Une amende hors du commun : Russie vs. Google, un feuilleton à 20 décillions de dollars !
C'est du jamais vu dans l'histoire des relations internationales, et cela ferait presque passer les sanctions habituelles pour des goûters d'école !
Suite à la suppression de comptes pro-gouvernementaux russes sur YouTube, la Russie a infligé une amende à Google si élevée qu'elle pourrait rembourser trois fois toutes les dettes mondiales, remplir tous les gouffres financiers de la planète et peut-être même, soyons fous, financer de quelques voyages spatiaux à l'année.
20 décillions de dollars : même les comptables les plus aguerris frissonnent
Pour bien comprendre l’ampleur de la sanction, il faut s’accrocher. Une telle somme, 20 décillions de dollars (oui, vous avez bien lu), donne à ce chiffre une allure si folle qu'il en devient difficile à écrire !
Selon les autorités russes, cette amende devrait rester impayée, et donc enfler à un rythme tout aussi vertigineux, transformant Google en véritable Sisyphe financier.
Zoom sur les chiffres : un gouffre économique façon science-fiction
Pour comparer, le produit intérieur brut (PIB) mondial, tout ce que le monde produit chaque année, est évalué à seulement 110 000 milliards de dollars, une bagatelle face à l'amende.
À côté, Google, avec sa petite capitalisation boursière de 2 160 milliards de dollars, pourrait bien avoir du mal à se trouver des fonds en rab pour satisfaire les exigences russes.
C'est un peu comme demander à une fourmi de déménager une montagne, mais après tout, l'humour kafkaïen ne manque pas.
La Russie en mode super-vilain ?
Cette décision semble inspirée d'un film de James Bond où l'on imposerait à un magnat de la technologie une rançon délirante sous menace de sanctions dantesques.. La Russie a pris le sujet très au sérieux, voyant dans les décisions de YouTube (et donc de Google) un obstacle majeur à ses canaux de communication. Résultat : une amende "extraordinaire" qui, si elle est symbolique, envoie un message clair sur les nouvelles règles du jeu numérique.
Google : "On rigole, mais on ne paiera pas"
Les réponses du géant californien se font, pour l'instant, discrètes. Peut-être Google joue-t-il la carte du silence, ou plus vraisemblablement, attend-il de voir si la Russie se lancerait dans une escalade juridique ? Ce feuilleton financier pourrait inspirer les prochains épisodes des Experts ou même une suite d' Ocean's Eleven , version multinationales et manipulations géopolitiques.
Et du côté des médias internationaux ?
Ce petit bijou d'actualité financière n'a pas manqué de faire sourire (et de faire frémir) certains analystes mondiaux. Les médias internationaux ont couvert cette histoire par un mélange de stupéfaction et d'humour, faisant les gros titres dans la presse britannique, américaine, et même en Asie.
Certains titres spécialisés en économie ont exploré la possibilité d'une telle amende, d'autres la nature même de la somme en question, et quelques-uns ont tout simplement décidé de ne pas y croire, préférant y voir une fable moderne digne des plus.
Vers un nouveau record Guinness ?
Avec une amende aussi irréaliste, la Russie pourrait bien demander un nouveau record Guinness ! Reste à voir si Google sera d'humeur à jouer la partie ou à passer le relais au département des "dettes impayables".
Le prochain chapitre ? Google qui proposerait à ses utilisateurs de regarder des pubs juste un peu plus longtemps pour réunir les fonds. Allez, les paris sont ouverts !
Vos réactions