Article paru dans "JSS"
Vers 13 h ce dimanche, plusieurs groupes anti-israéliens, dont des groupes qualifiés d’islamistes, s’étaient donnés rendez-vous pour terroriser les passagers à destination d’Israël. C’est tous ceux qui allaient embarquer vers les bureaux d’El Al à Roissy qui ont été agressé.
Ces groupes islamistes identifiés comme Forsane Alizza, lié au terrorisme comme “Cheik Yassine”, ou luttant contre “la présence juive en Palestine” comme
Euro-Palestine, par le site Europe-Israël, sont bien connus des Renseignements Généraux qui enquête depuis longtemps sur les dérives antisémites violentes de ces groupuscules.
Au cri de “A mort les juifs” et “A mort Israël”, une trentaine d’individu a empêché les voyageurs d’embarquer normalement.
La scène aurait duré une quinzaine de minute. Selon les contacts de JSSNews au ministère français de l’intérieur, une dizaine de personne a été interpelé et jugée immédiatement pour trouble à l’ordre public. Dans un premier temps débordé, les CRS ont fait appel à un camion de renfort avant de pouvoir maîtriser entièrement la situation. Aucune autre information n’a été transmise à notre rédaction.
Pour l’heure, seul le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme à notifié l’évènement. Il dénonce et condamne avec la plus grande énergie l’action terroriste commise ce jour 18 septembre 2011 vers 13h par des pros palestiniens qui ont investit le comptoir d’embarquement de la compagnie israélienne d’aviation EL AL à Roissy en vociférant » mort à Israel » en empêchant les passagers d’embarquer. Selon les témoins et les victimes sur place « une horde de sauvages a terrorisé, menacé, et intimidé les passagers.
Nous avons sais le préfet de Seine Saint Denis afin que cesse cette agression discriminatoire et que les responsables soient interpellés et traduits devant la justice pour trouble à l’ordre public, incitation à la haine. LE BNVCA demande à la justice d’être sévère à l’égard de ceux qui boycottent et menacent tout ce qui a un rapport avec Israel contrairement à ce que certains magistrats essaient de faire croire, cela constitue un délit et non une liberté d’expression.
Vos réactions