
Israël ne doit plus douter de sa légitimité
Il y a quelque chose qui me dépasse dans ce pays, notre pays. Israël, où notre sécurité individuelle et collective devrait être une évidence.
Pourtant, nous avons vécu, pour beaucoup dans notre chair, le pire massacre depuis la Shoah. Et que faisons-nous ?
Nous regardons nos otages revenir, libérés au compte-gouttes sous les hurlements de haine d’une peuplade que le monde exige que nous ayons pour voisins à vie.
Nous voyons ces otages meurtris, dans leur corps et dans leur âme, obligés de parader sous l’arme de leurs geôliers.
Et nous, Israéliens, acceptons cette mascarade. Une humiliation, à plus d’un titre.
Humiliation, car elle nous rappelle avec brutalité pourquoi nous sommes ici : survivre. Mais aussi une menace glaçante, car nos ennemis nous disent en clair :
« Nous ne tenons pas qu’un otage entre nos mains, nous tenons le pays tout entier. » Tsahal, l’une des armées les plus puissantes du monde, n’a pas su les arrêter à temps, n’a pas su les éradiquer.
Et ils sont toujours là, nous narguant, pleins de haine, clamant leur message :
la mort est plus forte que la vie.
Nous, gavés des titres faussement indignés des médias internationaux, nous oublions une vérité essentielle : ces barbares ne sont pas des envahisseurs, ils sont sur notre terre. Ni plus, ni moins. Gaza est en Israël. Il n’y a pas de Palestine, sauf dans les fantasmes haineux des antisémites.
Alors, comment se fait-il que ces terroristes, que l’on disait affamés par la guerre, soient toujours debout devant nous ? Que personne n’ose leur tirer une balle dans la tête ? Qu’ils puissent encore dicter leurs conditions ?
Revenons à la Seconde Guerre mondiale : quand les Juifs ont été "libérés" des camps, pas un nazi ne se tenait devant eux sans être abattu, ou au moins menacé. Certains rescapés, pourtant à bout de forces, ont eux-mêmes exercé leur vengeance. Mais aujourd’hui, la mise en scène est toute autre.
Ces nouveaux nazis ne sont pas en fuite. Ils n’ont pas perdu la guerre.
Ils nous tiennent en otage. Tous.
Alors, que faire ? Abandonner nos otages est impensable et pour le Hamas, ils sont une assurance-vie.
Nous ne pouvons pas jouer indéfiniment à ce jeu macabre du chat et de la souris. Nous devons renverser la table.
Les preuves de vie de nos otages et la restitution de leurs corps doivent être un déclencheur. Notre armée doit frapper. Libérer les captifs par la force.
Éradiquer le Hamas sans état d’âme, sans scrupules, sans peur.
Et à ceux qui nous sermonnent sur la morale, à ceux qui nous accusent de génocide, je dis : qu’ont-ils fait pour ces “Palestiniens” qu’ils prétendent défendre ?
Lorsque Donald Trump a proposé que les pays arabes accueillent ces soi-disant « réfugiés », tous ont refusé en bloc.
Hypocrisie monumentale. Israël, à les entendre, devrait disparaître sous prétexte d’un “génocide”, mais aucun pays arabe ne veut de ces “victimes”.
Pourquoi ? Parce que tout le monde sait ce que nous savons : le Hamas et son peuple ne sont pas des victimes, mais les artisans de leur propre malheur.
Alors, arrêtons d’écouter ces nations hypocrites. Nous n’avons plus à justifier notre existence.
Nous devons libérer nos otages par la force et rayer Gaza de la carte.
Expulser ce peuple qui a acclamé le massacre du 7 octobre.
Pourquoi ? Parce que nous avons le droit fondamental de vivre en paix sur notre terre.
Israël ne doit plus être menacé, parce qu’Israël ne doit plus douter de sa légitimité.
Notre faiblesse, c’est d’avoir cru qu’en nourrissant la bête, nous obtiendrions la paix.
Pendant que nous chantions et dansions, ils préparaient notre massacre.
Et si nous n’agissons pas aujourd’hui, dans un an, ce sera la même chose.
La preuve ? Les terroristes libérés ont déjà juré de recommencer.
Nous nous battons contre le vent. Nos “victoires” sont insignifiantes face à leur détermination à nous détruire. Pire encore, nous les avons renforcés dans leur haine.
Ils savent que nous sommes prêts à tout accepter tant qu’ils nous laissent en vie.
Mais que vaut une vie tenue en joue par ces monstres ?
Nous devons mettre un terme à cette absurdité. Il est temps de mettre en application le plan-bluff de Trump. Car sans peuple, plus de Hamas.
Et sans Hamas, Israël vivra. Enfin.
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