
L’hypocrisie du Hamas mise à nu : entre déclarations et atrocités
Le Hamas n’en est pas à son premier mensonge. L’organisation terroriste a toujours su manier la communication pour masquer ses crimes derrière une façade de respectabilité.
Depuis des années, elle prétend ne pas viser les civils, tout en orchestrant des attaques sanglantes et en utilisant la population de Gaza comme bouclier humain.
En affirmant ne pas « faire de mal aux enfants », le Hamas cherche à blanchir son image, mais les faits sont accablants.
Les rapports d’enquêtes israéliens et internationaux démontrent que des femmes et des nourrissons ont été assassinés de sang-froid le 7 octobre, certains brûlés vifs, d’autres égorgés dans leurs berceaux.
L’enregistrement du rapt de la famille Bibas en est l’illustration parfaite.
Alors qu’un terroriste du Hamas assure face caméra que les otages seront protégés, les conséquences sont tragiques.
Le bébé Kfir, âgé de 9 mois, est devenu le plus jeune otage jamais kidnappé dans un conflit moderne.
Son sort a ému le monde entier, mais cela n’a pas empêché le Hamas de le retenir pendant des mois, dans des conditions inhumaines, sans aucune preuve de vie.
Les revendications ultérieures du Hamas, accusant Israël de la mort de la famille Bibas, ne sont qu’une énième tentative de manipulation pour détourner l’attention de ses propres atrocités.
Les chiffres accablants des victimes civiles du 7 octobre 2023
Le 7 octobre 2023 restera gravé dans l’histoire d’Israël comme l’une de ses journées les plus sombres.
Lors de cette attaque coordonnée par le Hamas, plus de 1 100 Israéliens ont perdu la vie, dont 815 civils et 379 membres des forces de sécurité.
Parmi les victimes civiles, on dénombre 36 enfants, dont le plus jeune n’avait que 10 mois, et 25 personnes âgées de plus de 80 ans.
Cette journée a également vu plus de 3 400 blessés et l’enlèvement de 251 civils et soldats, dont 65 ont été confirmés morts en captivité.
Ces chiffres illustrent la brutalité et l’ampleur de l’attaque perpétrée par le Hamas, contredisant leurs déclarations prétendant épargner les civils et les enfants.
Les contradictions du Hamas
Malgré les déclarations du Hamas affirmant ne pas cibler les civils, les preuves démontrent le contraire. Le même jour, les Brigades Al-Qassam diffusaient un message aux habitants de Zikim, affirmant : « Nous ne voulons pas faire de mal aux enfants et aux femmes… » Cependant, les actions sur le terrain racontent une autre histoire.
La manipulation de l’information
Après l’enlèvement, des voix pro-Hamas ont utilisé la vidéo pour soutenir que le groupe protégeait les civils, certains allant jusqu’à accuser Israël de la mort de la famille Bibas.
Des publications sur les réseaux sociaux affirmaient : « Cette vidéo montre des Palestiniens protégeant la famille Bibas… Israël a tué la famille Bibas quelques semaines plus tard. » Ces allégations cherchent à détourner l’attention des responsabilités réelles.
Ces déclarations sont d’autant plus cyniques que, dans les tunnels souterrains du Hamas, où les otages étaient détenus, les survivants libérés ont témoigné des sévices subis.
Affamés, privés de soins médicaux, battus et menacés, certains ont même raconté comment des enfants ont été maltraités psychologiquement et physiquement.
Comment un groupe qui prétend préserver les femmes et les enfants peut-il les laisser mourir dans la souffrance la plus abjecte ?
L’histoire de la famille Bibas est un symbole de la duplicité du Hamas, une organisation qui joue sur l’émotion publique tout en perpétuant des horreurs sans nom. Derrière chaque déclaration se cache une vérité bien plus sombre : les promesses du Hamas ne sont que des leurres, et ses actes sont ceux d’une machine de guerre sans pitié, qui ne recule devant aucun crime pour servir son agenda.
Vos réactions