Un hommage vibrant aux Justes et à Anne Frank : la mémoire, un rempart contre l’oubli

Le 27 janvier marque la libération des camps d’Auschwitz, un jour chargé d’émotions et de souvenirs. C’est également un moment crucial pour rendre hommage aux millions de victimes de la Shoah, mais aussi à ceux qui, au péril de leur vie, ont tendu la main pour sauver des innocents.

Jean Goujon, artiste et poète, sublime cette mémoire à travers ses créations.
Ses textes et illustrations vibrent d’une humanité bouleversante, rappelant la nécessité de garder en vie ces récits essentiels.

Jean GOUJON, le poète du débarquement et de la seconde guerre mondiale

 

Juste un mot pour les Justes : des héros de l’ombre

Jean Goujon, dans son œuvre “Juste un mot pour les Justes”, rend hommage à ces hommes et femmes courageux qui, dans les heures les plus sombres, ont refusé la soumission et le silence. Des noms comme Chiune Sugihara, Aristides de Sousa Mendes ou Paul Grüninger résonnent dans ses vers comme des phares d’humanité. Ils ont bravé la terreur nazie, délivré des visas, ouvert des frontières, et offert l’espoir à ceux qui étaient pourchassés.

L’artiste y salue également des figures emblématiques comme Oskar Schindler, dont la liste a sauvé des milliers de vies, ou encore Gábor Sztehlo, protecteur d’enfants dans la Hongrie dévastée.
Ces Justes, à travers leurs actes, nous rappellent que face à la haine, il est toujours possible de choisir l’amour et la justice.

Anne Frank : l’innocence sacrifiée

Dans une autre de ses œuvres, Jean Goujon donne vie à Anne Frank, l’une des voix les plus symboliques de la Shoah.
À travers des mots empreints de douceur et de douleur, il peint le portrait d’une adolescente enfermée dans une cachette , L'annexe, à Amsterdam, rêvant d’amour, de liberté et d’un monde en paix.

Anne Frank, avec son journal, a transcendé son destin tragique pour devenir une gardienne de la mémoire collective. Jean Goujon évoque son sort à Bergen-Belsen, où, malgré l’horreur, sa voix continue de résonner pour des générations entières. « Une petite voix dans la lumière, témoigne pour l’éternité », écrit-il, rappelant que le souvenir d’Anne Frank est un garde-fou contre les barbaries futures.

Les camps et le capitaine : la mémoire en actes

Jean Goujon, toujours avec cette plume empreinte de justesse et d’émotion, nous transporte au cœur de deux récits puissants.
Avec “Les Camps”, il décrit l’arrivée des déportés dans l’enfer des camps de concentration.
Le texte, saisissant, fait ressentir le chaos, la déshumanisation et la perte d’innocence, symbolisée par le regard d’un enfant arraché à sa mère.
Ces mots ne sont pas que des souvenirs, mais des appels à ne jamais détourner les yeux de cette vérité brutale. Les images et les vers rappellent que l’inhumanité qui a marqué cette époque ne doit jamais être oubliée.

 

Dans “Ô Capitaine, mon Capitaine”, Jean Goujon rend hommage à Gustav Schröder, le capitaine du paquebot Saint Louis.
Malgré les lois nazies, cet homme de courage et de conviction a tenté de sauver des centaines de Juifs en quête de refuge.
L’odyssée tragique du Saint Louis, rejeté par de nombreux ports, reste une page poignante de l’histoire. Schröder incarne la résistance morale face à l’absurdité des persécutions, et ses passagers, bien que temporairement épargnés, portent en eux l’écho des ombres des camps.

Ces récits, magnifiés par l’art de Jean Goujon, viennent enrichir ce devoir de mémoire. Ils rappellent que derrière les statistiques glaçantes se cachent des visages, des histoires, et des actes de courage qui éclairent l’obscurité. Le message est clair : honorer les héros et ne jamais oublier les victimes pour construire un avenir où ces horreurs ne se répètent plus.

Un artiste engagé pour la mémoire

Jean Goujon ne se contente pas d’évoquer les tragédies. Il magnifie les figures héroïques et les âmes brisées pour en faire des symboles de résistance et d’espoir. Son art poétique nous interpelle, nous questionne, et surtout, nous invite à ne jamais oublier. À travers ses créations, il relie le passé au présent, nous incitant à préserver cette mémoire si précieuse.

En cette journée du 27 janvier, son œuvre résonne comme un cri du cœur, une ode à l’humanité et un appel à l’action pour transmettre l’histoire, encore et encore.
Rendre hommage aux Justes et aux victimes, c’est perpétuer leur flamme et refuser l’effacement de leur lutte.

Le devoir de mémoire : une responsabilité collective

Se souvenir des victimes, des Justes, et des témoins comme Anne Frank, c’est reconnaître les horreurs du passé pour mieux protéger l’avenir. En ce jour de commémoration, grâce au talent et à l’engagement de Jean Goujon, l’histoire reprend vie avec une intensité poignante.
À travers ses œuvres, il nous rappelle que chacun peut, à sa manière, être un gardien de la mémoire.

Jean Goujon, par ses mots et ses illustrations, nous montre que la mémoire est une arme puissante contre l’oubli. Puisse son message inspirer le monde entier à ne jamais détourner les yeux de ces vérités nécessaires.

Son site les chemins de la liberté 

Les Chemins de la Liberté

 

Contacter Jean Goujon par mail : cheminsdelaliberte@online.fr