Le Hamas admet avoir menti sur le nombre d’enfants tués à Gaza

Le ministère de la Santé de Gaza, contrôlé par le Hamas, a récemment procédé à une mise à jour discrète de ses bilans. Environ 3 400 noms ont été supprimés, dont 1 080 enfants qui figuraient auparavant parmi les victimes présumées. Cette correction majeure, révélée par plusieurs sources indépendantes, remet profondément en question la fiabilité des chiffres avancés jusqu’ici.

Une révision discrète et sans explication officielle

Selon les données analysées par la Henry Jackson Society et relayées par des médias comme le New York Post et Israel Hayom, le Hamas a discrètement retiré environ 3 400 noms de sa liste officielle de victimes, sans communiqué officiel ni justification publique.

Parmi ces retraits figurent 1 080 enfants initialement déclarés morts. Les chercheurs ont également relevé une forte proportion d’hommes âgés de 16 à 45 ans, correspondant à la tranche d’âge des combattants, et non de civils innocents comme souvent affirmé.

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Les chiffres officiels antérieurs démentis

Dans ses précédents bilans, le Hamas prétendait que plus de 70 % des morts étaient des femmes et des enfants. Or, après vérification, près de 72 % des victimes identifiées étaient des hommes en âge de combattre.

Les données révisées ont montré que certains adultes avaient été erronément enregistrés comme enfants, et même que des noms de combattants morts figuraient dans la catégorie des civils. Des erreurs de sexe ont aussi été repérées, avec des hommes enregistrés comme femmes pour alourdir le bilan humain.

Des morts inventées ou attribuées à tort à Israël

D’après l’analyse des listes, plusieurs noms retirés concernent des personnes décédées bien avant le début du conflit, voire mortes de causes naturelles.
D’autres ont été tuées par des tirs du Hamas lui-même, lors de règlements de comptes internes ou d’erreurs de tirs, mais ont été comptabilisées comme des victimes des frappes israéliennes.

Cette manipulation volontaire vise à gonfler artificiellement le bilan civil afin de susciter l’indignation internationale et faire pression sur Israël dans l’opinion mondiale.

L’ONU se distance, les médias hésitent

Malgré la gravité de ces révélations, de nombreux grands médias occidentaux n’ont pas relayé l’information. L’ONU, qui s’appuie souvent sur les chiffres fournis par le ministère de la Santé de Gaza, a pris ses distances ces dernières semaines, affirmant ne pas être en mesure de vérifier l’authenticité des bilans fournis.

Cette affaire met en lumière les limites de la transparence à Gaza et l’instrumentalisation des bilans humains à des fins politiques et médiatiques.

Une manipulation qui pourrait se retourner contre le Hamas

Cette correction majeure pourrait marquer un tournant dans la guerre de communication menée par le Hamas. La population de Gaza, déjà éprouvée par les combats et les destructions, commence à douter de la parole officielle. Des voix s’élèvent même localement pour dénoncer l’exploitation cynique des morts à des fins de propagande.

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La vérité à l’épreuve de la guerre

La révision discrète mais massive du bilan des morts à Gaza révèle une instrumentalisation politique des victimes. En manipulant les chiffres, le Hamas a non seulement trompé la communauté internationale, mais aussi trahi la mémoire réelle des morts.

Ce scandale souligne plus que jamais l’urgence d’un travail journalistique rigoureux, indépendant, et fondé sur des vérifications factuelles systématiques, surtout dans un contexte de guerre où la vérité est souvent la première victime.