Claudine Douillet

Claudine Douillet parisienne et juive de naissance de parents profondément sionistes (un père sur l’Altaléna ça laisse des traces).

Fondatrice du premier magazine Juif sur le net, Alliance, en 1997, avant Google !
220 000 lecteurs uniques par mois à son actif.

En 1999 création Alliance-Hosting LLC , une "Web Agency » conceptrice de sites internet pour les entreprises et leur migration sur le net. Formation d’internet pour chefs d’entreprise.

Alliance-Hosting LLC a permis grâce ses moyens techniques la retransmission en directe des 4 radios juives de France 94.8 FM sur le net ,dés 2000, pendant 12 ans.

Experte en communication digitale avec Alliancefr.com, et radiophonique avec "Internet sans prise de tête" sur judaïques FM 94.8 depuis 2000, ma passion est née de la découverte, dés 1996, du plus important moyen de communication avec le monde, internet.

Mon expérience est le résultat de 22 années au service des entreprises désireuses de migrer sur le net et des médias.

Rendre réel ce monde virtuel c’est l’alliance du savoir faire et du faire savoir.

Les articles de Claudine Douillet

Un Bouddha de 19 mètres découvert près de Bamiyan

KABOUL,le 08/09/08 - Des archéologues ont découvert une statue de Bouddha longue de 19 mètres dans le centre de l'Afghanistan, près des ruines des deux Bouddhas de Bamiyan détruits il y a sept ans par les taliban.

"Au total, 89 vestiges, des pièces, des céramiques et une statue de 19 mètres ont été mis au jour", a déclaré lundi Mohammad Zia Afshar, conseiller au ministère de la Culture.

Le Bouddha, en position allongée, est gravement endommagé. Les autres vestiges remontent à l'empire antique de la Bactriane, qui se situait aux confins de l'Afghanistan, de l'Ouzbékistan et du Tadjikistan, et aux civilisations musulmane et bouddhiste ultérieures.

L'équipe d'archéologues est toujours à la recherche dans la région d'un Bouddha immense de 300 mètres évoqué par un pèlerin chinois il y a plusieurs siècles, a précisé Afshar.

Située sur l'ancienne Route de la Soie, la ville de Bamiyan fut autrefois un centre bouddhiste actif.

Malgré les appels de la communauté internationale, les taliban firent exploser en 2001 deux Bouddhas géants gravés dans la roche, jugeant qu'ils offensaient l'islam.

Depuis le renversement la même année du régime radical islamiste, des travaux de restauration des deux statues géantes ont débuté. On estime qu'il faudra une décennie pour les reconstituer.

I have a dream

Ahmadinejad (président iranien) appelle Bush et lui dit : « Président Bush, je vous appelle parce que j'ai eu un rêve. »

Bush : Qu'avez-vous rêvé , Ahmadinejad ?

Ahmadinejad : J'ai rêvé que les Etats-Unis étaient reconstruits et sur le toit de chaque maison il y avait un drapeau.

Bush : Qu'est-ce qui était écrit sur le drapeau ?

Ahmadinejad :  Allah est grand, Allah est grand ! ! !

Bush :  Vous savez Ahmadinejad, j'ai aussi fait un rêve étrange. Dans mon rêve, Téhéran a été reconstruit et sur le toit de chaque bâtiment il y avait aussi un drapeau.

Ahmadinejad : Qu'est-ce qui était sur les drapeaux ?

Bush :  Je ne sais pas, je ne sais pas lire l'hébreu !!!

Monique Ayoun : Viens !

viens.jpgMonique Ayoun, Viens ! éditions Hugo&Cie ,cliquer ici pour commander

Interview de l'auteur par Paula Haddad

Carole,
ne parvenant pas à tomber enceinte de son mari, décide de prendre un
amant pour s'acquitter de la tâche. Mais rien ne se passe comme prévu :
l'amant s'installe, le mari s'incruste… et le bébé ne montre pas le
bout de son nez !...

Fable grinçante à l'adresse de toutes celles que l'horloge biologique a
déboussolé… et de tous ceux qui en ont fait les frais, Viens ! est
aussi un roman coup de poing sur ce sujet encore très tabou qu'est le
choix conscient ou non de ne pas être mère…
Et sur l'énorme pression sociale, familiale et médicale qui pèse sur les femmes qui approchent de la dead line des 40 ans .

Monique Ayoun, réconcilie dans ce roman, deux thèmes habituellement antagonistes dans l'imaginaire collectif : celui du désir d'enfant et du désir tout court .
Racontée sur le mode burlesque, la névrose familiale se marie ici à l'érotisme le plus brûlant .Ce roman singulier, soulève des questions de société auxquelles les femmes contemporaines sont confrontées, mais lève un tabou sur la manière de les aborder.

 

 

Monique Ayoun, Mère à tout prix ?

monique_ayoun_portrait2.jpgPour découvrir son livre

Doit-on forcément devenir mère pour être soi ? C’est la question que pose la journaliste et romancière Monique Ayoun dans son roman Viens ! Carole, son héroïne, affronte seule un père riche et intrusif qui la veut enceinte avant la dead-line fatidique des quarante ans. Du coup, elle se débat avec un mari indifférent, doté de spermatozoïdes « paresseux » et un amant voluptueux. Quand l’ovulation reste sourde à la pression familiale, l’enfant ne vient pas…

Viens ! aborde un sujet de société encore tabou, le choix conscient ou pas de ne pas être mère. Qu’est-ce qui vous a inspiré ce roman ?

Beaucoup de choses autobiographiques dont la place du père dans la famille. Depuis des années, j’écris pour tenter de dénouer mes propres nœuds. Je n’ai pas d’enfant et comme mon héroïne, je n’aurais jamais osé penser qu’on avait le choix à ce sujet ! A cause d’une autocensure, je ne m’autorisais pas à penser que ce n’était pas mon désir. Il était évident qu’avec l’éducation que j’ai reçue, je devais avoir des enfants (au pluriel !). Et puis mon inconscient s’est révolté. Ce livre m’a aidé à comprendre pourquoi je n’avais pas fait d’enfant.

Peut-on aujourd’hui être une femme sans enfant et ne pas être jugée ?
Il y a encore du chemin. On se retrouve confronté à de la pitié, du mépris ou tout simplement un refus de comprendre ce choix de ne pas faire d’enfant. Au fond, on est obligés de dire qu’on n’a pas pu le faire, ce que fait d’ailleurs mon héroïne pour ne pas se sentir coupable.

Le père de Carole l’infantilise en l’entretenant financièrement. C’est d’abord lui qui souhaite cet enfant. Il veut même lui donner son nom. A-t-elle ainsi l’impression d’un inceste ?

Quand la pression paternelle est forte, que l’enfant est attendu, on ne le donne pas parce qu’il pourrait y avoir un sentiment incestueux. C’est très inconscient. Quand elle est à l’hôpital pour faire une fécondation in vitro, elle est encouragée par les médecins…et par son père !

Votre héroïne tente donc la fécondation in vitro (FIV) avec son mari. Une question décrite avec réalisme. Avez-vous rencontré des femmes qui ont vécu cette expérience ?

Oui. Dans le cadre de mon travail journalistique, j’ai vu énormément de femmes souffrir. Ces techniques de procréation médicale assistées sont dangereuses pour le couple. On ne le dit pas assez. J’en parlais avec Geneviève Delaisi, psychanalyste, et spécialiste de bioéthique. Quand un médecin vous dit comme dans le roman : « Les spermatozoïdes de votre mari sont paresseux, ils ne s’approchent pas de l’ovule », une femme le prend comme « mon mari ne veut pas de moi ! » Ca crée des conflits dans le couple dans la mesure où il y a une sorte d’identification. La parole médicale peut avoir un véritable impact. De plus, on ne parle que des cas de réussites, mais les trois quart des personnes qui font des FIV ressortent sans enfant.

Carole a des origines juives. Et son père incarne la loi juive. Les femmes juives sont-elles toujours plus soumises que d’autres à la pression familiale pour être mère ?
Effectivement, il n’y a qu’un père ou une mère juive pour faire peser cette pression ! Nous sommes une minorité et le devoir de procréation et de transmission est vraiment prioritaire.

De plus en plus de femmes juives militent pour le droit des femmes dans le judaïsme, notamment pour l’obtention du guet dans un divorce*. Que vous inspire ce débat ?

Je crois qu’il y a encore beaucoup de progrès à faire en France. Et cette histoire de guet me semble être du Moyen-âge ! Il y a encore un certain nombre de choses rétrogrades, comme les hommes et femmes séparés dans une synagogue, l’étude de la Torah réservée aux hommes… Je dois dire que si cela évoluait, cela me réconcilierait personnellement avec mon judaïsme. 

A la fin du roman, Carole connait l’épanouissement sans enfant. A quarante ans passés, elle se sent « enfin libre». Doit-on forcément devenir mère pour atteindre le bonheur ?

Non ! Néanmoins, cette pression de l’horloge biologique demeure forte. J’ai connu des femmes qui quittaient l’amour de leur vie pour faire un enfant parce que leur compagnon n’était pas prêt. Est-ce qu’il faut sacrifier sa vie à l’autel de la maternité ? Je ne le pense pas.

Propos recueillis par Paula Haddad

Monique Ayoun, Viens ! éditions Hugo&Cie

* Le guide du divorce religieux (« guet ») en France (Wizo France)

Une Libanaise découvre 26 perles dans une huître

TYR,le 09/09/08 - Trouver la perle rare est une chose, en trouver 26 en est une autre: une Libanaise a eu la surprise de sa vie en découvrant 26 graines nacrées dans une huître dans un restaurant de poisson et fruits de mer dans le sud du pays.

"Je n'en revenais pas", raconte à l'AFP Amale Salha, 50 ans, qui aidait son fils dans la cuisine de son restaurant "Al Fanar", sur le front de mer dans la ville de Tyr, à 85 km au sud de Beyrouth. "J'étais en train d'ouvrir les coquilles lundi soir lorsque j'ai vu dans l'une d'elles une multitude de perles blanches qui luisaient. J'ai crié sous l'effet de l'émotion", dit-elle.

Après le décompte, il s'agissait bien de 26 perles, de taille variable. L'huître miraculeuse est une Pinctada, un genre de huîtres perlières. Elle a été repêchée au large de la côte libanaise. "C'était tellement beau, elle ressemblait à une grappe de raisin", dit Amale.

Selon elle, ces huîtres sont très prisées des soldats français et italiens de la Finul, la Force intérimaire des Nations unies au Liban chargée d'observer le cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah chiite dans le sud. "Nous achetons ces huîtres à 10 dollars le kilo", affirme Raymond, le mari d'Amale.

"Généralement, nous retrouvons une ou deux perles, mais 26 perles est un fait très rare", dit-il, espérant que cette huître "inestimable" allait entrer dans le livre Guiness des records.

Elie Semoun revient sur Dieudonné....

Article paru le 09/09/08

Sur RTL, Elie Semoun est revenu sur la relation de Dieudonné avec Jean-Marie Le Pen.

Elie Semoun, qui cette fois semble déterminé à couper définitivement les ponts avec son ancien complice Dieudonné , est revenu sur RTL sur la relation du l'humoriste avec le leader du Front National Jean-Marie Le Pen, un sujet qu'ils ont souvent abordé.

"Sa relation avec Le Pen ? Je ne comprends pas. Je lui ai dit comme tout le monde : 'Mais qu'est-ce que tu vas foutre avec Jean-Marie Le Pen ? Qu'est-ce que tu vas aller bouffer avec un mec pareil ? Qu'est-ce que tu vas fréquenter un diable pareil ?' Sa seule réponse a été: 'Non, il faut voir tout le monde. C'est intéressant. C'est rigolo' " a expliqué Elie Semoun sur l'antenne de RTL avant de poursuivre "Je lui ai dit: 'Va rigoler tout seul, moi cela ne me fait pas rire'. En plus, Jean-Marie Le Pen et Dieudonné vont bien ensemble : ce sont des gens qui adorent faire parler d'eux et aller à contre-courant des choses. Ils détestent la pensée unique donc ils font tout ce qu'il faut pour qu'on parle d'eux et pour provoquer."

Contrairement à la plupart des gens, quand Elie Semoun a appris que Dieudonné avait choisi Jean-Marie Le Pen pour parrain de sa troisième fille, la petite Plume, il n'a pas vraiment été surpris.
"Je me suis marré. Je ne sais plus ce qu'il peut inventer, soit pour faire parler de lui, soit pour faire rire. Il a besoin d'exister mais je pense qu'on peut exister d'une autre façon" a expliqué Elie Semoun.

Quant à Dieudonné, contacté par de nombreux médias, il ne souhaite toujours pas faire de commentaire.

Israël : la mode par Castro

logo.jpgArticle paru dans "CCTV.com", le 09/09/08

Les tissus à carreaux, les kilts et les noirs et blancs seront à la mode cet hiver. C'est du moins ce qu'on peut en déduire après le défilé présenté par Castro, une marque d'habits leader en Israël.

Pour la première fois, des mannequins défilaient sur le podium accompagnés par de la musique live, composée et interprétée par de célèbres musiciens locaux. Selon le designer de Castro, la dernière collection est imprégnée d'images vues dans les rues de Londres, ajouté à une touche écossaise. L'ancienne Miss Israël, Gal Gadot, une fan fidèle de la marque, a montré qu'elle était belle joueuse après sa glissade sur le podium. Castro est présent sur le marché israélien depuis plus de 50 ans, offrant à la fois des vêtements féminins et masculins. L'entreprise possède en tout 98 points de vente en Israël, et s'étend à l'étranger, notamment en Russie, en Allemagne, en Roumanie et en Suisse.

Cinéma autour de l’exposition "À qui appartenaient ces tableaux ?" au MAHJ

Lieu : Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ)

jpg_LeTrain-8e9d6.jpgLe Train, Mercredi 10 septembre 2008 à 20 h

Réalisation : John Frankenheimer Avec Burt Lancaster, Paul Scofield, Jeanne Moreau, Suzanne Flon .
Fiction, États-Unis, 1965, 133 min, couleur

Paris, août 1944. Alors que les Alliés font des avancées spectaculaires, un officier allemand de la Wehrmacht se hâte de faire partir, dans un train pour Berlin, une collection inestimable de tableaux dérobée au musée du Jeu de Paume, que Goering compte s’approprier. Les cheminots français, membres de la Résistance, vont tout faire pour arrêter ce train...

Monsieur Klein, Mercredi 17 septembre 2008 à 20 h

Réalisation : Joseph Losey Avec Alain Delon, Jeanne Moreau, Francine Bergé, Juliet Berto, Jean Bouise, Suzanne Flon .

Fiction, France, 1976, 122 min, couleur

Robert Klein, Alsacien, la quarantaine, voit dans l’Occupation une bonne occasion de s’enrichir. Devant la répression qui s’amplifie, des Juifs viennent lui céder à bon prix des tableaux de maîtres et des objets d’art. Alors qu’il vient d’acheter une œuvre du peintre hollandais Van Ostade, il reçoit, réexpédié à son nom, le journal Les Informations juives, qui n’est délivré que sur abonnement...

jpg_Le-testament-dAdele-fea27.jpgKlimt ou le testament d’Adèle, Dimanche 21 septembre 2008 à 12h

Réalisation : Michel Vuillermet Écrit par Gilbert Charles et Michel Vuillermet
Documentaire, France, 2005, 52 min, couleur

Le Portrait d’Adele Bloch-Bauer, célèbre tableau de Gustav Klimt, compte parmi les six chefsd’oeuvre du peintre confisqués en 1938 par les nazis à un industriel juif viennois. Sa dernière héritière, Maria Altmann, quatre-vingt-neuf ans, installée aux États-Unis, a lutté pendant sept ans contre l’État autrichien pour récupérer ces toiles, estimées entre 150 et 200 millions d’euros. Histoire d’une bataille livrée – et gagnée – au nom de l’honneur.

 

Volés par les nazis.Histoire de la collection Schloss, Dimanche 21 septembre 2008 à 15h

Réalisation : Marc Van Dessel
Documentaire, France/Belgique, 1998, 55 min, couleur

Enquête, à travers l’histoire de la collection Schloss, sur les spoliations et les pillages d’œuvres d’art appartenant à des familles juives en France.

The Rape of Europa, Dimanche 21 septembre 2008 à 17h15

Scénario et réalisation : Bonni Cohen, Richard Berge et Nicole Newnham D’après l’ouvrage éponyme de Lynn H. Nicholas
Documentaire, États-Unis, 2006, 117 min, couleur, vo anglaise
Séance présentée par Isabelle le Masne de Chermont