L’application is it kosher propose de vous aider à manger casher partout dans le monde ou presque.
De nombreux produits, sont parfois casher, mais la marque qui fabrique le produit, choisit très souvent de ne pas le mentionner car sinon, les consommateurs arabes ne les achètent pas.
C’est Alex Tseval, qui depuis l’Estonie, nous parle de tout ce que va changer cette application pour ceux qui mangent casher.
Cela fait seulement six mois que la promotion de cette application a commencé, pourtant ce projet est né il y a près de quatre ans.
En effet, en amont de ce démarrage médiatique, toute l’équipe qui a construit ce projet, a travaillé, à non seulement enrichir la base de données des produits casher, mais également à permettre de tous nouveaux moyens d’identifications.
Cette application fonctionne sur tous les smartphones ou tablettes (Android, iOS, Windows) et il vous suffit soit, d’écrire le nom du produit, le code barre ou tout simplement de prendre la photo de ce que vous souhaitez acheter pour savoir si ce produit est casher.
Les personnes respectueuses des règles de la cacheroute, pourront dorénavant envisager leurs déplacements avec moins d’inquiétude.
En effet, les produits vendus dans 50 pays sont déjà référencés dans leur base de données.
Cette application est gratuite. Tant que vous avez internet.
Cependant, une version « offline » de l’application est proposée au tarif de 5€/ mois ou 15€/an, dans le cas où vous vous trouviez dans un endroit sans connexion possible.
Déjà 500 personnes utilisent quotidiennement cette application et entre 400 et 500 personnes la télécharge gratuitement chaque jour.
Cette application créée de nouvelles interrogations. Peut-elle donner envie de manger casher à ceux qui ne respectent pas encore les règles de la cacheroute ?
Peut-elle permettre à l’économie de l’alimentation casher de gagner plus d’argent et si oui, permettre de faire baisser les prix ?Souhaitons à cette jeune startup, de connaître un grand succès.
l'application est téléchargeable sur "http://isitkosher.eu".
David BRISSET.
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