Claudine Douillet

Claudine Douillet parisienne et juive de naissance de parents profondément sionistes (un père sur l’Altaléna ça laisse des traces).

Fondatrice du premier magazine Juif sur le net, Alliance, en 1997, avant Google !
220 000 lecteurs uniques par mois à son actif.

En 1999 création Alliance-Hosting LLC , une "Web Agency » conceptrice de sites internet pour les entreprises et leur migration sur le net. Formation d’internet pour chefs d’entreprise.

Alliance-Hosting LLC a permis grâce ses moyens techniques la retransmission en directe des 4 radios juives de France 94.8 FM sur le net ,dés 2000, pendant 12 ans.

Experte en communication digitale avec Alliancefr.com, et radiophonique avec "Internet sans prise de tête" sur judaïques FM 94.8 depuis 2000, ma passion est née de la découverte, dés 1996, du plus important moyen de communication avec le monde, internet.

Mon expérience est le résultat de 22 années au service des entreprises désireuses de migrer sur le net et des médias.

Rendre réel ce monde virtuel c’est l’alliance du savoir faire et du faire savoir.

Les articles de Claudine Douillet

Un vol Paris-Tel Aviv atterrit après une alerte à la bombe

JERUSALEM ,le 24/09/08 - Un avion d'El Al assurant un vol Paris-Tel Aviv a atterri sans encombre après une alerte à la bombe selon laquelle al Qaïda pourrait avoir dissimulé une bombe à bord, apprend-on auprès des services israéliens de sécurité.

Tous les passagers ont quitté le Boeing 767 à l'aéroport Ben-Gourion et une fouille de l'appareil a été entreprise.

Selon la chaîne de télévision israélienne Channel Two, l'avion, qui a survolé la Grèce avant d'atteindre Tel Aviv, a été escorté par des appareils des forces aériennes françaises, grecques et israéliennes à la suite de l'alerte à la bombe.

McCartney arrive en Israël et provoque un tourbillon de Beatlemania

beatlemania.jpgJERUSALEM ,le 25/09/08 - Sa photo est partout, dans toutes les poses, brandissant sa célèbre guitare Rickenbacker, le sourire toujours adolescent, alors que les radios déversent ses tubes: Sir Paul a conquis Israël.

McCartney, 66 ans, accompagné d'une cour d'une centaine de personnes, dont 30 musiciens, a non seulement pris d'assaut un des hôtels chics du bord de mer à Tel Aviv, mais tout le pays qui vit depuis plusieurs jours au rythme de ses mélodies.

La star, dont c'est la première visite en Israël, se produira jeudi soir dans un parc de Tel Aviv.

Rarement, en Israël, terre de controverses et de polémiques, une personnalité étrangère aura fait une telle unanimité autour d'elle.

Des ministres, des députés, toutes tendances confondues, des hommes d'affaires, figureront parmi les quelque 50.000 fans attendus au Hayarkon Park, au coeur de Tel Aviv, pour l'écouter.

Pour 1.000 euros, ces VIP auront le privilège d'approcher Sir Paul à ... une trentaine de mètres.

Les autres, qui n'ont payé que dix fois moins, s'entasseront sur la pelouse pour profiter des enchaînements d'accords du plus célèbre des musiciens gauchers.

Aux journalistes et fans venus l'accueillir, le pape de la pop a affirmé vouloir apporter "un message de paix et d'amour".

"Cela va être un concert historique", s'enthousiasme Benny Dudkevitch, un journaliste à la radio publique, un spécialiste des Beatles.

"En Israël, il y a eu Elton John, Madonna ou Eric Clapton. Mais McCartney, c'est autre chose, une légende vivante", ajoute-il.

Des commentateurs prévoient même quelques évanouissements de jeunes filles pendant le concert, mais très probablement moins que lors du passage des Fab Four à l'Holywood Bowl, en août 1964.

Fan absolu, le très viril Yonathan Zerbib, ne parvient pas à maîtriser son émotion. "Pas question que je n'y sois pas. Ce concert va être l'un des plus grands moments de ma vie", assure ce quinquagénaire chômeur qui affirme écouter au moins une fois par jour "Abbey Road".

Tous les journaux ont consacré plusieurs pages à l'ex-Beatles, faisant état de son "message de paix" ou laissant entendre, avec humour qu'il pourrait s'adresser au public israélien par un retentissant "Hey Jews", sur l'air langoureux de "Hey Jude".

Toutes les radios, publique et militaire, ont consacré des émissions entières à l'ex-Beatles, relatant avec force détails les péripéties de l'annulation du concert prévu des Fab Four en 1965.

A l'époque, les autorités israéliennes considéraient le groupe avec méfiance et craignaient un message dévoyé susceptible d'effets négatifs sur la jeunesse israélienne.

Seul point noir au concert de jeudi soir à Tel Aviv: les menaces de quelques islamistes contestant la venue de la star en Israël.

Jouer en Israël à l'occasion des 60 ans de son indépendance plonge l'ex-Beatles, qui a donné en 2000 un concert retransmis dans l'espace, au coeur d'une planète qu'il n'avait encore jamais explorée: le Proche-Orient et son conflit centenaire.

"La presse a fait état de menaces de mort à son encontre et ses enfants lui ont demandé de ne pas venir en Israël. Mais, il répète qu'il vient livrer un message de paix", explique Dudkevitch.

A quoi McCartney réplique, sur son site internet : "La musique, c'est bon pour l'âme des gens. Sans musique, le monde serait épouvantable, nous aurions plus de problèmes. La musique peut aider les gens à se calmer".

"Je cite toujours une chanson de John (Lennon)", ajoute-t-il, "Give Peace a Chance".

L'histoire des oeuvres volées par les nazis

objetsvoles.jpgArticle paru dans "Le Monde", le 25/09/08

Le Musée juif de Berlin retrace l'histoire d'oeuvres appartenant à des juifs et accaparées par les nazis

De la spoliation à la restitution, il retrace pour la première fois l'histoire complexe de milliers d'oeuvres, à travers 15 cas concrets.

L'exposition "Pillage et restitution, les biens culturels issus de collections juives de 1933 à nos jours" met en lumière la politique de pillage systématique et tente de raconter le destin des oeuvres après 1945.

Avec de nombreux documents et photos d'époque, l'exposition raconte les victimes et les nombreux profiteurs de ce vol d'Etat, mais s'intéresse également aux efforts consentis par les Alliés après la guerre pour recenser les biens pillés, puis pour retrouver leurs propriétaires ou  héritiers.

Les panneaux explicatifs, installés sur des caisses en bois brut évoquant les emballages utilisés pendant la guerre pour déménager discrètement les oeuvres d'art, soulignent l'extrême diversité des situations.

Parmi les pièces maîtresses de l'exposition figure "Garçon devant deux filles debout et une assise", une toile du peintre expressionniste allemand Otto Mueller. Confisquée en 1935 par la Gestapo lors d'une vente aux enchères organisée par la famille du collectionneur juif allemand Ismar Littmann, elle est exposée deux ans plus tard à Munich en tant qu'oeuvre "dégénérée", puis vendue. Le tableau avait été acheté de bonne foi par une fondation qui l'exposait dans un petit musée allemand. Les héritiers d'Ismar Littmann ne sont parvenus à faire valoir leurs droits et à obtenir une indemnisation qu'à la fin des années 1990.

"Notre but n'était pas de prendre parti, souligne le directeur du Musée juif de Berlin, l'Américano-Allemand W.Michael Blumenthal. Nous avons voulu nous en tenir aux faits, tenter de présenter avec objectivité l'Histoire et la situation  actuelle", ajoute M. Blumenthal.

Il est impossible de chiffrer précisément la quantité d'oeuvres d'art qui pourraient encore à l'avenir faire l'objet d'une contestation en  raison d'un éventuel passé mouvementé sous le nazisme, estime Inka Bertz, l'une des commissaires de l'exposition berlinoise.

Le fait est que, ces dernières années, les cas de contentieux  juridiques se sont multipliés. Ainsi en 2006, une toile de l'expressionniste allemand Ernst Ludwig Kirchner, qui pendant des années avait été le fleuron d'un  petit musée berlinois, a finalement été restituée aux héritiers de son ancien  propriétaire juif. Ils en ont obtenu 38 millions de dollars aux enchères à New York.

L'affaire avait défrayé la chronique, certains acteurs du milieu culturel allemand accusant les maisons d'enchères d'être à l'origine de ces procédures judiciaires, dans le but selon eux d'empocher de juteuses commissions en cas de succès.

Face à la complexité du problème, les auteurs de l'exposition berlinoise se gardent de trancher. En guise d'épilogue, ils proposent au visiteur de prendre part à un jeu de rôle multimédia, où il peut se mettre à la place, au choix, de l'héritier spolié ou du directeur de musée confronté à une réclamation. "A leur place, que décideriez-vous?" interrogent les auteurs du jeu.

Le site du Musée juif de Berlin
Jusqu'au 25 janvier

Un rabbin pour la première fois au synode des évêques catholiques

CITE DU VATICAN,le 25/09/08, Le grand rabbin de Haïfa, Shear-Yashuv Cohen - s'exprimera pour la première fois de l'histoire lors du synode des évêques catholiques qui entamera ses travaux au Vatican le 5 octobre prochain, rapporte mercredi le service de presse du Saint-Siège.

Le rabbin arrivera au Vatican à l'invitation du pape Benoît XVI et interviendra devant les évêques le lendemain de l'ouverture du synode, en présentant un rapport intitulé "La place centrale de l'écriture juive dans la tradition juive".

Shear-Yashuv Cohen a beaucoup apprécié l'invitation du souverain pontife.

Pourtant, a-t-il indiqué, certains rabbins estiment que le dialogue interreligieux n'est qu'un moyen de "persuader les Juifs de se convertir au christianisme".

"C'est justement la raison pour laquelle certains leaders juifs se sont opposés à mon intervention lors du synode. Certains craignent qu'incapables de nous y amener par la force, les chrétiens ne le fassent par la parole", a dit le rabbin.

"S'ils ont raison, je suis en train de commettre une erreur, mais je ne pense pas qu'il en soit ainsi", a conclu Shear-Yashuv Cohen.

Représentations sur sentence d’un des accusés

Les représentations sur sentence de Azim Ibragimov, un des deux accusés pour l'incendie criminel d'une école juive en 2006 dans le quartier Outremont, se déroulent aujourd’hui au palais de justice de Montréal.

Cet événement avait secoué la communauté juive montréalaise.

Le 2 septembre 2006, un cocktail Molotov a été lancé dans l'entrée principale d’une école primaire juive. Des écrits haineux ont aussi été laissés sur place.

Une caméra de surveillance a capté la scène.

Puis, en avril 2007, le centre communautaire juif dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges a aussi été la cible d'incendiaire.

Quelques jours après cet incendie, les policiers ont arrêté les deux suspects.

Azim Ibragimov, 25 ans, est décrit comme l'exécutant de Omar Bulfred, l'autre accusé dans ce dossier, qui devrait subir son procès en octobre.

Stardust Elements : Le radio-réveil bling bling

Stardust-Elements-Cubo.jpgQui a dis que le radio réveil était un cadeau banal et peu original ?

Le
radio-réveil Cubo Elements de Sonoro Audio cristallisé et tranformé par
"Bling my Thing" (une société qui s'occupe de relooker des objets en
version bling bling) devient le Stardust Elements.

cubo.jpg

 

La customisation composée de 3900 cristaux Swarovski est
particulièrement réussie.Conservant la finition noire glossy du Cubo,
les côtés et le dessus se couvrent de cristaux noirs sur lesquels se
dessinent les volutes d'un motif floral discret.

Une touche de raffinement pour un bling bling qui sait rester soft. Prix n.c.

Source: high-tech tendance

Give Peace A Chance : Paul McCartney met le feu à Tel Aviv

PAUL.jpgTEL AVIV ,le 26/09/08 - La voix est la même, les accords de guitare sont plaqués avec la même précision, les arrangements légendaires tout aussi impeccables et l'enthousiasme est intact. Sous la baguette magique de Sir Paul, Tel Aviv ressemblait jeudi soir à l'Hollywood Bowl.

La star a commencé en s'adressant à la foule avec un chaleureux "Shalom Tel Aviv".

"Chana Tova. Ramadan Karim" a lancé Paul McCartney à ses fans, souhaitant en hébreu et en arabe une bonne année aux juifs et un bon ramadan aux musulmans avec un sourire malicieux.

Dans le même esprit, il a entonné le célèbre +Give peace a chance+ (donner une chance à la paix)PAUL5.jpg de John Lennon, ajoutant "make peace, make peace" (faites la paix, faites la paix).

"Magical Mystery Tour" ... l'illusion a été parfaite : mêmes les fantômes de George Harrison et de John Lennon, sans oublier la rythmique de bûcheron de Ringo Starr, étaient sur la scène du Parc Hayarkon pour écouter McCartney, éternel jeune homme de 66 ans.

Et sur la pelouse, entourés d'un cordon de sécurité de plusieurs milliers de policiers, quelque 50.000 fans en folie applaudissent la star dont c'était la première visite en Israël. L'artiste les a encouragés, à plusieurs reprises, à chanter en utilisant quelques mots d'hébreu.

Toutes les générations étaient présentes, jeunes et moins jeunes. "J'ai grandi avec les Beatles. J'ai l'impression de voir quelqu'un de ma famille", confie Yanor May, 38 ans, arrivé la veille de Haïfa (nord d'Israël).

Leora Fried, 58 ans, a du mal à retenir ses larmes. "Il est tellement beau, tellement mince. Je rêvais de ce concert depuis si longtemps. Heureusement que les terroristes ne lui ont pas fait peur", dit-elle en référence aux menaces subies par l'artiste.

Début septembre, un extrémiste musulman libanais, Omar Bakri Mouhammad, cité par le Sunday Express britannique, avait affirmé que McCartney "ne (serait) pas en sécurité" s'il se rendait en Israël.

"Des combattants prêts à sacrifier leur vie l'attendront", avait-il ajouté.

Plusieurs organisations pro-palestiniennes avaient également appelé la star à boycotter Israël en raison de la répression des Palestiniens.

Mercredi, l'artiste qui s'était rendu à la basilique de la Nativité à Bethléem, en Cisjordanie, avait déclaré à des journalistes : "Je suis venu dans ce lieu pour dire que nous avons besoin de paix dans cette région et de deux Etats. J'apporte un message de paix et je pense que c'est ce dont la région a besoin."

Tous les journaux étaient de la fête jeudi. Le Yediot Aharonot, le plus gros tirage d'Israël, titrait en Une et en anglais "All You Need Is Love", avec une photo de McCartney à la guitare, durant la répétition générale à Tel Aviv.

"L'insistance de McCartney à vouloir se produire en Israël, en dépit des appels d'organisations politiques et des menaces pour sa vie proférées par des éléments radicaux islamiques, est digne d'admiration", estime Ron Prosor, l'ambassadeur d'Israël à Londres, dans un éditorial publié par le Maariv sous le titre "Let it Be".

Ce concert, écrit encore l'ambassadeur qui s'était rendu en janvier à Liverpool pour remettre à Paul McCartney une invitation au 60e anniversaire d'Israël, est "un succès diplomatique".

Près de 50.000 billets ont été vendus pour des sommes variant de 100 à 1000 euros. Les places les plus chères ont été écoulées en quelques jours, ministres, députés et hommes d'affaires se les arrachant.

McCartney, accompagné d'une cour d'une centaine de personnes, dont 30 musiciens, avait pris d'assaut dès mardi les 21 suites d'un hôtel prestigieux du bord de mer à Tel Aviv.

Nouvelles caricatures de l'holocauste

Le 26/09/08, des étudiants islamistes iraniens ont présenté aujourd'hui un nouveau livre de caricatures sur l'holocauste des juifs, à l'occasion de la journée de Jérusalem marquée par une manifestation de dizaines de milliers de personnes rassemblées à Téhéran en soutien aux Palestiniens.

Le ministre de l'Education, Alireza Ahmadi, a assisté à la présentation sur une place de la capitale d'un recueil de caricatures, intitulé Holocauste.

Tiré à 7.000 exemplaires, il a été réalisé par les étudiants du bassidj (milice islamique) de l'Université Elm-o Sanat, dont est issu le président Mahmoud Ahmadinejad.

L'ouvrage porte en couverture la caricature d'un juif au nez crochu, à papillotes et chapeau noir, qui dessine à la craie sur le sol un grand nombre de silhouettes de morts.

Un film amateur montrant Marilyn Monroe vendu 10.000 euros

SYDNEY , le 26/09/08 - Une brève vidéo amateur montrant Marilyn Monroe sur le tournage de "Certains l'aiment chaud" a été vendue aux enchères pour 17.500 dollars australiens (10.000 euros).

Ce document, qui dure deux minutes et demi, montre l'actrice en compagnie de Tony Curtis et du réalisateur Billy Wilder. Il a été acquis par un acheteur australien anonyme lors de la vente, qui se déroulait à Melbourne, a indiqué à Reuters le commissaire-priseur, Charles Leski.

Ce dernier avait initialement estimé le document entre 20.000 et 30.000 dollars australiens.

L'enregistrement, au format 8mm, a été effectué en 1959 par un officier de la marine américaine, que Marilyn Monroe avait invité sur le plateau de "Certains l'aiment chaud" lors d'une visite de la base navale de San Diego, en Californie.

L'officier avait donné la bande à sa fille, installée à Melbourne, qui l'a mise en vente à la mort de son père. En plus du document d'origine, l'acheteur acquiert une copie CD, une copie DVD, ainsi que les droits d'exploitation commerciale.

Un restaurant de Londres propose le menu à 6.000 calories

LONDRES ,le 26/09/08- Un restaurant du centre de Londres propose un menu à 6.000 calories, soit trois fois l'apport quotidien nécessaire à une femme adulte, ingurgité il y a un siècle par les membres de l'expédition de Sir Ernest Shackleton qui échoua dans sa conquête du pôle Sud.

Le "Green door bar and grill", situé au coeur du quartier des affaires de la City à Londres, a inscrit sur sa carte un repas équivalant à la consommation journalière de l'expédition Nimrod de l'explorateur. Celle-ci avait dû renoncer à être la première à atteindre le pôle sud à seulement 160 km de l'objectif à cause du blizzard et de rations alimentaires insuffisantes.

Une nouvelle expédition, comprenant plusieurs descendants de Shackleton et de son équipe, doit prendre le départ fin octobre pour tenter de réussir là où l'illustre explorateur a échoué.

"J'ai toujours été une grande fan de Shackleton et lorsque j'ai entendu parler de cette expédition, j'ai pensé que ce serait une bonne façon d'être impliquée", a expliqué Alexa Reid, directrice générale du "Green door", qui reversera 10 livres (12,60 euros) par repas à la Fondation Shackleton.

Pour jouer les "Gargantuas", il faudra débourser 75 livres (94,77 euros) pour quatre plats, boissons comprises.

Au menu: morceaux de lard grillés agrémentés d'une sauce aigre-douce arrosés de bière (1.292 calories) pour l'apéritif. En entrée, le menu prévoit du "hoosh", ragoût mitonné par Shackleton avec du pingouin -- remplacé à Londres par de l'oie --, du corned beef, des flocons d'avoine, des pommes de terre, et une bière (1.292 calories).

Le plat principal (2.150 calories) est composé de 570 grammes de boeuf, de gratin de chou-fleur, de champignons et épinards à la crème, de frites, de vin rouge et d'une boisson pétillante sucrée.

Pour finir, le dessert est composé d'un fondant au chocolat avec deux boules de glace à la vanille accompagné d'une boisson glacée au parfum vanille/noix de coco (1.500 calories).