Table d'humour 14

Humour - Thorapie - le - par .
Transférer à un amiImprimerCommenterAgrandir le texteRéduire le texte
FacebookTwitterGoogle+LinkedInPinterest
Un mendiant sonne à la porte de David
- Vous auriez pas un petit quelque chose pour moi ?
- Oui, vous aimez la soupe de la veille ?
- Ho oui, ho oui !
- Ben repassez demain !
 
----------------------------------------------------------------------------
 
Sarah ammène le petit Samuel chez le vieux tailleur Isaac afin de lui
acheter un beau costume pour sa Bar-mitzva . Ils entrent dans la modeste
échoppe:
- Bonjour Sahra, bonjour Samy ! Vous venez pour un costume ?
Sarah lui fait un topo de la situation et lui précise bien:
- Et surtout Isaac, je veux ton plus beau tissu pour le costume du petit !
Isaac lui promet un costume exeptionnel et il prend les mesures du petit.
 
Une semaine après, Sarah passe chez le vieil Isaac avec son fils pour
prendre livraison du vêtement. Le costume est très joli et va comme un gant
au petit Sammy. Après avoir payé (très cher, mais bon, un tissu pareil...),
Sarah et Samuel s'en vont prendre le bus. Mais voilà qu'un orage éclate
soudain et que, le temps de courir s'abriter, ils sont tous les deux trempés
jusqu'aux os. Sarah regarde alors le petit Samy, et là, stupeur: le costume,
taillé dans un tissu de pacotille a affreusement rétréci et les bras et
jambes du petit Samuel dépassent d'une bonne dizaine de centimètres...
 
Furieuse, Sarah retourne chez le tailleur en traînant son fils derrière
elle, entre furibarde dans la boutique et se retrouve devant le vieil Isaac
qui s'exclame en decouvrant Samuel:
- Mon dieu, comme il a grandi !
 
----------------------------------------------------------------------------
 
Abraham dit à Jacob:
- Ch'suis malade, mais j'ai peur d'aller chez le toubib, parce que ça coûte
cher, quoi!
- Ben, tu devrais aller chez le docteur Samuel. Il pratique un tarif
dégressif! Quand on revient le voir, il ne prend plus que la moitié!!
Abraham se présente donc chez le Dr Samuel, et déclare tout de go:
- Bonjour Docteur! C'est encore moi!!
 
----------------------------------------------------------------------------
 
Les parents du petit Samuel, les Bensimon, sont très inquiets, il semble
souffrir de graves troubles mentaux. Ils l'emmènent donc voir un psy.
Le psy demande aux parents d'aller dans la salle d'attente afin qu'il puisse
s'entretenir seul à seul avec leur fils. Au bout d'un quart d'heure il sort
et dit aux parents : "c'est très grave, votre fils fait un complexe
d'Oedipe".
La mère répond : un complexe d'Oedipe? Oh c'est pas grave, du moment qu'il
aime sa mère...
 
 
 
----------------------------------------------------------------------------
 
Un Juif écossais ashkénaze (ashkénaze veut dire allemand en hébreu ancien)
se rend avec son épouse à l'hôtel Beau-Rivage, à Genève, Suisse (Suisse:
Confédération helvétique, Eidgenossenschaft Schweiz, ou Confederazzione
helvetica, note pour les pédants).
Il y passe trois jours et trois nuits. Au moment de repartir, il tique en
voyant la note: 3000 francs suisses (3000 francs suisses: quelque 1,200.000
francs CFA, note pour les économistes du pays Dogon), plus 900 francs
(suisses, toujours) pour les repas.
- Comment!, s'exclame-t-il, Vous me demandez une somme pareille pour les
repas? Mais je n'y ai même pas touché, à votre nourriture!. Je n'ai rien
mangé! Votre nourriture n'est même pas cacher.
- Rien à faire!, répond le gérant. La nourriture était à votre disposition,
et si vous n'y avez pas touché, cela vous regarde! Vous nous devez 3900
francs!
Le Juif écossais ashkénaze réfléchit un moment.
- D'accord!, finit-il par répondre. Mais maintenant, c'est vous qui me devez
2100 francs!
- Comment?, demande le gérant.
- Je vous paye les 3900 francs, mais vous, vous m'en devez 6000, parce que
trois nuits de suite, vous avez couché avec ma femme! Je compte 2000 francs
par nuit, parce que je l'aime beaucoup. 6000 francs moins 3900, ça fait
2100! Vous savez compter, non?
- Mais... je n'ai pas couché avec votre femme!, balbutie le gérant.
- C'est votre problème! Ma femme était là, à votre disposition, et si vous
ne l'avez pas touchée, cela vous regarde! Rien à faire
 

----------------------------------------------------------------------------
 
 
Ça me rappelle un sketch de Popeck ou il est a la Gare du Nord.
Une femme lui demande ou se trouve "la roue de la gare". Il répond que la
gare, c'est ici, donc la roue est certainement dehors. Puis il lui demande
si elle est étrangère, et elle répond qu'elle est portugaise.
Il lui dit alors " si ji peux mi pirmittre di vous donner un conseil, on dit
pas la roue, on dit la rie..."
 
----------------------------------------------------------------------------

 
C'est un noir au marché de Jérusalem qui essaie de vendre sa vache à 100
dollars. La vache, une vielle carne avec la peau sur les os, un pis aussi
gros que les seins de Jane Birkin. Enfin bref une épave à 4 sabots.
Evidemment, aucun client ne se manifeste. Durant 2 heures un juif observe ce
noir puis s'approche...
Le juif: - Tu n'as rien compris à la vente, laisse-moi faire. Si je te la
vends, on fait 70% pour moi et 30 pour toi, OK?
Le Noir: - OK.
Le juif commence la vente ...
Le juif: - Voici la toute dernière race de bovin, comme la nouvelle lessive
elle est très concentrée. Elle prend moi de place mais donne plus de lait.
Et là, la foule commence à s'avancer, se masser.
Le juif: - Et oui mesdames et messieurs, voici le dernier cri de la
génétique africaine.
Et là, ça devient la cohue pour cette curiosité et les enchères commencent à
monter: 100$, 200$, 300$..500$
Le juif: - Et plus fort encore, elle a été inséminée artificiellement et en
plus elle fera deux veaux chaque année.
Et les enchères montent 550$, 600$, 1100$.
Le juif: - Avec les veaux, plus aucun problème de descendance.
Et là enchères s'enflamment 2000$, 3000$.
Alors à ce moment là, le noir va voir le juif et lui dit : Je ne la vends
plus!
Le juif: Et pourquoi, regarde tout l'argent qu'on va se faire...
Le noir: Ouah, mais si elle vaut si cher, je prefère la garder!
 

----------------------------------------------------------------------------
 

-Toi, mon petit, quel est ton voeu le plus cher pour quand tu seras grand?
- Devenir riche!
- Ach! petit égoïste! Et toi?
- Épouser la maîtresse!
- Ach! sales pensées sexuelles! Et toi?
- Mourir pour l'Allemagne et pour vous, mein Führer!
- Très bien, mon petit! Mais dis moi, pourquoi portes-tu ton cartable sur la
poitrine?
- C'est pour cacher l'étoile jaune, mein Führer!
 

----------------------------------------------------------------------------
 

C'est en Pologne il y a quelques années, à 4 heures du matin, une file de
300 mètres est déjà présente à l'entrée d'un magasin de chaussures. Vers 8
heures, la file mesure près d'un kilomètre. Alors, la police arrive et
s'écrie:
"Il n'y aura pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que tous les
juifs rentrent chez eux !"
Et la file ne mesure plus que 50 mètres.
Vers midi, elle mesure 500 mètres. La police revient et dit: "Il n'y aura
pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que tous les étrangers
rentrent chez eux !"
et la file mesure de nouveau 100 mètres.
Vers 17 heures, elle mesure alors 400 mètres. La police arrive et dit: "Il
n'y aura pas assez de chaussures pour tout le monde, alors que tous ceux qui
n'ont pas la carte du parti rentrent chez eux !"
et la file mesure de nouveau 50 mètres.
Vers 21 heures, la police vient pour la dernière fois et annonce: "Il n'y a
plus de chaussures alors rentrez tous chez vous !"
Un homme sort de la file et s'écrie:
"Merde, il y en a marre, c'est toujours les juifs qui sont prévenus les
premiers!"
 
Il y a pas si longtemps que cela (on va dire en 1980), un gars va se
confesser.
 
"Pardonnez-moi mon Père, parce que j'ai pêché: Pendant la seconde guerre
mondiale, j'ai caché un juif dans mon grenier."
 
"Hé, mais ce n'est pas un pêché!" répond le prêtre.
 
"Oui, mais je lui ai demandé 500 FF pour chaque semaine qu'il passait là."
 
"Ah ça d'accord! Ce n'était pas bien, mais ce n'était pas un gros pêché
puisque vous faisiez une bonne action en même temps." répond le curé.
 
"Oui, mais je ne lui ai pas encore dit que la guerre est finie!"
 


Vos réactions

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

A voir aussi