
Rima Hassan, entre hébreu, drague de soldats israéliens et apologie du Hamas : la double vie d’une élue en chute libre
L’enquête de la journaliste Nora Bussigny révèle une personnalité profondément instable, tiraillée entre un passé de fascination pour Israël et une radicalisation islamiste glaçante.
Le cas Rima Hassan, eurodéputée LFI, expose les dérives d’une militante dont les contradictions confinent au trouble psychiatrique.
Un amour juif… et des vœux de Kippour à la belle-famille
Avant de devenir la porte-parole d’une haine militante contre Israël, Rima Hassan a vécu plusieurs années une histoire d’amour avec un homme juif. Une relation sincère à en croire les messages affectueux qu’elle envoyait à sa belle-famille pour souhaiter les fêtes juives, avec une attention toute particulière aux traditions d’une culture qu’elle semblait vouloir adopter. Elle prend même des cours d’hébreu, preuve d’un désir d’intégration dans un monde qu’elle déclarera plus tard honnir.
Cette phase de sa vie, soigneusement dissimulée dans ses prises de parole publiques, démontre une contradiction radicale entre ses engagements actuels et son passé personnel, ce qui pose une question essentielle : que s’est-il passé pour qu’une femme aussi ouverte se transforme en apologiste du Hamas ?
Flirt appuyé avec Tsahal et mystérieux paquets à l’aéroport
Selon l’enquête de Nora Bussigny Rima Hassan cherche à séduire d’autres hommes juifs après sa rupture. Plus troublant encore : elle tente de nouer des contacts avec des soldats de Tsahal via les réseaux sociaux, multipliant les messages de séduction. L’ancienne étudiante en droit se rend même en Israël pour rencontrer ces militaires et, de manière inexpliquée, laisse des « petits paquets » à leur attention dans des aéroports.
S’agit-il de lettres ? de cadeaux ? de provocations ? L’intention n’a jamais été clarifiée, mais l’incongruité du geste révèle une relation profondément ambivalente, presque obsessionnelle, avec Israël et son armée.
De l’hébreu au néonazisme numérique
La même femme qui apprenait l’hébreu pour se rapprocher de la culture juive anime en parallèle un compte Facebook au nom glaçant : “Rima Hassan 88”.
Or, le 88 est un code utilisé par les néonazis, en référence à Heil Hitler (les deux “H” correspondant à la huitième lettre de l’alphabet).
Si certains pro-palestiniens radicaux y voient un clin d’œil à l’année 1988, date de la déclaration d’indépendance de la Palestine par Yasser Arafat, le double sens est trop connu pour être innocent. À cela s’ajoute la republication de contenus d’Alain Soral, antisémite patenté, qui confirme le glissement dangereux vers l’extrémisme antisémite.
Une élue européenne aux propos délirants
Quelques semaines avant les massacres du 7 octobre, Rima Hassan assurait ne jamais vouloir “essentialiser les Israéliens” ni appeler à “la destruction d’Israël”. Mais le jour même du pogrom, elle invective François Ruffin, déclare que “croire à la solution à deux États, c’est se mentir à soi-même”, et attaque Europe Écologie-Les Verts pour avoir osé condamner les massacres : “Les Palestiniens aussi ont le droit de vivre en sécurité”.
Un renversement cynique, pernicieux, qui valide de fait l’attaque terroriste du Hamas comme une action légitime.
Pire encore, elle relaie une fake news morbide sur Shani Louk, la jeune Israélo-Allemande exhibée démembrée dans Gaza, affirmant qu’elle est toujours en vie, en dépit des preuves. La désinformation devient une arme. La parole publique, un poison.
“Le Hamas a raison” : Rima Hassan choisit son camp
La métamorphose est achevée. Dans une interview accordée à Thinkerview, Rima Hassan déclare froidement :
« La position du Hamas historiquement, c’est de dire qu’Israël n’a pas vocation à exister. […] Il a raison. »
Et lorsqu’elle tweete : « En dehors de la pensée hégémonique occidentale, personne ne rattache le 7 octobre à du terrorisme », elle rejoint sans complexe le discours de l’organisation islamiste la plus brutale de notre époque.
Une instabilité qui fait trembler l’institution européenne
Les zones d’ombre s’accumulent. Ses mystérieux voyages au Moyen-Orient, dans des hôtels de luxe, ses liens flous avec des puissances étrangères, et la carrière étrange de son père, partagé entre l’armée syrienne et l’armement iranien, viennent s’ajouter à ce portrait d’une élue rongée par les contradictions, les mensonges et les alliances douteuses.
Qui finance Rima Hassan ? Pour qui travaille-t-elle vraiment ? Et surtout, comment une femme ayant affiché autant de proximité avec Israël peut-elle aujourd’hui justifier sa destruction ?
Le cas psychiatrique Rima Hassan
Ce qui frappe, au-delà de la trahison politique, c’est l’effondrement de la cohérence mentale. On ne parle plus d’opinion, mais de trouble profond.
Une femme capable de draguer des soldats israéliens tout en défendant leur assassinat.
Une femme qui souhaite Kippour à ses ex-beaux-parents, avant d’applaudir les pogroms. Une femme qui parle hébreu dans la journée, et tweete “Heil Hitler” dans la nuit.
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