Photographe israélien : Elle dort à dos - d’autres aussi : Boris Muskevich

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Photographe israélien : Elle dort à dos - d’autres aussi : Boris Muskevich

Elle dort à dos - d’autres aussi : Boris Muskevich

Comme l'écrit Danielle Mémoire  "l’amour préside au chemin – il n’y a pas de chemin où il n’y a pas d’amour".  Sur ce chemin, les photographies ont créent des mystères où se rapprocher – enfin presque…

Boris Muskevich fut d’abord un autodidacte né en 1969 à Tallinn (Estonie). Il est devenu photographe professionnel. au début des années 90.
Au début, il a travaillé comme photo-journaliste pour deux publications estoniennes, mais il s’est lancé aussi dans la photographie d'art. Depuis HaIfa (Israel) le créateur participe aussi à des expositions

Ses portraits féminins et de l'érotisme, non seulement crée un langage particulier et charnel mais sont publiés dans plusieurs magazines (Vogue par exemple).
Ses photographies élégantes et sans effets superfétatoire  laissent évoquer parfois un gouffre intérieur et son mystère.
Ses modèles engendrent bien de possibles spéculations mais loin de l’écart des vainqueurs de l’érection. Et ce, d’un glaive qui parfois liseronne plutôt qu’il ne grimpe  au ciel du lit.

Reste surtout le charme de muses qui se dorent à dos sans jouer les innocentes. Elles fomentent des rêves mais gardent toujours  les yeux ouverts quand d’autres sont aveuglés par ces miroirs. Ils sont aimantés par de telles guides « gastronomiques ».
Mais avant tout elles inspirent une forme de fronde. Il suffit de la flamme d’une telle chandelle pour réchauffer voire mettre encore le feu. Et non seulement aux atours.

 

Jean-Paul Gavard-Perret

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