(Source NRG)
La société Russe KASPERSKY, a communiqué son rapport complet sur les faits d’espionnage des hôtels Européens et comme prévu elle confirme ses accusations contre Israël.
Pour se faire elle se base sur quelques éléments qu’elle pense concrets.
Tout d’abord elle nous informe que les similitudes entre ce virus actuel et l’ancien DUQU sont très nombreuses. Affirmant derechef qu’Israël est le créateur de cet ancien virus DUQU, ce qui n’a jamais été prouvé.
Ensuite, Kaspersky nous dit qu’une maladroite tentative de faire accuser un célèbre hacker chinois appelé « wang dong », leur a permis de mettre à jour un fichier spécifique au virus de 2011.
Deux imparables arguments chronologiques prouvent, d’après eux, l’implication d’Israël.
En effet, ils affirment que les espions, ont « volé moins de dossier, entre vendredi soir et samedi soir" et surtout : « ils ont travaillé le 1er Janvier ».
Pour terminer, ils appuient leur accusation en expliquant que le codage du virus n’a pas été fait pas une personne dont la langue maternelle serait l’anglais, car le concepteur du virus a fait beaucoup de fautes d’orthographes.
Ils concluent leur rapport en disant que :
« Ceux qui croyaient pouvoir pirater des ordinateurs protégés par une société aussi compétente et reconnue que nous, sans se faire prendre, ont échoués ».
Israël nie en bloc toutes ces accusations.
Cependant, La suisse et l’Autriche ont décidé d’enquêter.
En Israël, madame HOTOVELY, du ministère des affaires étrangères, affirmait qu’il n’y a aucune preuve de l’implication Israélienne dans cette cyber attaque.
Cependant pour elle, « Israël a le droit de faire tout son possible pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire » ».
David BRISSET
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