Claudine Douillet

Claudine Douillet parisienne et juive de naissance de parents profondément sionistes (un père sur l’Altaléna ça laisse des traces).

Fondatrice du premier magazine Juif sur le net, Alliance, en 1997, avant Google !
220 000 lecteurs uniques par mois à son actif.

En 1999 création Alliance-Hosting LLC , une "Web Agency » conceptrice de sites internet pour les entreprises et leur migration sur le net. Formation d’internet pour chefs d’entreprise.

Alliance-Hosting LLC a permis grâce ses moyens techniques la retransmission en directe des 4 radios juives de France 94.8 FM sur le net ,dés 2000, pendant 12 ans.

Experte en communication digitale avec Alliancefr.com, et radiophonique avec "Internet sans prise de tête" sur judaïques FM 94.8 depuis 2000, ma passion est née de la découverte, dés 1996, du plus important moyen de communication avec le monde, internet.

Mon expérience est le résultat de 22 années au service des entreprises désireuses de migrer sur le net et des médias.

Rendre réel ce monde virtuel c’est l’alliance du savoir faire et du faire savoir.

Les articles de Claudine Douillet

Le logo des Rolling Stones dans le paysage...

stones_logo.jpgCHAMBORD, Loir-et-Cher - Deux jeunes artistes tourangeaux, Claire Trottignon et Nils Guadajin, se sont associés pour réaliser une intervention de type "land art" en introduisant le logo des Rolling Stones, la fameuse bouche tirant la langue, sur le domaine du prestigieux château de Chambord.

Matérialisé en herbe tondue, le dessin d'environ 810 m2 se situe sur l'esplanade du domaine. "Au moyen d'un anachronisme et d'un rapport d'échelle équitable entre le bâti et le logo, nous avons voulu être à la fois impertinents et drôles en mettant en parallèle les deux mythes, l'un historique, l'autre musical", explique Nils Guadajin, 23 ans. Pour sa collègue de 25 ans, "le dessin tracé dans l'herbe évoque la tradition des jardins à la française. C'est la différence de couleur due à la tonte qui fixe les contrastes".

L'oeuvre éphémère, réalisée à l'occasion de la 25e édition des Journées européennes du patrimoine ce week-end, sera visible durant un mois. Le public pourra l'observer des terrasses du monument.

"Grâce à notre autonomie financière et juridique, nous pouvons maintenant faire plus de choses", a commenté le directeur général adjoint du domaine national de Chambord, Xavier Bourdin. Il veut avec ce type de démarche "confronter le monument historique à une création contemporaine pour rendre plus vivant les lieux".

En intitulant leur dessin "Les Rolling Stones ne viendront pas...", les deux artistes précisent que celui-ci ne prêche pas le faux pour obtenir le vrai. Mick Jagger, qui possède un château à proximité, averti de l'opération, a bien été officiellement invité à découvrir le travail des deux artistes, mais n'a pas confirmé sa venue.

Le groupe britannique a utilisé le logo, inspiré de la bouche de son chanteur Mick Jagger, pour la première fois pour la pochette de son album "Sticky Fingers" paru en 1971.

A Washington, le vin servi par...

vinsauto.jpgWASHINGTON ,le 19/09/08 - Un distributeur automatique, une carte à puce, un retrait. Une opération toute simple répétée quasi quotidiennement par tout un chacun, sauf qu'ici, dans un bar de Washington, on y retire... des verres de vin.

C'est le premier de la capitale des Etats-Unis et il n'en existe qu'une poignée dans tous le pays : "Ceviche", un bar à vin doté de trois distributeurs automatiques mis au point par la société italienne Enomatic.

A la carte, une gamme complète de vins venant d'Amérique du Sud: Zolo, cabernet sauvignon d'Argentine, ou encore Almaviva du Chili.

Pour déguster, il suffit d'acquérir une carte et de la créditer du montant de son choix. Pratique pour Lana, une cliente habituelle séduite par le concept.

"Pour moi, le truc le plus important, c'est que c'est dans le quartier", dit-elle en insérant sa carte dans l'un des distributeurs.

"J'aime le choix qu'ils proposent, ajoute-t-elle, et j'aime la facilité avec laquelle on peut prendre un verre de vin et se mettre à lire tranquillement ou discuter avec les gens".

Autre client --Fred, un Irano-américain-- mais même rituel : la carte est insérée, le vin choisi, puis dégusté.

Lui apprécie l'"expérience différente". "C'est toujours sympa de faire un truc nouveau", explique-t-il.

Son choix s'est arrêté sur un Llicorella Cellars Unio Priorat 2003. Il appuie sur un bouton, le breuvage jaillit d'un robinet en métal jusque dans son verre. Commentaire : "C'est un drôle de gadget, c'est comme avoir un iPod. C'est amusant".

Blancs, rouges et rosés sont stockés derrière une vitre qui les maintient à la température idoine. Le dispositif permet de conserver la saveur du vin trois semaines après l'ouverture des bouteilles : l'oxygène qui s'y introduit lors de leur ouverture est remplacée par de l'azote, afin d'éviter toute oxydation du vin.

Côté quantités, les clients peuvent opter pour un verre plein de 15 cl, mais également ne choisir qu'un doigt, d'environ 3 cl, histoire de goûter, avant de déguster. Avantage : le système permet de s'essayer à des bouteilles de luxe, comme l'Almaviva, à 190 dollars la bouteille.

"Les vins de ce type ne sont généralement pas vendus au verre, parce que le restaurant voudra finir toute la bouteille une fois qu'elle est ouverte. Et à 50 dollars le verre, c'est difficile", explique Alejandro Umerez, un étudiant argentin en économie qui travaille au Ceviche la nuit.

"Mais ce système les met à la portée de toutes les bourses, parce qu'il permet de conserver le vin pendant trois semaines, et aussi parce vous pouvez goûter les vins dans un verre de 3 cl", poursuit-il. Il vous en coûtera ainsi 10 dollars pour 3 cl d'Almaviva, contre 1,50 pour l'équivalent de Zolo.

Pour Fred, le client irano-américain, le distributeur automatique présente un autre avantage, d'ordre plus psychologique. "Si vous avez un rendez-vous galant et qu'on attend que vous vous y connaissiez en vin, un distributeur automatique ne vous dira jamais que vous êtes inculte en la matière, alors qu'avec un serveur, ce n'est pas exclu...", explique-t-il en riant.

McCartney entend délivrer un message de paix

JERUSALEM,le 22/09/08 - Paul McCartney a l'intention de délivrer un message de paix lors de sa visite historique en Israël cette semaine. Il donnera son premier concert dans l'Etat hébreu jeudi à Tel Aviv.

La semaine dernière, un imam libanais, Omar Bakri Mohammed, a exhorté l'ex-Beatle à annuler son déplacement "par respect pour les sentiments des musulmans de Palestine". Il a démenti avoir proféré des menaces de mort à l'encontre du musicien.

Paul McCartney souligne dimanche dans le "Jerusalem Post" que ce type d'événements apporte obligatoirement son lot d'inquiétudes. Mais "de nombreuses personnes ont compris que j'étais plutôt apolitique et que mon message (...) était un message de paix".

Les Beatles devaient se produire en Israël en 1965, mais le gouvernement leur avait refusé les autorisations nécessaires, estimant que leur musique pouvait corrompre sa jeunesse.

A Berlin, le musée juif sur les traces de l'art volé

musee-juif.jpgBERLIN ,le 22/09/08 - De leur spoliation par les nazis à leur restitution parfois controversée, le Musée juif de Berlin retrace pour la première fois l'histoire complexe de milliers d'oeuvres d'art ayant appartenu à des juifs.

A travers 15 cas concrets - tableaux, statuettes ou collections emblématiques -, l'exposition intitulée "Pillage et restitution, les biens culturels issus de collections juives de 1933 à nos jours" met en lumière la politique de pillage systématique mise en place par le pouvoir hitlérien, et tente de raconter le destin de ces oeuvres après 1945.

A travers de nombreux documents et photos d'époque, elle met l'accent sur les victimes et les nombreux profiteurs de ce vol d'Etat, mais s'intéresse également aux efforts consentis par les Alliés après la fin de la guerre pour recenser les biens pillés, puis pour retrouver leurs propriétaires ou héritiers.

Les panneaux explicatifs, installés sur des caisses en bois brut évoquant les emballages utilisés pendant la guerre pour déménager discrètement les oeuvres d'art, soulignent l'extrême diversité des situations.

Parmi les pièces maîtresses de l'exposition "Garçon devant deux filles debout et une assise", une toile du peintre expressionniste allemand Otto Mueller. Confisquée en 1935 par la Gestapo lors d'une vente aux enchères organisée par la famille du collectionneur juif allemand Ismar Littmann, elle est exposée deux ans plus tard à Munich en tant qu'oeuvre "dégénérée", puis vendue.

Les héritiers d'Ismar Littmann ne parviendront qu'à la fin des années 1990 à faire valoir leurs droits et à obtenir une indemnisation pour ce tableau, entretemps acheté de bonne foi par une fondation qui l'exposait dans un petit musée allemand.

"On aborde là des questions très chargées émotionnellement, des thèmes qui peuvent être très conflictuels", souligne le directeur du Musée juif de Berlin, l'Américano-Allemand W. Michael Blumenthal.

"Toutefois notre but n'était pas de prendre parti. Nous avons voulu nous en tenir aux faits, tenter de présenter avec objectivité l'Histoire et la situation actuelle", ajoute M. Blumenthal, qui met en avant "un travail de pionnier, qui n'avait jamais été réalisé auparavant dans une exposition".

Il est impossible de chiffrer précisément la quantité d'oeuvres d'art dans le monde qui pourraient encore à l'avenir faire l'objet de contestation en raison d'un éventuel passé mouvementé sous le nazisme, estime Inka Bertz, l'une des commissaires de l'exposition berlinoise.

Mais le fait est que, ces dernières années, les cas de contentieux juridiques se sont multipliés. Ainsi en 2006, une toile de l'expressionniste allemand Ernst Ludwig Kirchner, qui pendant des années avait été le fleuron d'un petit musée berlinois, a finalement été restituée aux héritiers de son ancien propriétaire juif. Ils en ont obtenu 38 millions de dollars aux enchères à New York.

L'affaire avait défrayé la chronique, certains acteurs du milieu culturel allemand accusant les maisons d'enchères d'être à l'origine de ces procédures judiciaires, dans le but selon eux d'empocher de juteuses commissions en cas de succès.

Face à la complexité du problème, les auteurs de l'exposition berlinoise se gardent de trancher. En guise d'épilogue, ils proposent au visiteur de prendre part à un jeu de rôle multimédia, où il peut se mettre à la place, au choix, de l'héritier spolié ou du directeur de musée confronté à une réclamation.

"A leur place, que décideriez-vous?" interrogent les auteurs du jeu, qui démontrent que les réponses ne sont pas toujours évidentes.

(http://www.jmberlin.de/raub-und-restitution/, jusqu'au 25 janvier)

Six ans de prison pour un homme

SHEBOYGAN, Wisconsin,22/09/08 - Un homme, reconnu coupable d'avoir volé une tirelire qui contenait 20$ (13,82€), a été condamné jeudi à six ans de prison par le tribunal du Wisconsin.

En août 2007, il était entré dans une maison et était reparti avec le petit cochon d'une enfant de deux ans. La mère de l'enfant l'avait surpris en flagrant délit dans la chambre de sa fille.

Le cambrioleur, Ryan Mueller, 31 ans, est un récidiviste. Il a déjà été condamné à quatre reprises. En juin dernier, il avait été condamné à six ans de prison pour un autre cambriolage. Il purgera donc ces deux peines successivement.

Le style asiatique en décoration

asiatique2.jpgLe style asiatique : l’ethnic chic et zen

L’influence asiatique en matière de style décoratif englobe plusieurs tendances : chinoise, thaïlandaise, vietnamienne, indienne. Le tout mélangé donne un intérieur riche de couleurs, de texture, d’essence divers qui évoquent les voyages lointains, la quiétude, le confort et l’exotisme.

Les couleurs du style asiatique

Les couleurs dominantes sont les couleurs vives comme la turquoise, le parme, le jaune, le bleu ciel, l’orange, le rouge mélangées à des couleurs ocres ou écrues. Les dorures sont aussi très présentent et symbolise l’éternité et la richesse.

Mobilier du style asiatiqueasai.jpg

Les mobiliers sont en bois exotique comme le teck, le bambou. Le lit est bas les pieds incurvés, ornés de sculpture exubérante. Le lit est recouvert de moustiquaire, et au plafond, un accessoire essentiel à la chambre à coucher de styla asiatique l’éventail stylisé pour brasser l’air chaud et humide de ces contrées tropicales. Le meuble est assez petite de dimension, au fini ciré naturel, ou laqué. Les meubles à épices de forme rectangulaire ou en pagode sont aussi typiques du style asiatique. Les poignets des tiroirs sont en laiton frappé, en ivoire ou en corne pour les plus beaux d’entre eux.

Les tissus d’ameublement et les linges de maison sont de couleurs vives et chatoyantes, et font rayonner l’intérieur. On utilise les fibres naturelles colorées comme la soie, le lin, le raphia, comme nappe de table, rideaux, coussins, tenture, linge de lit…

orch.jpgBibelots et accessoires style asiatique

Les vases et pots émaillés décorés ou non sont familiers de ce décor. Tous ces éléments de décor s’équilibrent et s’harmonisent avec le reste. Et enfin, quelques bougies pour la perfection.

Les masques de théâtre traditionnel, les miroirs en métal ciselé, les toiles en batik, des tableaux en papier de riz peuvent ornerpapierriz.jpg les pans de mur à profusion. Les petites boites de métal émaillées et décorées qui ont jadis fait office de boite à thé ou encens deviennent des éléments décoratifs très à la mode.

Des fleurs et des paniers de fruit ornent la table basse ou le centre de table. Les fleurs exotiques comme les orchidées, les paradisiers, les arums sont souvent utilisés pour composer un arrangement floral luxuriant et exotique, et les mangues, les bambou.jpgpapayes, les ananas, les caramboles, ornent merveilleusement les coupelles en terre émaillé aux couleurs vives.

Comme les autres styles décoratifs inspirés de voyage, les plantes vertes trouvent parfaitement leur place dans cet univers luxuriant et paisible. On utilise souvent les plantes comme le yucca, le bambou, le dragonnier.

Onze touristes étrangers enlevés dans le sud de l'Egypte

LE CAIRE, le 22/09/08 - Onze touristes étrangers - cinq Italiens, cinq Allemands et un Roumain - et quatre Egyptiens ont été enlevés près d'Assouan, dans le sud de l'Egypte, annonce le ministre égyptien du Tourisme.

C'est la première fois dans l'histoire récente que des touristes étrangers sont kidnappés en Egypte, même si le pays a été frappé au cours des dernières décennies, en particulier dans les années 1990, par des attentats islamistes visant les grands sites touristiques.

Les otages pourraient avoir été emmenés au Soudan voisin par leurs ravisseurs, a-t-on précisé de source proche des services de sécurité.

Le ministre du Tourisme a ajouté que des discussions étaient en cours avec les ravisseurs qui réclament une rançon.

"C'est l'action d'une bande d'hommes masqués", a précisé Zoheir Garrana.

D'après des sources proches des services de sécurité égyptiens, les touristes avaient été vus pour la dernière fois dimanche soir à Assouan. Ils devaient prendre part à un rallye motorisé dans le désert, a-t-on précisé de mêmes sources.

On ignore si l'enlèvement a eu lieu dimanche ou lundi, ont ajouté ces sources.

La présence de cinq Italiens parmi les personnes enlevées a été confirmée par le ministère des Affaires étrangères à Rome, qui a dit, sans autres détails, être en contact avec d'autres pays concernés.

Les attaques visant les touristes dans la vallée du Nil ont été peu fréquentes ces dernières années. Toutefois, une série d'attentats à la bombe ont visé des stations balnéaires de la péninsule du Sinaï entre 2004 et 2006, des actions imputées à un groupe de Bédouins inspirés par les idées radicales islamistes.

L'un des attentats les plus meurtriers contre les touristes en Egypte remonte à novembre 1997, quand 62 personnes dont 58 étrangers avaient trouvé la mort près du temple d'Hatshepsout à Louxor, mitraillés par un commando islamiste.

Israël : Rose a été inhumée près de Paris

rose.jpgMONTESSON ,le 22/09/08 - La petite Rose, 4 ans, dont le corps a été découvert il y a dix jours en Israël, a été inhumée dans l'intimité lundi après-midi au cimetière de Montesson (Yvelines), près du domicile de son père .

Rose, une fillette française de quatre ans, avait disparu le 12 mai en Israël. Son corps avait été retrouvé dans le fleuve Yarkon le 11 septembre, à la suite de quoi la justice israélienne a inculpé sa mère et son grand-père paternel israélien les soupçonnant du meurtre de l'enfant.

Les journalistes avaient été tenus à l'écart du cimetière où s'est déroulée en présence de quelques dizaines de personnes une "cérémonie chrétienne religieuse", selon Meier Habib, vice-président du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) qui a assisté à l'inhumation.

Outre des membres de la famille, qui n'ont fait aucune déclaration, une déléguée de la police israélienne était présente ainsi que des membres de la communauté juive de France.

Evoquant un incident qui a vu le portrait sous verre de l'enfant tomber et se briser lors de la cérémonie, M. Habib a déclaré: "c'est dit que jusqu'au dernier moment cette petite n'aura pas eu de chance".

La justice israélienne a inculpé pour meurtre la mère et le grand-père de Rose, a indiqué lundi à Jérusalem à l'AFP un porte-parole du ministère de la Justice israélien.

L'acte d'accusation voit dans le meurtre le résultat d'une "décision conjointe et préméditée de tuer Rose", tout en soulignant l'incapacité de l'accusation à déterminer précisément ce qui a provoqué la mort.

"Les accusés ou l'un d'eux ont mis Rose dans le sac après sa mort ou alors qu'elle était encore en vie", ainsi que des habits et quelques objets appartenant à la fillette de quatre ans, précise le document.

Le tribunal de Petah-Tikva (près de Tel-Aviv) a confirmé la détention provisoire des deux inculpés jusqu'au 27 octobre, date à laquelle commencera le procès, a précisé la même source.

Le grand-père paternel israélien, Ronny Ron, 45 ans, avait fait des aveux juste après son arrestation en août, précisant qu'il avait battu l'enfant à mort avant de mettre le corps dans une valise qu'il avait jetée dans un fleuve près de Tel-Aviv.

La mère, Marie-Charlotte Renaud, l'ancienne belle-fille du grand-père, nie toute implication dans le meurtre de sa fille Rose, ce qu'a confirmé lundi l'avocat de Ronny Ron aux médias israéliens.

Ronny Ron, chauffeur de taxi, vivait avec la mère de Rose, 23 ans, avec laquelle il a eu deux filles. La jeune femme avait précédemment été mariée au fils de Ronny Ron avec qui elle avait eu Rose.

Une voiture fonce dans la foule à un carrefour de Jérusalem

JERUSALEM,le 23/09/08 - Une voiture a foncé dans la foule lundi soir à un carrefour très fréquenté de Jérusalem, faisant 13 blessés parmi les piétons, selon la police.

L'auteur de l'attaque a lui été abattu par un officier de l'armée qui se trouvait dans le groupe agressé, a annoncé le commandant Aharon Franco, de la police de Jérusalem. Il a ajouté que l'assaillant était un Palestinien de Jérusalem-Est qui a apparemment agi seul.

La télévision israélienne a quant à elle rapporté que la voiture appartenait à un habitant de Jabel Moukaber, village arabe situé sur la commune de Jérusalem.

Des ambulances et des véhicules de police ont immédiatement convergé vers le lieu de l'attaque, survenue peu avant 23h locales (20h GMT). Les services de secours ont affirmé avoir évacué deux personnes grièvement blessées, les autres étant plus légèrement atteintes.

Le carrefour où s'est produit l'attaque est proche de la ligne invisible séparant les secteurs juif et arabe de Jérusalem, près de la Vieille ville.

Il s'agit du troisième incident de ce type à Jérusalem en l'espace de quelques semaines. En juillet, des Palestiniens domiciliés à Jérusalem avaient mené deux attaques en utilisant des engins de chantier. Trois personnes avaient été tuées et plusieurs autres blessées. Les auteurs des attaques avaient eux été tués par balles par les services de sécurité.

Un mannequin brésilien se souvient du jeune McCain

RIO DE JANEIRO,le 23/09/08 - Une ex-mannequin et danseuse fait les gros titres de la presse brésilienne en se présentant comme un amour de passage du jeune John McCain, il y a 51 ans.

Maria Gracinda Teixeria, 77 ans, affirme qu'elle est la femme que le candidat à la présidence américaine décrit avec tendresse, sans la nommer, dans son livre paru en 1999 "Faith of my Father's". Dans cet ouvrage, McCain raconte que jeune marin dans la Navy, il a rencontré "un modèle de mode brésilien" alors que son destroyer faisait escale à Rio pendant une semaine, en 1957.

Les reporters locaux ont remonté la piste et identifié la mystérieuse danseuse, la semaine dernière. "Il embrassait bien" croit-elle se rappeler, mais "je n'aurais jamais cru qu'il écrirait sur moi, ça a été une surprise" s'est épanché la vieille dame.