Si vous voulez savoir à quel point la révolution juridique frappe l'économie israélienne, les banques étrangères n'attendent pas que la cote de crédit d'Israël soit abaissée ou quoi que ce soit d'autre d'officiel, mais commencent à agir comme si la côte avait déjà été abaissée.

De hauts responsables du marché des capitaux ont déclaré aujourd'hui que les banques étrangères réduisaient considérablement le crédit aux israéliens et lorsqu'elles étaient prêtes à prêter de l'argent, elles appliquaient des taux d'intérêt très élevés.

En effet, lorsqu'un investisseur institutionnel est intéressé par un investissement rapide, principalement à l'étranger, il apporte des fonds propres à l'opération et la complète par un financement étranger.

Le financement étranger provient du système bancaire israélien ou étranger.
En principe, les banques israéliennes traitent avec les banques israéliennes pour ces transactions, qui sont généralement des transactions à court terme à un taux d'intérêt intéressant, mais les banques israéliennes se limitent dans le cadre de ce type de transactions, ce qui ouvre la porte aux banques étrangères à « jouer » avec les institutions israéliennes.