Un journaliste arabe "Le Hamas est une bande d'animaux qui a détruit son peuple "

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Un journaliste arabe "Le Hamas est une bande d'animaux qui a détruit son peuple "

Les images d’horreur de la libération des otages et les critiques dans le monde arabe :
« Le cirque terroriste du Hamas »

Un transfert sous tension au cœur de Gaza

La libération d’Agam, Arbel et Gadi, détenus par le Hamas et le Jihad islamique, a donné lieu à des scènes glaçantes. Deux d’entre eux ont été forcés de marcher à travers une foule hostile à Gaza avant d’être enfin remis à la Croix-Rouge et transférés en territoire israélien. Ce spectacle de captifs livrés à la vindicte populaire, sous l’objectif des caméras, a choqué bien au-delà des frontières de l’État hébreu.

Le Hamas, loin de faire preuve d’un minimum d’humanité, a tenté de mettre en scène une
« image de victoire »
en organisant ces remises d’otages en pleine rue, au milieu des ruines causées par les frappes israéliennes.
Pourtant, sur les réseaux sociaux arabes, certaines voix osent critiquer ouvertement cette mise en scène macabre.

Une condamnation grandissante dans le monde arabe

Malgré l’omniprésence de la propagande du Hamas, des intellectuels et journalistes de la région expriment leur dégoût face à ces pratiques inhumaines :

Ibrahim Issa, célèbre présentateur égyptien, dénonce sans détour :

« Le peuple palestinien est le principal captif entre les mains du Hamas. »

Amjad Ta, commentateur émirati, rappelle avec sarcasme et indignation :

« Les terroristes du Hamas ont enlevé cinq otages le 7 octobre. Pas des Israéliens, pas des Juifs, pas des sionistes, juste des Thaïlandais qui s’occupaient de personnes âgées. Et c’est seulement aujourd’hui qu’ils prennent la peine de les libérer. Pourquoi maintenant ? Parce qu’ils veulent les échanger contre des criminels et des terroristes. »

 Un autre commentaire glaçant :

« Ces otages n’étaient ni des soldats, ni des ennemis, ni même liés au conflit. Pourtant, le Hamas les a retenus en otage pendant des mois. Pourquoi ? Parce que dans leur monde, la vie humaine est une monnaie d’échange. Oups, mauvaise cible. »

 Sur la scène internationale, un message fort résonne :

« Israël a prouvé qu’il se bat pour libérer des personnes de toutes nationalités et religions. Ces cinq travailleurs thaïlandais, ainsi que les Américains et Britanniques libérés auparavant, en sont la preuve. »

 Et une question sans réponse :

« Pourquoi des travailleurs asiatiques non impliqués ont-ils été pris en otage ? Le Hamas ose-t-il penser que le monde devrait le remercier pour leur libération ‘volontaire’ ? »

La honte du Hamas face à la réalité

Ces critiques ne se limitent pas à des remarques isolées.
De plus en plus d’acteurs du monde arabe osent dénoncer l’horreur absolue de ces pratiques. L’idée que le Hamas défend la cause palestinienne s’effondre devant la réalité : une organisation qui utilise des innocents comme boucliers et monnaie d’échange.

Le Hamas : un rejet grandissant dans le monde arabe

Si le Hamas a longtemps cherché à se positionner comme un symbole de la résistance palestinienne, la perception de l’organisation a radicalement changé dans une partie du monde arabe. La brutalité du 7 octobre, les otages innocents utilisés comme monnaie d’échange et les mises en scène sordides ont provoqué un malaise croissant parmi plusieurs intellectuels et journalistes arabes.

 En Égypte, où le Hamas a longtemps bénéficié d’une certaine indulgence, de plus en plus de voix dénoncent son hypocrisie. Ibrahim Issa, présentateur renommé, souligne que les premières victimes du Hamas sont les Palestiniens eux-mêmes, otages d’un régime totalitaire qui se nourrit du chaos et du sang.

Dans le Golfe, des figures comme Amjad Ta rappellent que le Hamas ne défend pas les Palestiniens mais exploite leur souffrance pour ses propres intérêts. Les Thaïlandais kidnappés en sont l’exemple frappant : des travailleurs étrangers sans lien avec Israël, retenus en otage durant des mois, puis exhibés comme un trophée médiatique.

Un point de rupture : l’horreur de la libération des otages.

Les scènes des captifs forcés de marcher sous les cris d’une foule exaltée ont choqué bien au-delà d’Israël. Ces images ont brisé l’illusion d’un Hamas « protecteur » du peuple palestinien. Un analyste arabe a résumé ce revirement brutal :

« Ce n’est pas une résistance, c’est une bande d’animaux qui a détruit une nation entière. »

Les critiques contre le Hamas ne viennent plus seulement des ennemis traditionnels d’Israël, mais aussi de ceux qui refusent de voir le peuple palestinien sacrifié sur l’autel de l’idéologie terroriste. Un tournant majeur qui fragilise la position du Hamas au sein du monde arabe.

Un commentateur fustige cette ignominie :

« Imaginez que l’on qualifie ce mal de ‘résistance’ courageuse ; imaginez une jeune femme exhibée devant une foule hostile, comme une victoire. Il est honteux, embarrassant et inacceptable que le Hamas et le Jihad islamique se livrent à de telles barbaries. »

Pendant ce temps, le Hamas continue de diffuser sa propagande avec des déclarations absurdes :

« Le grand rassemblement du public palestinien lors de la remise des otages est un message de force et de détermination à l’occupant. »

Une rhétorique qui ne trompe plus personne.

Israël en colère après le chaos de Khan Younès

Dans les coulisses, les pourparlers entre Israël et les médiateurs ont été extrêmement tendus. Dès les premières minutes suivant la libération des otages, des discussions intenses ont eu lieu entre Tel-Aviv, Doha et Le Caire. Israël a vivement dénoncé le manque total de sécurité lors du transfert des otages.

« Vous avez la responsabilité de garantir un couloir propre et sûr jusqu’aux véhicules de la Croix-Rouge », ont martelé les responsables israéliens aux médiateurs.

La tension était telle qu’Israël a laissé entendre qu’il n’accepterait plus de telles dérives à l’avenir :

« Nous ne pouvons pas simplement ignorer cela la prochaine fois. »

Un message clair : Israël dispose encore d’un levier de pression à Gaza, et il n’hésitera pas à l’utiliser.

Les médiateurs ont supplié Israël de ne pas retarder la libération des prisonniers en retour. Mais tant qu’un engagement clair ne sera pas pris pour garantir des conditions de transfert sécurisées, aucun feu vert ne sera donné par les dirigeants israéliens.

Une tragédie qui expose la véritable nature du Hamas

Alors que la propagande du Hamas tente désespérément de façonner une victoire imaginaire, les critiques émergent de toutes parts. Les témoignages indignés du monde arabe exposent une réalité accablante :

"Le Hamas sacrifie les Palestiniens pour servir son propre agenda terroriste."

"Les otages étaient une monnaie d’échange, y compris ceux qui n’avaient aucun lien avec le conflit."

"Israël a démontré, par ses actions, son engagement pour la libération des innocents, quelles que soient leur religion ou leur nationalité.e

Cette séquence tragique a fait tomber un voile d’illusion : le Hamas n’est pas un mouvement de libération, mais bien une organisation qui terrorise son propre peuple. Et aujourd’hui, même ses propres voisins commencent à le dire haut et fort.

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