
Opération Narnia : l’arme secrète d’Israël qui a décapité le programme nucléaire iranien
Dans la nuit du 13 juin 2025, Israël a mené l’une de ses opérations les plus audacieuses contre l’Iran. Son nom : Opération Narnia. Son objectif : éliminer l’élite scientifique du programme nucléaire iranien. Résultat : 14 scientifiques tués simultanément dans des conditions mystérieuses. Quelle arme a été utilisée ? Comment une telle coordination a-t-elle été possible ? Plongée dans une opération clandestine hors normes.
Une frappe chirurgicale au cœur du savoir nucléaire iranien
Dans ce que les experts qualifient déjà de coup stratégique sans précédent, 14 scientifiques iraniens liés au programme nucléaire ont été éliminés dans la nuit du 13 au 14 juin.
Ces assassinats ciblés ont eu lieu dans plusieurs villes iraniennes, simultanément, à quelques minutes d’intervalle, alors que la plupart des victimes dormaient dans leur lit.
Selon des sources sécuritaires israéliennes relayées par Channel 12 et confirmées par Associated Press, ces scientifiques ont été tués par une arme « spéciale », dont les détails restent classifiés. Cette « arme secrète » pourrait bien redéfinir les règles de l’assassinat ciblé.
L’arme du crime : un dispositif robotisé, téléguidé, invisible
Ce n’est pas la première fois qu’Israël utilise des technologies de pointe pour éliminer ses ennemis. Mais dans le cadre de l’Opération Narnia, les informations suggèrent l’usage d’armes automatisées stationnées à proximité immédiate des cibles.
Le procédé rappelle l’assassinat en novembre 2020 du scientifique Mohsen Fakhrizadeh, tué par une mitrailleuse FN MAG modifiée, montée sur un véhicule télécommandé, puis désintégrée après l’opération.
Des sources proches du dossier affirment que Narnia aurait été l’évolution directe de cette méthode, avec une miniaturisation accrue et une précision extrême.
Une hypothèse évoque même des capteurs biométriques capables d’identifier la respiration du scientifique dans son sommeil avant de tirer une salve létale. Le Mossad aurait affiné la technologie pour la rendre totalement indétectable et autonome.
Une double offensive : assassins dans la nuit, bombardiers dans le ciel
Pendant que les scientifiques étaient éliminés au sol, des dizaines de cibles stratégiques iraniennes étaient frappées du ciel. Plus de 200 avions de chasse et missiles sol-air ont visé les installations de Natanz, Fordow, Isfahan, et d’autres infrastructures critiques du programme nucléaire iranien.
Cette offensive coordonnée, selon le Jerusalem Post, aurait impliqué les forces spéciales israéliennes, le Mossad, l’unité d’élite Sayeret Matkal, ainsi que le système de commandement aérien de Tsahal, dans une synchronisation parfaite.
Le but n’était pas uniquement de détruire des bâtiments, mais de frapper au cerveau, là où l’intelligence humaine est la plus difficile à remplacer.
Qui étaient les victimes ? Une élite irremplaçable
Parmi les scientifiques éliminés figurent des noms-clés du programme nucléaire iranien : Mohammad Reza Sedighi Saber, expert en enrichissement de l’uranium ; Abdolhamid Minouchehr, spécialiste des explosifs nucléaires ; Baraat, physicien nucléaire. Tous jouaient un rôle central dans la modélisation ou la fabrication d’armes atomiques.
Selon une source de l’AP citant des officiels américains, “ils n’ont pas été tués parce qu’ils connaissaient la physique, mais parce qu’ils étaient devenus des menaces stratégiques”.
Quel impact réel sur le programme nucléaire ?
Sur le plan immédiat, l’effet est cataclysmique pour l’Iran. Les pertes humaines sont difficiles à compenser, surtout dans un domaine aussi technique et confidentiel. Les travaux menés depuis des années ont été brutalement stoppés.
Pourtant, certains analystes appellent à la prudence. Selon le chercheur Ali Vaez, « le programme iranien a été conçu pour résister aux décapitations. L’État iranien possède une profondeur de compétences scientifiques qui rend difficile une interruption totale ».
Mais l’effet dissuasif est incontestable. Le message est clair : Israël est capable de frapper n’importe où, n’importe quand, et sans laisser de trace.
La frontière du légal : une guerre dans l’ombre
L’Opération Narnia soulève de graves questions juridiques. Si les cibles étaient toutes impliquées dans un programme militaire interdit par l’AIEA, elles demeuraient officiellement des civils. L’assassinat ciblé de scientifiques pourrait être interprété comme une violation du droit international, voire un crime d’État, selon certains juristes de l’ONU.
Israël, fidèle à sa doctrine d’ambiguïté stratégique, n’a pas revendiqué officiellement l’opération. Mais selon plusieurs médias israéliens, la signature du Mossad est difficile à nier.
Un précédent dangereux… ou un nouveau standard ?
L’efficacité de cette opération relance la réflexion sur les méthodes israéliennes de neutralisation, déjà utilisées par le passé contre des ingénieurs syriens, des commandants du Hezbollah ou des chercheurs nord-coréens.
Mais Opération Narnia dépasse tous les précédents : par son ampleur, sa précision, et sa capacité à combiner technologie, renseignement humain, et guerre psychologique.
La guerre du savoir est déclarée
L’Iran a perdu en une nuit 14 esprits-clefs. Israël a démontré qu’il ne suffirait plus de construire des bunkers ou de déplacer du matériel : le vrai front, désormais, est neuronal.
Narnia n’est plus un conte : c’est une opération militaire qui change la donne.
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