre conscience de ses droits et à ne plus les déléguer aveuglément à des institutions opaques.

En toile de fond, le Pfizergate et les contrats opaques de Bruxelles

Cette plainte judiciaire s’inscrit dans le prolongement du Pfizergate, un scandale toujours en cours lié aux échanges de SMS entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla autour d’un contrat de 1,8 milliard de doses de vaccins. Ces messages, aujourd’hui disparus ou refusés à la transparence, font l’objet d’une autre enquête judiciaire pour corruption, destruction de documents publics et abus de pouvoir.

En mai 2025, la Cour de justice de l’Union européenne a ordonné la publication intégrale de ces échanges. Un camouflet pour la Commission, accusée de manquer de transparence dans la gestion de fonds publics européens.

Des vaccins Covid mortels ? La question désormais au cœur du débat

La plainte du syndicat OSA vient raviver une question qui hante encore de nombreux citoyens européens :

Les vaccins Covid ont-ils été administrés en connaissance de leur dangerosité ?

Des vies ont-elles été sacrifiées au nom de la politique sanitaire, sous couvert d’intérêt général ?

« Le public doit reprendre le contrôle. Il ne faut pas déléguer nos vies aux institutions et aux politiciens sans questionner leurs décisions », martèle Porto.

Un procès sous haute tension, des institutions sur la sellette

Le nom du procureur saisi du dossier est gardé secret, par crainte de pressions politiques. Le climat autour de cette affaire est électrique, tant les implications sont lourdes. Si les charges étaient retenues, ce serait l’un des plus grands scandales sanitaires et politiques de l’histoire contemporaine européenne.

En attendant, les regards se tournent vers la justice italienne, puis vers les juridictions européennes. Ce procès pourrait redéfinir les rapports entre santé publique, gouvernance et responsabilité pénale, dans un contexte où la défiance envers les institutions ne cesse de croître.

 

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