L’agente fantôme du Mossad qui a incendié Qom en Iran sans allumette -vidéo-

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L’agente fantôme du Mossad qui a incendié Qom en Iran sans allumette

L’agente fantôme du Mossad qui a incendié Qom sans allumette

L’histoire vraie de Catherine Perez-Shakdam, infiltrée au cœur du régime iranien et disparue depuis les frappes israéliennes de juin 2025

Née à Paris, convertie au chiisme, adulée par le régime iranien, Catherine Perez-Shakdam a livré les secrets les plus sensibles du pouvoir à Israël. Depuis, elle a disparu sans laisser de trace. Voici son histoire.

Ce n’est pas un mythe. Ce n’est pas un film d’espionnage.

C’est un fait, solidement étayé, qui hante aujourd’hui les minarets de Téhéran : une femme, entrée par la grande porte, a trahi l’Iran de l’intérieur — et changé à jamais le cours de la guerre clandestine entre Israël et la République islamique.

Son nom : Catherine Perez-Shakdam.

De Paris à Téhéran, itinéraire d’une traîtresse idéale

Née à Paris dans une famille juive laïque, diplômée en psychologie, finance et communication à Londres, Catherine Perez-Shakdam semblait promise à une carrière académique. Mais le destin, chez elle, se tisse à l’encre noire des révolutions intimes.

Convertie d’abord au sunnisme après son mariage avec un Yéménite, elle embrasse ensuite le chiisme duodécimain. Drapée d’un tchador noir, récitant les hadiths, maîtrisant le farsi, elle devient une figure familière dans les cercles intellectuels chiites. De Press TV à Tehran Times, en passant par le site officiel du Guide suprême Khamenei, sa plume vibre au rythme de la République islamique. On lui confie des éditoriaux, on lui ouvre les portes du pouvoir. On la laisse interviewer Ebrahim Raïssi pour Russia Today.

Mais cette dévotion affichée était un leurre. Car derrière cette couverture brillante se cache une recrue du Mossad.

 Une épée dans un gant de soie

Pendant des années, Catherine infiltre les salons privés, les maisons des officiers, les académies militaires. Elle fréquente les épouses des hauts commandants, participe aux prières collectives à Qom, observe, écoute, mémorise. Sa spécialité : inspirer confiance et enregistrer les confidences.

Elle n’a jamais manié d’arme. Sa force, c’était la parole feutrée, le regard attentif, la foi simulée. Ses articles étaient codés. Ses appels, cryptés. Chaque information transmise était un fil d’or tissé dans le réseau d’intelligence israélienne.

L’opération Shabgard (Marcheur de la nuit) : l’heure de vérité

Dans la nuit du 13 au 14 juin 2025, l’Iran tremble sous les frappes israéliennes. Ispahan, Natanz, Parchin : tous les bastions du programme nucléaire sont atteints avec une précision chirurgicale.

Le bilan est foudroyant :

  • 8 hauts gradés des Gardiens de la Révolution tués dans leur sommeil.

  • 7 scientifiques nucléaires éliminés sans préavis.

  • 3 commandants de la Force Qods, introuvables depuis des années, neutralisés en une nuit.

Ces cibles n’étaient pas des points sur une carte. Elles étaient le fruit d’une écoute intime, patiente, humaine. Ce que ni les drones ni les satellites ne pouvaient voir, Catherine l’avait entendu dans les cuisines, les hammams, les jardins.

Disparition dans les ombres

Au matin, Catherine Perez-Shakdam n’est plus en Iran.
Les services secrets du régime fouillent ses textes, retracent ses trajets, interrogent ses contacts. Trois collaborateurs druzes sont exécutés. Mais elle, elle a disparu.

Selon plusieurs sources, elle aurait été exfiltrée par une équipe du Mossad depuis les monts Zagros, à la frontière kurde, dans un lit de rivière asséché près de Sardasht. Un hélicoptère l’aurait transportée hors d’Iran dans le plus grand secret.

Depuis cette nuit, Interpol ne possède aucune photo récente d’elle. Ses blogs en farsi ont été effacés. Son compte Twitter, où elle citait Khamenei, a disparu. Aucune trace, aucun indice. Seulement le silence.

Où vit-elle aujourd’hui ? A-t-elle changé d’identité ?

Avant sa disparition, Catherine vivait à Londres, où elle élevait ses enfants. Elle était affiliée au Henry Jackson Society, un think tank influent, et collaborait avec Wikistrat, cabinet de renseignement israélo-américain.

Mais depuis l’opération Shabgard, plus aucun signe de vie public. Selon plusieurs analystes et médias, elle aurait été placée sous nouvelle identité, probablement dans un pays occidental. Sa disparition volontaire et organisée, son effacement numérique, son profil de cible hautement sensible pour Téhéran : tout laisse penser qu’elle bénéficie d’un statut protégé.

Il est possible qu’elle vive toujours au Royaume-Uni. D’autres spéculent sur le Canada ou une base militaire israélienne protégée. Ce que l’on sait, c’est que le régime iranien la considère comme l’ennemie publique n°1 et que sa sécurité ne peut être assurée sans une refonte complète de son identité et de sa vie.

Une légende contemporaine du renseignement

À Téhéran, son nom est une malédiction.
À Tel-Aviv, une légende murmurée dans les couloirs feutrés du Mossad.

On l’appelle « la Murmureuse des Minarets », « la Scribe de l’Ombre », « la Femme qui a brûlé Qom sans allumette. » Son arme fut la confiance. Sa foi, un déguisement. Son efficacité, absolue.

Une guerre moderne sans balles, mais pas sans victimes

Catherine Perez-Shakdam incarne un nouveau visage du renseignement : celui des femmes qui infiltrent non par la force, mais par la finesse, la dissimulation et la foi mimée. Son histoire pose une question vertigineuse : combien de régimes totalitaires pourraient tomber non pas sous les bombes, mais sous le poids d’un seul regard, d’un seul mot, d’un seul article ?

Elle vit peut-être encore. Ou peut-être pas. Mais si elle existe toujours, elle est désormais invisible — et immortelle dans les archives silencieuses des victoires israéliennes.

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