Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a signé une proclamation dont voici un extrait : « Christophe Colomb est une figure singulière de la civilisation occidentale, qui a donné l'exemple du courage, de la prise de risque et de l'héroïsme face à d'énormes difficultés ; un visionnaire qui a vu les possibilités d'exploration au-delà de l'Europe ; et un père fondateur qui a jeté les bases de ce qui deviendra un jour les États-Unis d'Amérique, qui commémoreront Colomb en donnant son nom à son district fédéral ».

Colomb représente et rappelle quelque chose d'autre qui est peu connu et souvent oublié : il était un croisé, un ennemi déclaré du djihad.  Ses expéditions avaient avant tout pour but de contourner les sultanats islamiques qui entouraient et terrorisaient l'Europe, et finalement de se venger d'eux, et pas seulement de trouver des épices.

En 1453, alors que Colomb avait deux ans, les Turcs ont finalement mis à sac Constantinople, un événement lourd d'atrocités qui a bouleversé la chrétienté.

Au cours des années suivantes, les musulmans ont continué à faire des incursions dans les Balkans, laissant dans leur sillage la mort et la destruction, et des millions de Slaves réduits en esclavage.

En 1480, les Turcs ont même réussi à envahir l'Italie, pays natal de Christophe Colomb, où, dans la ville d'Otrante, ils ont décapité rituellement 800 chrétiens - et scié en deux leur archevêque - pour avoir refusé d'embrasser l'islam.

Les monarques espagnols, Ferdinand et Isabelle, prennent Colomb à leur service. Ils financent son ambitieux voyage dans le but de lancer, selon les termes de l'historien Louis Bertrand, "une croisade finale et définitive contre l'Islam en passant par les Indes" (qui, bien entendu, a échoué et s'est soldée par la fondation fortuite du Nouveau Monde).

De nombreux Européens étaient convaincus que si seulement ils pouvaient atteindre les peuples à l'est de l'Islam - qui, s'ils n'étaient pas chrétiens, n'étaient du moins "pas encore infectés par la peste mahométane", pour citer le pape Nicolas V - ils pourraient ensemble écraser l'Islam entre eux.  (source : Raymond Ibrahim, Shillman Fellow at the David Horowitz Freedom Center, and a Distinguished Senior Fellow at the Gatestone Institute)

Les dirigeants juifs n'osent pas dire que pratiquement tous les pays qui connaissent le plus de violence antisémite ont une importante population d'immigrants musulmans. Pourtant il est évident que les musulmans européens sont responsables d'un nombre disproportionné de violences antisémites. Les préjugés antijuifs sont graves chez les migrants musulmans récents en Europe. Mais il n'est pas politiquement correct de le dire.

Vous cherchez à communiquer efficacement sur vos services ?
Communiquez sur Alliancefr.com, le premier magazine juif sur le net 
Plus qu’un magazine, Alliance est une plateforme à destination de la communauté juive francophone concernée par Israël et le monde juif
Son ADN  : offrir  une information dans tous les domaines sur Israël 
Contactez-nouspour découvrir la formule de communication qui vous convient.
tel : 01 70 00 75 75